Comparer Platon Et Aristote

Spinoza appliquer la méthode de la géométrie aux connaissances en général ? Ou ne faudra-t-il pas reconnaître, avec Leibniz, que les démonstrations géométriques sont incapables de fournir des jugements d'existence ? Oeuvres : Seconds analytiques (Aristote) IV- Le vivant : • Le vivant se distingue de l'inerte par certaines propriétés remarquables ; en particulier, tout, dans un être vivant, semble être organisé en vue d'une fin. Alors, la finalité est-elle nécessaire à la compréhension du vivant 

l’enrichissement reste au cœur des débats. Platon le communiste (« La République ») va s’opposer à la notion de propriété privée. Dans son opposition, il va très loin, il nous offre une organisation du monde possible. Il est le seul penseur à faire une description du monde. Mais d’un point de vue économique, il n’est pas cohérent car il est utopiste. Il propose un système communiste absolu dont Marx s’en inspirera plus tard. Platon met en commun les biens mais aussi les personnes

la démocratie se situeraient vers 5500 av JC, lorsque des assemblées populaires se réunissaient déjà en Europe pour participer aux décisions collectives. Dès 500 av JC, (antiquité) en Grèce, on parlait déjà de constitution comme le faisaient déjà Aristote, alors même que les droits de l’homme sont encore essentiellement des droits du citoyen et que les droits ne sont pas aussi clairement reconnus qu’ils le seront à partir du constitutionnalisme moderne, dès lors que cette société connaît l’esclavage

Introduction  La diversité d’emplois et de significations du verbe aimer rend difficile sa définition, même lorsqu’on le compare à d’autres réalités. Le thème de l’amour reste un thème vaste parce qu’on ne saurait enfermer le concept « aimer » dans une définition stéréotypée. Ainsi, la question « qu’est-ce qu’aimer ?» nous paraît comme une équation difficile à résoudre parce qu’elle nous ramène à la question de la fonction de l’amour, de son rôle, de sa manifestation et de sa finalité. Equation

Hommes, et du monde autour duquel s'est construite la société. On pourrait presque parler d'animalité, de régression sociale et humaine, car selon Aristote, l'Homme est un animal politique (politikôn zoôn), et est donc fait naturellement pour intégrer la société. Si un homme choisit de vivre en dehors de celle-ci, c'est qu'il est, toujours selon Aristote, soit supérieur, soit inférieur à l'homme et est donc soit une divinité, soit un animal, ou même un monstre. C'est pourquoi, nous nous pencherons

c'est la pratique qu'en fait Socrate, dans les dialogues de Platon (où l'on trouve un usage abondant du mot), qui fixera le type de recherche et de questionnement en quoi consiste encore aujourd'hui la philosophie[4]. Le terme est composé des mots « ami » (philos) et « sagesse, savoir » (sophía), la « philosophie » signifiant ainsi : « amour de la sagesse » ou « amour du savoir ». La philosophie est à plusieurs reprises définie par Platon comme étant en opposition avec les désirs « humains » : philo-hèdonos

rapport à qui ? Par rapport à la personne qui calcule, bien sûr. Du coup, avant de « calculer » quoi que ce soit, la personne en question doit mener une belle introspection. « Gnôthi seauton » : connais-toi toi-même. Inspecte-toi. (Voir aussi, pour comparer, la première partie du corrigé « moderne ».) Socrate, lors de son procès (voir ce cours), déclare à ses juges : « Moi, je vous rends vraiment heureux » (36d), par opposition aux athlètes vainqueurs et, voudrait-on ajouter, aux plaisirs du corps

présentées dans le texte, ceux qui font preuve d’un manque de courage et de volonté, définis comme « sous tutelle » et ceux qui sont libres, qui utilisent « leur propre entendement », qui servent de « tuteurs » aux autres Hommes, ces derniers peuvent être comparés à des tyrans car tout comme eux, ils ont le pouvoir sur les Hommes qui n’ont pas la volonté ni le courage d’être libres,  ils obtiennent tout ce qu’ils veulent sans aucun obstacle. La première catégorie d’Homme ne cherche pas à être libre, ce qui

sans pensée ou sans conscience. Pourtant, le point de vue matérialiste remet en cause cette distinction, en niant l’existence d’un esprit immatériel. 1. la distinction du corporel et du spirituel a) définition matière et esprit Pour Aristote la matière est différente de la forme, elle peut recevoir une forme mais ce n’est pas ce qu’elle est essentiellement. La matière + la forme = tout concret, c’est-dire le réel. Descartes et Galilée comprend la matière géométriquement. Pour Descartes

dans ce texte Quelles modifications, transformations sont décelables dans ce texte / qu’est ce qui c’est passé entre le début et la fin du texte. Il faut être attentif au parcours (découpage) du texte et à ses limites (début et fin). Truc : comparer le début et la fin du texte. Le commencement et la fin du texte sont incroyablement différent forme et fond confondu Elle commence par des cris de Chimène qui n’en croit pas ses yeux de « voir Rodrigue en sa maison » A la fin : « Va, je