Comparer Deux Philosophes

la guerre auxquelles les deux armées participent tête baissé, puis il raconte que candide s’en enfuit après s’y être comporter en lâche. On peut se demander comment Voltaire emploie l’ironie pour se moquer de la guerre ? Pour cela nous verrons d’abords comment il valorise puis dévalorise la guerre. Nous évoquerons ensuite les autres cibles de Voltaire. Voltaire emploie l’ironie pour dénoncer la guerre. En effet, il commence par la valoriser. Pour cela il va comparer la guerre à un spectacle

Ce philosophe du XVIIe siècle est un réel précurseur de la pédagogie moderne. C’est ainsi que celui-ci passe pour le perdre de la pédagogie de la modernité. Comenius a dédié toute sa vie à perfectionner les méthodes d’instructions éducatives. Il a révolutionné l’éducation avé son projet universel. La situation familiale de Comenius est très atypique. En effet, les parents du philosophe sont des extrêmes religieux nommés Anna Chmelová et Martin

y a un coté positif qui en ressort. Premièrement, si votre opinion sur la mort consiste simplement à un sommeil interminable du corps et de l’âme, plusieurs aspects positifs peuvent être retenus. Pour cette première vision de la mort, Socrate la compare à un de ces sommeils où l’on ne voit rien, où l’on ne rêve pas, où l’on n’a même pas conscience d’avoir eu une longue nuit de sommeil. Il estime qu’aucune journée et aucune autre nuit ne peut-être plus agréable que ces nuits sans souvenir. Je suis

plonge petit à petit dans la décadence. C’est à ce moment que Diderot le rencontre ! 2ème caractéristique : nous avons dans ce cas présent un roman qui tourne complètement autour de deux personnages uniquement et ce durant toute la durée du roman. LUI (c-à-d le neveu de Rameau) et MOI (c-à-d Diderot lui-même le philosophe). Vous l’aurez compris, dans ce roman Diderot se met lui-même en scène. Il donne la réplique à LUI (Rameau l’artiste raté). Pourquoi Diderot a-t-il choisi un tel personnage ? Parce

Depuis l’Antiquité, les philosophes se penchent sur l’art du bonheur. Depuis peu, les sciences humaines reprennent le problème sous un nouvel angle. N’existerait-il pas quelques facteurs fondamentaux – culturel, économique, social, relationnel et, pourquoi pas, génétique – qui prédisposeraient certains à être plus heureux, ou malheureux, que d’autres ? Le bonheur : de quoi parle-t-on ? « J’ai connu le bonheur, mais ce n’est pas ce qui m’a rendu le plus heureux », écrivait le malicieux Jules Renard

vise-t-il à former l'âme plus que l'esprit ? « Un homme réellement expert et rompu à la pratique »   Avant les rationalistes et les encyclopédistes, les humanistes ont été soucieux de fonder le savoir sur l'expérimentation (on pourra utilement comparer le texte ci-dessous à La dent d'or de Fontenelle). C'est en autodidacte que le céramiste Bernard Palissy prévient ici son lecteur, dans un avertissement où l'on pourra apprécier une profession de foi faite d'humilité et d'arrogance. Bernard PALISSY

PRINCIPE DE NON CONTRADICTION Ce texte est un extrait de « La Métaphysique », ensemble de 14 livres écrits par Aristote, qui était un philosophe grec né en -384. Cet extrait porte sur le principe de non contradiction. Aristote pose le principe de non contradiction comme une nécessité absolue. Il est un axiome, c’est-à-dire qu'il est une vérité première qui contribue à démontrer les autres vérités, mais lui-même ne peut être déduit en vertu de sa simplicité et de son caractère premier. En effet

l'appliquer à la grande et à la petite torture, en présence d'un chirurgien qui lui tâte le pouls, jusqu'à ce qu'il soit en danger de mort, après quoi on recommence; et, comme dit très bien la comédie des Plaideurs: « Cela fait toujours passer une heure ou deux. »Le grave magistrat qui a acheté pour quelque argent le droit de faire ces expériences sur son prochain, va conter à dîner à sa femme ce qui s'est passé le matin. La première fois madame en a été révoltée, à la seconde elle y a pris goût, parce qu'après

écrit la fameuse maxime : « l’Homme est un loup pour l’Homme » ou « Homo homini lupus est » en latin. Les comparaisons entre l’animal et l’homme pourront vous aider à mieux comprendre les rapports entre les deux. Comme sur le thème de la mémoire et du désir, Aristote sera à nouveau un philosophe bien utile à mobiliser pour évoquer une des différences fondamentales entre l’animal et l’Homme : « L’Homme est un animal social » qui a également été traduit par « L’Homme est un animal politique » .

Introduction A travers l'analyse de la notion de désir, elle-même directement liée à l'idée que les hommes se font du bonheur, et dans la mesure où le bonheur serait en quelque sorte la résultante de la satisfaction de ce désir - Schopenhauer, philosophe allemand du 19ème siècle, nous livre une vision pessimiste ou négative de la manière dont sont organisés les désirs humains. Le désir correspond essentiellement, à travers la conception qu'il nous en présente, à un manque que les hommes ne pourraient