Comparaison Dans Le Temps Retrouvé

paradisiaque ( il est dans son lit) -> ( charmants climats)= sa fait référence à l’intimité ( vers 1) ou sa fait référence à la femme qu’il aime - image de la femme. Il écrit ce texte en pensant à Jeanne Duval, sa maîtresse, metisse (exotique). On retrouve l’image de la femme mere et de la femme amante -> la femme mère 1°( sein chaleureux)= allaitement, protection, gentille, affectueuse 2° la nature donne ( fruit savoureux) = tout comme la femme 3° l’amour et l’enfance sont liés chez

réalisée par Madame VALETTE, professeur certifié de Lettres Modernes, pour ses élèves de 5ème du Collège Arausio, à 0range (84) TRISTAN ET ISEUT L’édition utilisée est celle de Joseph Bédier, parue dans la collection 10/18 La séquence repose sur 6 temps forts : 1. Lecture analytique du texte: « Le combat contre le Morholt » 2. Etude comparative de ce texte avec le combat de Thésée contre le Minotaure 3. Lecture analytique du passage du philtre 4. Lecture analytique de la description du verger 5. Lecture

"sentiers", "blés", "herbe", "vent" "j'irai dans les sentiers", " soirs d'été" -> expérience régulière, qui relevait de l'érrance car sentierS au pluriel, le mot sentier en marge de grandes routes, c'est une destination particulière (promenade) avec un temps privilégié > soirs d'été Il évoque la Nature mais aussi la Terre et le cial, et le sentiment qu'il fait le lien entre la T et le C : " baigner ma tête nue " -On a le sentiment d'un désir de fusion avec la Nature v.1 : "dans les sentiers", v.4

coin d'un bois» (L.8), «dans tout pays» (L.9) et «régions inconnues» (L.19) vient renforcir le fait qu’il ne sent pas bien et qu'il doit se retrouver avec la nature, là où sa souffrance serait absente. Cet extrait vient donc confirmer le désir de René de se retrouver dans la nature, afin de mettre fin à la douleur qui le frappe. Deuxièmement, la comparaison : «[...] cœur solitaire ressemble au murmure que les vents et les eaux font entendre dans le silence du désert [...]» (L.2-3) mets en évidence

Analyse des poèmes. Le temps de vivre, Boris Vian : Il a dévalé la colline Ses pas faisaient rouler les pierres Là-haut entre les quatre murs La sirène chantait sans joie Il respirait l’odeur des arbres Avec son corps comme une forge La lumière l’accompagnait Et lui faisait danser son ombre Pourvu qu’ils me laissent le temps Il sautait à travers les herbes Il a cueilli deux feuilles jaunes Gorgées de sève et de soleil Les canons d’acier bleu crachaient De courtes flammes de

« sortir de sa bouche quelque chose d’articulé ». La taille des répliques montre bien qu’il s’agit d’aller au plus vite : le dialogue se réduit à l’essentiel des informations, et est d’ailleurs brutalement interrompu par une explosion (« il a eu le temps de dire tout juste »). Pourtant les conséquences de l’explosin s’installent durablement dans le corps de Bardamu, comme en témoigne la récurrence de l’adverbe « longtemps ». 3. l’enfer des explosions Bardamu traduit la violence de l’explosion

| | | |distique, la 6ème un |sont celles ou l’on | | | | |septain, la 7ème à 14 |retrouve le plus d’action.| | | | |vers. | | | | |Longueur des

amoureuse.Projet de lecture : Comment l’auteur renouvelle les thèmes et les règles traditionnels pour exprimer son état-d’âme.Mouvements:- Vers 1 à 4 : Description d’un environnement bucolique mais toxique avec la présence des colchiques- Vers 4 à 6 : Comparaison entre la femme et la fleur- Vers 7 : Un amour qui tue- Vers 8 à 12 : L’enfance vient déranger le calme de la campagne- Vers 13 à 15 : Les vaches quittent le pré comme l’auteur accepte son deuil amoureuxSTROPHE 1 :- Vers 1 à 4 : Description d’un

Julien part se promener dans les montagnes. Nous allons ici commenter ce texte et à cette fin nous allons voir que quelques éléments de cet extrait relèvent du réaliste mais surtout qu'il met en évidence la personnalité de Julien. Dans un premier temps, cet extrait s'encre dans le registre réaliste. Les éléments réalistes sont principalement situés dans le 1er paragraphe. Tout d'abord, "L'air pur de ces montagnes élevées communiqua la sérénité et même la joie à son âme" "sentait que la haine qui

en appréhender les caractéristiques. Ce sera l’objet de cet exposé. I/ La langue d’Homère 1/ Quelques notions de base Le grec est, comme le latin et le sanscrit, une langue indo-européenne. On peut reconstituer les racines des mots par la comparaison de ces langues et d’autres parlées et écrites à la même époque. Ce travail a été fait par les philologues, surtout aux XIXème et XXème siècle. Les anciens Grecs ont adopté et transformé l’alphabet sémitique (phénicien), de manière à noter les