Comparaison Entre Citoyenneté Romaine Et Athénienne

l’idéalisme du penseur. C’est le point de vue subjectif de l’auteur qui compte, surtout pas notre point de vue. On voit très souvent des courants réapparaitre. Les auteurs ne sont donc pas complètement indépendants : il a très souvent un legs entre les auteurs. Antiquité <>révolution Sur de nombreux points fondamentaux : énorme influence de l’antiquité. A partir de la formation de certaines idées politiques, certaines s’appliquent aux institutions politiques et publiques d’aujourd’hui

ont une envie simple sur leur tombe et sont pourtant riches. Donc l’interprétation ne marche pas à tous les coups en l’absence de textes. Conclusion : Continuité matérielle entre les mondes mycéniens et archaïque/classique difficile à démontrer tant semblent particuliers les traits de l’art mycénien. Les comparaisons sont plus formelles que fonctionnelles. L’originalité de l’art mycénien ne saurait remettre en question le caractère hellénique de cette civilisation continentale. C’est une question

MONDE MODERNE 28/09/10 Dans l’époque Archaïque, il y a deux noms Solon et Clisthène. Solon est réputé pour avoir crée la démocratie athénienne parce qu’il a donné au peuple une partie de l’exercice de la justice (jurys populaires de dizaines voire de centaines de citoyens). Après une période de tyrannie, il y a une refondation de la démocratie athénienne par Clisthène, elle prend un autre sens, un conseil de 500 citoyens est instauré tirés au sort pour un an (voir doc). Pour l’époque Classique

l’évolution de la société, influences sur tel pays, tel peuple. Ex : Le CCiv s’inspire du droit romain. La période étudiée est vaste puisqu’elle couvre plus de 20 siècles, mais importante car elle remonte aux sources romaines du Droit. 3 Parties : Les fondations romaines : civilisat° romaine, droit romain = droit privé, reflex° / régimes pol auxquels on a emprunté du vocabulaire (cf Sénat, mot romain, republica = res publica = chose publique, les comices, plébiscite = referendum) L’expérience médiévale

groupe du côté de la morale. La question que nous allons envisager est celle des rapports du droit positif avec la morale de notre société; plus fondamentalement le rapport entre les notions de droit et de morale, ce qui permettra de préciser leur définition. Il y a un accord assez général pour relever une proximité globale entre ces deux ordres; pourtant, il est nécessaire de dégager une dissemblance fondamentale sous peine de ne plus comprendre ce que nous faisons en fac de droit. Développement

au 3e millénaire avant notre ère. Ils sont appelés Droits Cunéiformes. Ils sont apparus environ entre 3000 et 2500 av. J-C. On ne connaît pas le droit antérieur au 3e millénaire car on ignorait l’écriture. On commence l’histoire du droit avec l’écriture.   Section 1: Droits Cunéiformes.  Droits qui appartiennent à  des peuples différents. Sumériens, babyloniens, assyriens…Le lien qui existe entre ces différents droits n’est ni ethnique ni linguistique mais purement matériel. C’est un procédé d’écriture 

italiques dans les commentaires des programmes. Le choix a été fait de les présenter de façon contextualisée, plutôt que d’en fournir une liste. Les thèmes suivants sont étudiés : 1 - Un exemple de citoyenneté dans l’Antiquité : le citoyen à Athènes au Ve siècle avant J.-C. – un exemple de citoyenneté dans l’Antiquité : le citoyen à Athènes au Ve siècle avant J.-C. ; – une approche de la religion chrétienne, composante majeure de la civilisation occidentale ; – la diversité des civilisations médiévales

donner une vue d’ensemble de l’évolution générale du Droit, il doit montrer les racines du Droit actuel, positif. Qu’est-ce que le Droit ? C’est l’ensemble des règles destinées à régir la vie des hommes en société. Définition de Ulpien (juriste romain) : le Droit c’est l’art du bon et de l’équitable Est-ce que la morale n’est pas un mode d’organisation sociale ? La morale est un ensemble de règles qui doit régir la vie en société. On peut dire qu’ils se ressemblent puisqu’ils doivent encadrer

toujours une distinction entre gouvernant et gouverné. Mais c’est aussi une forme de lutte spécifique. De manière plus large, c’est toujours une lutte. 1. La dialectique entre l’ami et l’ennemi : Pour le philosophe et sociologue Julien Freund, c’est ce qui caractérise la politique. Il explique cette thèse dans son ouvrage « L’essence du politique ». Il reprend les thèses du juriste allemand Karl Schmitt. Pour Freund, la politique, c’est une lutte incessante entre toute sortes de collectivités

CHAPITRE 1 : Ius et Iustitia (système juridique romain) Livre : - Justinien, Institutes, 533 Rigaudière, Introduction historique à l’étude du droit et des institutions Jacques Krynen, Idéologie de la magistrature ancienne Jacques Krynen, Emprise contemporaine des juges Introduction : I- repères historiques -759 Rome, Jus Pater, Romulus et le senatus, Civitas (cité), Populus (peuple) -509 Res-publica  changement dû à l’expulsion royale de Tarquin. Institution de maître :