Comparaison Marx Smith

____________________________________________________________ ___________ 7 1.3. Conclusion__________________________________________________ ___________________ 7 2.1. Malthus (1766 – 1834) _______________________________________________________ 6 2. 3. Adam Smith (1723 – 1790)____________________________________________________ 7 Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations, 1776 _____________________ 7 3.1. Loi de Say ou loi des débouchés ______________________________________________________

Weber, Pareto, cette tension existe, c’est en effet une tension constitutive de la sociologie. Lorsqu’on lit Marx, nous trouvons bien une corrélation entre ses œuvres et la politique ? Mais en même temps, il prend tout de même de la distance pour comprendre une situation, comme dans « Le Capital ». Neutralité & distanciation pour essayer d’être objectif. Nous retrouvons donc même chez Marx un souci de distanciation. P. Bourdieu a passé sa carrière à dire qu’il ne faisait pas de politique, pourtant

ultralibéralisme Texte pédagogique Mise à jour : 24/03/2009 Définitions politique et économique du libéralisme. Analyse des transitions vers le keynésianisme puis le monétarisme. Définitions et critiques du néolibéralisme et de l'ultralibéralisme ; comparaisons avec le socialisme et le communisme. Cas particulier de la France. Ce texte constitue une initiation à l'économie de marché. Table des matières 1. Libéralisme ................................................................................

toutefois les bases de l'émergence d'une véritable science économique. Smith, Marx, Pareto sont ainsi les fondateurs et les représentants de l'école classique en économie. Ce faisant, ces derniers ont jeté les bases sur lesquelles allait s'édifier la science économique elle-même. Qu'il s'agisse de la division du travail, de l'optimisation automatique de la combinaison productive et distributive par la "main invisible du marché" chez Adam Smith, ou encore de l'équilibre optimum parétien, ces hypothèses forment

http://pcdo.expolitike.fr La comparaison comprend toujours le comparé et le comparant. C'est une pratique ordinaire, elle structure la plupart des raisonnements de la vie quotidienne. La comparaison sert à donner des repères, donner du sens. Elle permet d'évaluer, de donner de la valeur ( les autres, soi même). Une comparaison a une rigueur propre. I) La comparaison en science sociale : historique et principes généraux A) Les précurseurs de la comparaison Aristote comparait les différents

science économique était de réfléchir sur les mécanismes de l’enrichissement économique. C’est à partir de l’école mercantiliste, première école, que cette question est abordée sous l’angle des mécanismes. Le point de césure est constitué par Adam SMITH lorsqu’il écrit son ouvrage Sur la richesse des nations en 1776. RICARDO va prolonger cette réflexion. La sociologie apparaît avec l’émergence du « peuple » comme acteur et comme partie prenant à l’histoire. C’est au XVIIIème siècle que l’on commence

du monopole 43 e. Efficience du monopole 44 f. Discrimination tarifaire 45 3. L’oligopole 45 a. Types d’oligopole 45 4. La concurrence monopolistique 46 a. Conditions de concurrence non respectée 46 b. Spécificités 46 5. Comparaison entre les structures de marché 46 6. Libéralisation des marchés 47 Chapitre 6 : Equilibre Général 48 1. Equilibre général 48 2. Pas d’optimalité partielle 48 3. Modèles de Malinvaud et de Keynes 48 a. Chômage et analyse partielle

société qui suit la crise où le régime (re)devient rationnel. Comte distingue au niveau de la méthode 3 démarches possibles : l’observation, la comparaison et l’expérimentation. Mais la mise en œuvre de cette dernière n’étant pas commode dans le cas des phénomènes sociaux, il défend le recours à l’observation et à la comparaison. Notamment la comparaison historique comme le rapprochement des divers états de la société humaine pouvant exister dans différents endroits du monde. On doit comparer

paradigme keynésien descendant de Platon Page 3 sur 39 Partie I : Les controverses fondatrices de la penséemonétaire classique La penséemonétaire classique s’est construite pour l'essentielau 19ème siècle après que le cadre eut été posé par Adam Smith en 1776 «recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations ». Cependant la penséemonétaire classique n'a pas attendu cette époque, puisque trois sièclesauparavant(1568) une célèbre controverse entre le « Sieur de Malestroit » et Jean

l'époque de la révolution industrielle, mais il est bien un phénomène qui traverse les époques et les cultures. Cette conception du capitalisme lui est propre car elle est centré sur l'individu. En effet elle diffère d'analyse de sociologues comme Marx pour qui le capitalisme est le fruit d'une organisation sociale qui pesait sur les individus. L'apport essentiel de Weber est de dire que le moteur du capitalisme sont les comportements individuels. L'individu effectue donc avant chaque opération,