Comparer Platon Kant

politique ? La politique peut-elle faire l’objet d’une science ? Dans quels termes et jusqu’où ? En tant que partie de l’éthique, la politique a le statut d’un savoir pratique (prudence) théorisé par les Anciens (Aristote et Cicéron surtout, mais aussi Platon) qu’il s’agit de reformuler en fonction d’une réalité historique et sociale élargie, en prenant appui d’une part sur l’histoire en tant qu’elle délivre un savoir de type pratique fondé sur l’exemplarité, et d’autre part sur les savoirs constitués

.......................................................................................... 19 Pour mieux comprendre le texte .............................................. 21 Texte 4 : Une maladie de l’âme, associée et opposée à la raison, E. Kant (1724-1804) ...................................................... 22 Pour mieux comprendre le texte .............................................. 24 Texte 5 : La passion aveugle les amants, Lucrèce (97-55 Avant J. C.) ......................

que Montaigne est un auteur plein de douceur et de bénignité. Aristote s’occupe du réel en écrivant de manière austère alors que Platon est plus artiste : Montaigne préfère presque la forme au fond : « j’aime l’art poétique qui va à sceau et à gambade ». Montaigne est le chantre de l’amitié :il a écrit des lignes sublimes sur la perte de son ami La Boetie « Si je compare tout le reste de ma vie dit-il, aux 4 années où j’ai jouis de la compagnie de mon ami (La Boétie) la vie n’est que fumée » Montaigne

Conclusion……………………………………………………………………………. Bibliographie…………………………………………………………………………. Index………………………………………………………………………………….. Table des annexes……………………………………………………………………. Annexes………………………………………………………………………………. Table des figures L’Allégorie de la Caverne de Platon………………………………….……………… La classification des désirs d’Epicure……………………………………………….. La pyramide des besoins de Maslow………………………………………………… Introduction Dans notre société de plus en plus matérialiste et superficielle, il est rare de trouver

propre à l’homme, comme Vérité révélée reflétant la Parole divine (en particulier celle transmise à Moïse, ce qui inclut une parole prophétique et aussi la pratique de l’allégorie), comme Raison divine capable d’une action démiurgique (cf. Platon) ou encore comme un ensemble de raisons d’être des choses (cf. les raisons spermatiques stoïciennes). On retrouve, organisées en système autour de la parole biblique, pratiquement toutes les figures grecques du Logos.2. Quelles sont les différences

réminiscence chez Platon n'a plus de quoi nous surprendre : comme il arrive souvent en philosophie, sa vision du monde n'est que l'explication du sens que contient déjà le mot : Platon pense que nous possédons la connaissance des principes pour les avoir antérieurement contemplés dans l'au-delà, mais qu'elle est enrobée d'un voile d'oubli. Néanmoins, un effort intense de l'esprit peut nous permettre de la récupérer. C'est ce que Platon appelle la réminiscence. (Cf. Manuel Platon, pages 286) 7 Rarement

rejoint la pensée de Platon, laquelle est très clairement expliquée au moyen du mythe de la caverne. En effet, il ne serait pas erroné de comparer le monde de la Volonté au monde des Idées de Platon, à un Monde nouménal, et en fin de compte donc, au monde extérieur à la caverne. Dès lors, le monde des représentations schopenhauerien serait un monde phénoménal et équivaudrait donc aux ombres perçues dans la caverne. Cette conception bipartite du monde, Schopenhauer la doit également à Kant, il pense que

lui-même ? Toutefois, ne peut-on mettre en doute une telle certitude ? Loin d'être des évidences, cette claire présence de soi à soi et cette unité du sujet ne sont peut-être que des apparences, qui pourraient prendre place parmi les ombres dont Platon nous invite à nous détourner dans son mythe. En effet, malgré toute la confiance que nous lui accordons spontanément, ce "je" n'est peut-être, après tout, qu'une figure superficielle de notre identité. Cette confiance que nous lui accordons ne repose

connaissance. B. non seulement l'art ne cherche pas la vérité mais il peut même en détourner. C'est ce qu'il fait en nous divertissant et en nous faisant fuir la triste réalité, en l'embellissant et même en nous trompant. On peut ici penser à la critique de Platon et de l'art comme simulacre, comme illusion trompeuse qui détourne de l'Idée. C. Quand l'art semble faire cet effort de « vérité » dans le réalisme, il peut alors se réduire à un simple exercice technique sans intérêt artistique et servile, comme

d'autres articles, on ne traitera ici le sujet que d'un point de vue logique et épistémologique. Robert BLANCHÉ La notion de vérité est ambiguë. On peut parler d'une proposition vraie ; mais on peut parler également de la vérité de son contenu, comme Platon a posé celle des objets hypostasiés en Idées, que vise d'après lui la connaissance. Une première exigence à remplir pour que la vérité acquière un statut prédicatif a donc été de séparer les noms et les choses. Faute d'une telle séparation, la conception