Communard

IInde République avec les ateliers nationaux En 1871 la Commune de Paris : les révolutionnaires voulaient mettre en place un système de commune dans toute la France : réduire le pouvoir central, organisation en fédérations. Mais : 20 000 communards exécutés, prisonniers politiques déportés. ( Ils ont échoués sur la question du pouvoir. 2) Le développement de l’anarchisme. Se développe dans la seconde moitié du XIXème dans les pays latins et slaves (Russie). Théoricien : Bakounine.

reconstitue à Versailles, commandée par le Maréchal Mac-Mahon. (130-140k soldats contre 20-40k soldats communards sans bons officiers à part Rossel). Reconquête difficile, dimanche 21 Mai, possibilité d’entrer dans la capitale par une porte non-gardée. Départ de la semaine sanglante : 8 jours de combats de résistance acharnée des communeux. Plaisir non-dissimulé pris par les versaillais pour anéantir les communards. Responsabilité des incendies venant des obus versaillais. « Légende des pétroleuses » restant

offrent une unité thématique autour de la représentation de la Commune et permettent de comprendre la position hugolienne et son refus de prendre parti jusqu’en mars 1871 pour l’un ou l’autre camp, puis son total engagement aux côtés des martyrs communards, c’est-à-dire des « misérables ». Ils concentrent une force dramatique exceptionnelle et sont caractéristiques du mouvement dialectique hugolien incarné dans le combat permanent de l’ombre et de la lumière ; d’avril à juin, c’est une lente descente

d'une restauration monarchique et le refus de l'armistice entraînent le soulèvement de Paris qui proclame la Commune - siège de Paris et écrasement de l’insurrection - répression: nombreuses exécutions sommaires, procès expéditifs condamnant des communards à la mort, au bagne ou à la déportation - paye l'indemnité de guerre de 5 milliards de francs exigée par l'Allemagne - loi du 10 août 1871: il maintient le préfet comme unique représentant de l'État dans le département  - loi du 14 avril 1871: le

cinéma de la radicalité possible face aux œuvres prêtes à consommer. Un cinéma qui défend des combats passés et à venir .Une autre voie … Une autre voix. (Relie de manière simple à d’autres combats : la guerre du vietnam, photo de cadavre de communards) Réflexion en suspend

son père trouveras du travaille dans une imprimerie en 1868. Au début de l’année 1870, Claude, sa mère, son frère et sa sœur déménagent à Cannes. La guerre franco-prussienne débute en juillet, Mr Debussy participera à cette guerre aux cotés des communards et sera arrêté. Debussy est considéré comme un musicien figuraliste et impressionniste. Le figuralisme est un mouvement visant à traduire musicalement des images par des moyens musicaux ; par exemple les animaux par la description de leur cris

pas vraiment, et le cycle était finalement qu’une apparence. Certains royalistes y croient encore en 1875. Thiers : démontre la possibilité d’une république d’ordre et il a donc levé les appréhensions au niveau de la sécurité (la répression anti-communarde ne fait que conforter cette idée).  

de tous les fonctionnaires. L’égalité entre hommes et femmes est proclamée. On note aussi des mouvements féministes ; les femmes participent aux barricades comme les hommes et se font exécuter ou déporter comme eux. Les « pétroleuses » sont les communardes qu’on accusait à tort de mettre le feu aux bâtiments publics après les répressions sociales. La « sociale » est d’ailleurs l’autre appellation de la Commune. Cette dernière présente son programme dans une déclaration au peuple français le 19 avril

pour renverser l’ordre capitaliste - caractère socialiste mais programme éco et social vague (usines aux Weurs regroupée en chambres syndicales). Mesures de circonstances : moratoire loyers, dettes + confiscation entreprises sans patron). Communards viennent du monde ouvrier et de la petite bourgeoisie. Sans culottes + que prolétaires. C) Fonder la République 1) La tactique des républicains a) Rassurer. Centre gauche, orléanistes derrière Thiers qui se rallient

que tel était son devoir. Le matin du troisième jour, il reparut rue des Envierges, en lambeaux, chancelant et hébété comme un homme ivre. Félicie le déshabillait et lui lavait les mains avec une serviette mouillée, lorsqu’une voisine dit que les communards tenaient encore dans le Père Lachaise, et que les Versaillais ne savaient comment les en déloger. – J’y vais, dit-il simplement. Il se rhabilla, il reprit son fusil. Mais les derniers défenseurs de la commune n’étaient pas sur le plateau,