Comparaison Entre Orphée Et Sainte Colombe

adversatif. Cette confession apparente cache une habilite perfide, et il incite les autres à faire de même que lui « s’accuse ainsi que moi » II. La comédie de cour A/ Un flatteur Intervention du renard en continuité de celle du lion Rime entre « roi » et « moi » Le renard va tenter de maitriser la parole à son profit Soumission au roi, 1er mot à l’attaque de son discours appellatif « sire », apostrophe postposée « seigneur »  replace le lion au sommet de la hiérarchie 2 occurrences

plus en fonction de dieu mais en fonction de l’art, une période antique, gothique et renaissante. Le mot renaissance apparaît au XIXe siècle chez Michelet, chez Balzac. La Renaissance est donc un moyen de civilisation. Elle est une période charnière entre le Moyen-Âge à l’époque moderne. On passe d’un art centré sur dieu à une composition anthropocentrique. C’est une période de découverte de l’homme et du monde selon Michelet. On a donc un intérêt scientifique et artistique pour la nature qui n’est

féminin avec les termes récurrents montrant un éloge de la femme : « Adorer et servir la beauté qui me nuit » au vers 4 ou comme le montre le vouvoiement et l’apostrophe : « Madame » au vers 1. Remarque : On retrouve également une analogie entre les poèmes de la Pléiade et les poèmes de l’Antiquité, en effet, on peut comparer ce poème à que Catulle écrit à sa bien aimé Lesbie, où Hélène est l’analogue de cette pénultième sus-évoquée. III. LE ROMANTISME Le romantisme est un mouvement

TOUl IVTn ~ LA COULEUR. LA LUMIÈRE ET L'OMBRE DANS LES MÉTAPHORES Dl VICTOR HUGO METAPHORES Ils DANS L'ŒUVRE LA ET DE LES COMPARAISONS HUGO VICTOR COULEUR LA LUMIÈRE ET L'OMBRE DANS LES MÉTAPHORES DE VICTOR HUGO PAR EDMOND HUGUET : Il R A LA FACULTÉ DES LETTRES DE l'uNIVERSJTE DE CAEN ^^-^ PARIS BRA1RIE HACHETTE 7m. ET boulevard saint-germain, 79 1905 C lff 16 U 19 i AVANT-PROPOS Ce volume, comme le précédent', est fait pour non pour être lu. Ce n'est pas être

1842, Musée public d’Hartlepool, Cleveland, Royaume-Uni. Activité : lecture de l’image. Séance 3 : entre rêve et cauchemar. Objectif : * Découvrir les lieux du conte merveilleux. Support : * « un lieu féérique », extrait de La Petite Sirène, Andersen. Activités : * lecture/compréhension.  * Vocabulaire : la notion de champ lexical. * Figure de style : la comparaison. Séance 4 : Les compléments circonstanciels. Objectif : * Etudier différents compléments circonstanciels

Mon cheval, ma Camargue et moi (G. Brassens, Heureux qui comme Ulysse,in La religieuse, 1969) La rosa: * Ces roses cy par grande nouveauté Je vous envoye et en est bien raison: La Rose est fleur qui sans comparaison Sur toutes fleurs a la principauté Sur toutes est ainsi vostre beauté, Et comme, en France, en l’arrière saison, La rose est rose et n’est en grand foison, Rare est aussi ma grande loyauté. Donques

(retour délibéré en arrière) Philarète Alberti : ils pensaient que vers la fin de l'antiquité la civilisation romaine s'était affaiblie : laissant place à un âge moyen, sorte de période de dépression marquée par la baisse de la qualité des œuvres entre celles de l’Antiquité et celles de la Rennaissance. Le moyen-Age commence avec l’effondrement du monde antique (empire romain) en 476 et s’étend jusqu’au XVe siècle, c’est-à-dire avec la découverte du Nouveau Monde (Amérique) en 1492. Ou bien, on peut

Paris », porte-voix et chanteur à la fois. L’ivresse dont il se réclame constitue l’une des manifestations symboliques du principe amplificatoire qui est à l’œuvre dans le lyrisme.   Plus précisément, le motif de l’alcool établit un parallélisme entre vie et poésie qui en lui se confondent en une même intensité ou brûlure. Au dépressif enivrement des buveurs d’absinthe et des fumeurs d’opium se substitue l’idée d’une euphorique ivresse collective. L’alcool d’Ap. rend plutôt possible une espèce

TOISON D'OR CHAPITRE PREMIER Tiburce était réellement un jeune homme fort singulier ; sa bizarrerie avait surtout l’avantage de n’être pas affectée, il ne la quittait pas comme son chapeau et ses gants en rentrant chez lui : il était original entre quatre murs, sans spectateurs, pour lui tout seul. N’allez pas croire, je vous prie, que Tiburce fût ridicule, et qu’il eût une de ces manies agressives, insupportables à tout le monde ; il ne mangeait pas d’araignées, ne jouait d’aucun instrument

de l'obtention du grade de Maître ès arts (M. A.) en Études françaises avril 1994 Luc Gauvreau, 1994 SOMMAIRE L'ensemble des noms propres dans l'oeuvre de Jacques Ferron forme une encyclopédie de près de 9 000 noms et de 25 000 entrées. Après l'exposé de l'esthétique qui sous-tend le projet encyclopédique, un parcours chronologique des quatre périodes essentielles de la production ferronienne dresse un tableau général des noms de lieux, de personnes, de collectivités, d'oeuvres