Compagnie néerlandaise des Indes orientales

août 1945. Mais les Pays Bas espèrent restaurer leur souveraineté sur les «Indes Néerlandaise». Entre 1947 et 1948 de nombreux affrontement ont lieu. En 1949, devant les difficultés rencontrées, les hollandais acceptent l’ouverture de négociations. La Conférence de la Table Ronde de la Haye débouche, fin 1949, sur la reconnaissance par les Pays Bas de la création des Etats Unis d’Indonésie dans le cadre de l’Union néerlandaise. Mais en 1950-1952, les Pays Bas soutiennent la sécession de la République

Genèse [modifier] La première analyse rigoureuse du libre-échange3 est due à Henry Martyn dans Considérations sur le commerce avec les Indes orientales (1701) ; dès la préface, il prévient : « la plupart des idées dans ces travaux sont directement opposées aux opinions reçues. » Martyn s'oppose à la fois au monopole de la Compagnie néerlandaise des Indes orientales et aux restrictions sur les importations de biens manufacturés en provenance de l'Inde. Il explique que la liberté de commerce va diminuer

notamment maritimes : marchands arabes, indiens, chinois ; plus tard seulement, comptoirs (factoreries), puis conquête et colonisation En 1492 : découverte de l’Amérique par les espagnols En 1498 : les portugais vont ouvrir la voie vers les indes On met en évidence le rôle central d’un capitalisme marchand qui exploite de nouveaux espaces, on colonise certaines terres pour les mettre en valeur (exploitation minière) La situation sera différente entre l’Asie et l’Amérique : a) En Amérique :

opération d’appel public de fond, organisée par l’Etat Hollandais afin de financer la création de la nouvelle compagnie Néerlandaise Unies des Indes Oriental. Mais ensemble assez éclaté d’arguments (5 branches) : italo-ibérique ou bullionisme : obtenir le plus grand stock d’or (droits de douanes et dévaluations). hollandais et anglais ou commercialisme : conquête de marchés extérieurs (compagnies maritimes). français ou colbertisme : favoriser l’industrie (manufactures incorporant du travail qualifié)

Riebeeck demanda à la Compagnie néerlandaise des Indes orientales que lui soient fournis des esclaves provenant de la baie d'Antongil à Madagascar. Les hommes étaient destinés à travailler la terre, les captives encouragées à épouser les Blancs, dont la solitude leur faisait regretter l'Europe. Une minorité des Métis, désignée sous le terme de « Malais du Cap », est issue des relations ancillaires entre les Blancs et les anciens esclaves originaires des colonies néerlandaises, notamment l'Insulinde

coloniale. La tradition passa aux Hollandais. C'est ainsi que s'explique la transmission d'une méthode d'un peuple maritime à l'autre. François Martin, au xvne siècle, d'ascendance française, passé au service de la Compagnie néerlandaise des Indes, revenu à celui de la compagnie concurrente fondée par Colbert, illustra un type de négociant par mer très pragmatique. Marié en pre mières noces à une Japonaise, il alliait à sa connaissance de la mer et du commerce une expérience avertie des sociétés

d'émancipation qui préserverait leurs intérêts. Le ministre Bevin résume cette position par la formule" Give and keep" 2: LA DECOLONISATION EN ASIE EST LA PLUS PRECOCE 2.1: La décolonisation britannique et néerlandaise: Dans les Indes britanniques, le nationalisme est précoce: •En Inde les Britanniques avaient fait des promesses d'émancipation déjà pendant la guerre et en 1945, la tension est telle qu'en juin le gouvernement de Londres entame des négociations

De même, en Asie, le Japon a balayé « l’impérialisme blanc » en s’emparant sans coup férir de l’Indochine française, de la Malaisie britannique et des Indes néerlandaises et a présenté son occupation comme une revanche des peuples de couleurs sur les Blancs. Les Japonais se présentent comme les champions de l’émancipation de la Grande Asie orientale et promettent l’indépendance aux pays qu’ils occupent, mais ne l’accordent qu’à la Birmanie en 1943. A la fin de la guerre, les métropoles coloniales

titres dans un seul but : encaisser des dividendes, à moyen ou à long terme.En effet, à la différence d’un trader, il ne cherche pas une croissance immédiate à tout prix. Il pense à plus long terme et investit l’argent des fonds de pension, des compagnies d’assurance et autres réserves dans le but de le voir croître ; cela peut prendre des années, voire des décennies. Le métier de gestionnaire (ou gérant) de portefeuille consiste à gérer l’argent d’une société (banque, société de bourse ou grande entreprise)

grand empire continental de tous les temps : l'Empire des Mongols, avec ses centres politiques répartis sur toute la route (Pékin en Chine du Nord, Karakorum en Mongolie orientale, Samarkand en Transoxiane, Tabriz à l'ouest de l'Iran, Astrakhan sur la Volga, Bahçesaray en Crimée, Kazan en Russie centrale, Erzurum en Anatolie orientale). Cet empire réussit à unifier ces zones auparavant liées par intermittence par des rapports commerciaux. Cependant, l'unité politique de cette région ne survit pas à