Communism

sont mortes en tentant de traverser la frontière. Pour finir, c’est en 1989 que le mur s’écroule après 28 ans d’enfermement. Cette chute a pour origine la fragilisation du régime communiste dans les pays de l’Est : en Hongrie et en Pologne le communisme perd les élections sans que Gorbatchev, le dirigeant Soviétique, n’intervienne. Il encourage la démocratie dans le bloc de l’Est. Puis, sous la pression des Berlinois de l’Ouest qui manifestent pour la liberté, les autorités de la RDA sont contraintes

puissances émergent : Etats-Unis (capitalisme) et URSS (communisme). L’alliance de la guerre se rompt rapidement. I/ De la guerre froide à la chute du communisme 1) Les débuts de la Guerre froide (1947/1962) Guerre froide = conflit idéologique entre USA et URSS, caractérisé par des crises qui ont lieu dans des pays intermédiaires. Deux doctrines -) côté USA doctrine Truman (containment ou endiguement) = contenir expansion du communisme par des moyens éco et financier (ex : plan Marshall 1947

Crise de 1980-82 17 a) Les espoirs de 80-81 17 b) Le coup d’état du 13 Décembre 81 : «  la normalisation » et l’espoir brisé  17 III. LA FIN DES DEMOCRATIES POPULAIRES : 1989 19 A. LES CONDITIONS DE L’EFFONDREMENT DU COMMUNISME. 19 1°) Les raisons du rejet généralisé du communisme en Europe de l’Est 19 a) L’aspiration généralisée à la démocratie dans les démocraties populaires 19 b) L’échec économique du système et la crise sociale permanente 19 c) La dissociation entre pouvoir politique et

protéger l'URSS de toute nouvelle menace extérieure en établissant un glacis protecteur en Europe orientale, en contrôlant politiquement les pays libérés par l'Armée rouge. De plus, Saline se place également dans la perspective de l'expansion du communisme et il craint une hégémonie américaine qui a été rendue possible par la puissance économique et militaire des États-Unis (jusqu'en 1949, les États-Unis disposent du monopole de l'arme atomique). ▪ Du côté des États-Unis, le nouveau président Truman

ont-ils finis par s'imposer face au communisme entre 1945 et 1991 durant cette Guerre Froide ? Intro : Traditionnellement isolationniste la population américaine estime en 1945 que leurgouvernement n'a plus de raisons valables d'intervenir dans les affaires du monde.Cependant le continent européen ruiné et traumatisé au sortir de la guerre la plusmeurtrière de l'histoire doit faire face à une nouvelle menace pour Rossevelt (puispour Truman) : Le communisme porté par l'URSS de Staline.De fait

mondial. Côté Americain: Plutôt diplomatique à partir de 1946 G Kennan qui est un conseiller d'ambassade à Moscou va dénoncer «  le péril rouge » ,il envoie ça à Truman président des EU. Il dénonce le souci d'extension de Staline pour le communisme. A Fulton , Churchill va constater un rideau de fer qui est tombé sur l'Europe (EST / OUEST ). L'est est désormais isolé du monde. Les accords de Yalta n'ont pas été respecté ( pas d'éléction libre dans les pays libéré) Les Américains sont inquiet

plans économique et militaire en 1945. Mais ils ont des systèmes politiques et économiques opposés (libéralisme du côté américain et communisme du côté soviétique). I) Deux blocs se constituent à partir de 1947 : - Le président américain Truman lance en 1947 la doctrine de l'endiguement du communisme. - A l'Est, la doctrine Jdanov veut étendre le communisme dans le monde. - Chacune des deux "superpuissances" échafaude un système d'alliances et installe des troupes hors de son territoire :

Gorbatchev va dénoncer l'immobilisme politique et constate que la situation économique est désastreuse, il y a beaucoup de gaspillage, de pénurie, de faiblesse de la productivité et de corruption.   B) Il veut sauver le pays et régénérer le communisme.   Dans ce but, Gorbatchev va chercher à rendre le système plus efficace: o        il fait appel à la « glasnost » (transparence, c'est-à-dire liberté de parole, suppression de la censure, rétablissement de la vérité historique). o       

pays. La Seconde Guerre mondiale conforte l'URSS dans son rôle de nouvelle grande puissance. En 1945, Staline est à la tête du bloc communiste et s'oppose à l'autre grande puissance que sont les États-Unis. Staline essaie d'étendre l'influence du communisme en Europe et dans le monde. Sur le plan intérieur, le culte de la personnalité atteint son paroxysme et jamais les libertés n'ont été autant bafouées : l’URSS est un état totalitaire. La rhétorique a pour objet le discours, c’est-à -dire l’emploi

politiques et nos critères de jugement moral ». La validité d'un tel concept fait question. D'origine polémique, il recèlerait une valeur descriptive plutôt qu'explicative, et son caractère englobant effacerait les singularités qui distinguent nazisme et communisme. De telles limitent invalident-elles pour autant la spécificité d'une entité politique essentielle pour saisir les effets de la modernité et les dérives potentielles de la démocratie? 1.Les ressorts d'un phénomène sans précédents. 1.1 Le