Compagnie des wagons-lits

nervosité. Malgré l’air bravache qu’il avait affiché devant son jeune frère, Albus, James avait l’estomac noué, et douloureux, comme s’il avait avalé l’une des Pastilles de Gerbe de son oncle George. Il ouvrit la porte du Poudlard Express, au bout du wagon, et avança d’un pas prudent dans le couloir. Le premier compartiment qu’il trouva était rempli de filles. Elles parlaient avec animation, de toute évidence les meilleures amies du monde, alors qu’il était probable qu’elles venaient à peine de se

aurons du vin, de celui qui pétille Eb6 EbM7 Même quand il dort. Ab6+9 Nous aurons du sang Dedans nos veines blanches EbM7 Et, le plus souvent, lundi sera dimanche. Ab6+9 (58) Gospel EbM7 Mais notre âge alors, sera l'AGE D'OR. Nous aurons des lits creusés comme des filles Dans le sable fin. Nous aurons des fruits, Les mêmes qu'on grappille Dans le champ voisin. Nous aurons, bien sûr, Dedans nos maisons blêmes, Tous les becs d'azur qui là-haut se promènent. Mais notre âge alors, Sera l'AGE D'OR

un peu au-dessus de Nevers, sur un train de marchandises, dont les voitures déraillées et brisées obstruaient la voie. Alors avait commencé une série de contretemps et de retards, d’abord une interminable pause dans les wagons immobiles, puis l’abandon forcé de ces wagons, les bagages laissés là en arrière, les voyageurs obligés de faire trois kilomètres à pied pour atteindre une station, où l’on s’était décidé à former un train de sauvetage. On avait perdu deux heures, et deux 28 autres

visite terminée, il fit prier le directeur de vouloir bien venir jusque chez lui. – Monsieur le directeur de l’hôpital, lui dit-il, combien en ce moment avez-vous de malades ? – Vingt-six, monseigneur. – C’est ce que j’avais compté, dit l’évêque. – Les lits, reprit le directeur, sont bien serrés les uns contre les autres. – C’est ce que j’avais remarqué. – Les salles ne sont que des chambres, et l’air s’y renouvelle difficilement. – C’est ce qui me semble. – Et puis, quand il y a un rayon de soleil, le

terminée, il fit prier le directeur de vouloir bien venir jusque chez lui. – Monsieur le directeur de l’hôpital, lui dit-il, combien en ce moment avez-vous de malades ? – Vingt-six, monseigneur. – C’est ce que j’avais compté, dit l’évêque. – Les lits, reprit le directeur, sont bien serrés les uns contre les autres. – C’est ce que j’avais remarqué. – Les salles ne sont que des chambres, et l’air s’y renouvelle difficilement. – C’est ce qui me semble. – Et puis, quand il y a un rayon de soleil

visite terminée, il fit prier le directeur de vouloir bien venir jusque chez lui. – Monsieur le directeur de l’hôpital, lui dit-il, combien en ce moment avez-vous de malades ? – Vingt-six, monseigneur. – C’est ce que j’avais compté, dit l’évêque. – Les lits, reprit le directeur, sont bien serrés les uns contre les autres. – C’est ce que j’avais remarqué. – Les salles ne sont que des chambres, et l’air s’y renouvelle difficilement. – C’est ce qui me semble. – Et puis, quand il y a un rayon de soleil, le

i Au Bonheur des Dames Auteur : Emile Zola Catégorie : Romans / Nouvelles DENISE était venue à pied de la gare Saint-Lazare, où un train de Cherbourg l'avait débarquée avec ses deux frères, après une nuit passée sur la dure banquette d'un wagon de troisième classe. Elle tenait par la main Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus, au milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans laquelle leur

tombé, un peu au-dessus de Nevers, sur un train de marchandises, dont les voitures déraillées et brisées obstruaient la voie. Alors avait commencé une série de contre-temps et de retards, d’abord une interminable pause dans les wagons immobiles, puis l’abandon forcé de ces wagons, les bagages laissés là en arrière, les voyageurs obligés de faire trois kilomètres à pied pour atteindre une station, où l’on s’était décidé à former un train de sauvetage. On avait perdu deux heures, et deux autres furent

tombé, un peu au-dessus de Nevers, sur un train de marchandises dont les voitures déraillées et brisées obstruaient la voie. Alors avait commencé une série de contretemps et de retards, d'abord une interminable pause dans les wagons immobiles, puis l'abandon forcé de ces wagons, les bagages, laissés là en arrière, les voyageurs obligés de faire trois kilomètres à pied pour atteindre une station, où l'on s'était décidé à former un train de sauvetage. On avait perdu deux heures, et deux autres furent

Document de référence 2013 www.essilor.com essilor Essilor International Compagnie Générale d’Optique 147 rue de Paris 94220 Charenton-le-Pont France Tél. : + 33(0)1 49 77 42 24 Document de référence 2013 SOMMAIRE 1 4 PRÉSENTATION DU GROUPE ESSILOR 6 INFORMATIONS EN MATIÈRE SOCIALE, ENVIRONNEMENTALE ET SOCIÉTALE 190 4 1.1 Historique du développement d’Essilor 1.2 L’industrie de l’optique ophtalmique 8 4.1 Introduction 1.3 Les activités du Groupe 9 4.2 Informations sociales