Comorbidité

l'anti-social : il ne veut rien savoir de toi) -c'est non hermetique, des symptomes et critères peuvent se partager entre perso£. Pathologie -comorbidité : quand la personne possède plus d'un diagnostic qui se « complète » -il s'agit de la norme -critique : si ls diagnostics se chevauchent, il est trop difficile de les catégoriser. (réponse du prof : NON la comorbidité est cohérente car le trouble= une stratégie d'adaptation. Surutilisée donc normal d'en avoir plus d'une) -les troubles de la personnalité

intéressant de pouvoir les croiser avec le taux d’obésité, de personnes atteintes de diabète, ou de maladie cardio-vasculaire par arrondissement afin de mieux cerner les répercutions que peuvent avoir une alimentation déséquilibré, manque de sommeil et comorbidité sur les individus habitant ces localités. Le stress est également un des facteurs impliqué dans la dette de sommeil, sur les 286 personne subissant un stress, 70 % d’entres elles, estiment ne pas dormir assez. Le manque d’activité physique et

sans travail, SDF , précarité. Toxicomanie ? Travail : Perte d’un emploi, un travail stressant Soutien social : Ne pas être entouré, se retrouver seul, déficit de compétences sociales, D’autre troubles psychiatriques comme les troubles anxieux, comorbidité. Facteurs déclenchant : Maladie : Apprendre qu’on est atteint d’un cancer ou du VIH peut engendrer un épisode dépressif. ( Situations : il y a des situations propices comme se mettre en danger, pas certain pour la dépression ?) Absence de facteurs

car ils présentaient des troubles maniaques et dépressifs majeurs et certains ont également étaient placés en désintoxication pour abus de substance.Discussion :Cette étude nous a donc montré que le trouble bipolaire et l’abus de cannabis ont une comorbidité qui est nettement supérieure à la probabilité statistiques que l’on est supposé trouver.En effet, l’usage de cannabis pourrait être un facteur qui déclenche l’évolution de certains troubles bipolaires et qui favorisent les troubles de l’humeur.Les

d’une demande incontrôlée de soulagement immédiat, d’une perte de plaisir (anhédonie) et d’un sentiment de désespoir ; – Le risque suicidaire serait plus sévère dans les premières années suivant le diagnostic de la maladie dépressive. -- la comorbidité associe anxiété et (ou) conduites d’assuétude (alcool) ; – les conditions de vie sont dominées par l’isolement. 2)Psychoses autres que la PMD : *dans la schizophrénie, le risque suicidaire est toujours présent (10 % des schizophrènes décèdent

bifidobactéries est, à son tour, corrélée avec l'inflammation et l'endotoxémie8. L'inflammation systémique contribuerait en grande partie à expliquer l'association entre l'obésité et le diabète9, l'asthme10, le cancer11 et la dépression12, entre autres comorbidités. L'intestin, chez la personne obèse, n'est pas seulement dans un état d'inflammation mais est aussi une source de calories plus importante que chez la personne ayant un poids normal. La flore intestinale obésogène est apte à extraire plus d'énergie

bifidobactéries est, à son tour, corrélée avec l'inflammation et l'endotoxémie20. L'inflammation systémique contribuerait en grande partie à expliquer l'association entre l'obésité et le diabète21, l'asthme22, le cancer23 et la dépression24, entre autres comorbidités. L'intestin, chez la personne obèse, n'est pas seulement dans un état d'inflammation mais est aussi une source de calories plus importante que chez la personne ayant un poids normal. La flore intestinale obésogène est apte à extraire plus d'énergie

alimentaire Moyens thérapeutiques -Activité physique -Prescription diététique -Accompagnement psychologique -traitement médicamenteux si nécessaire Moyen chirurgical : chirurgie bariatrique -Indiqué uniquement dans le cadre d’une obésité morbide avec comorbidité -Gastroplastie -By-pass Régime alimentaire : -Selon l’âge -L’importance du surpoids -De la répartition de la masse grasse -Complication présentes et état général du patient -Prise en charge à long terme - Localisation du tissu adipeux : hypoderme

modérée, notamment associée à un régime : les effets de l’activité physique sur la perte de poids sont modestes * Le maintien du poids après une perte initiale de poids : l’impact de l’activité physique est important * Une amélioration des comorbidités de l’obésité * Des bénéfices psychologiques (favorisant un meilleur suivi des conseils diététiques) Intensité et fréquence du sport augmentée Une durée et une intensité d’activité physique plus importante pourrait être nécessaire dans le

à la fois sur de multiples aspects des conditions de vie (emploi, ressources, logement, vie affective et sexuelle, relations sociales, discriminations) et sur l’état de santé et les recours aux soins vis-à-vis de la maladie VIH elle-même et des comorbidités fréquemment associées (maladies cardio-vasculaires, diabète, hépatites virales, troubles psychiatriques). Cette enquête, qui porte sur une population particulièrement diversifiée sur le plan social, constitue une base de données privilégiée pour