Compassion

avec une césure à l’hémistiche antithétique qui marque bien l’opposition.Pour finir, le chêne éprouve de la compassion envers le roseau. Cette compassion paraît hypocrite, moqueuse. Au vers 14, il propose ses services au roseau, mais ne peut rien faire. Il fait son propre éloge. Le dialogue du chêne montre donc en lui un désir de domination, d’écrasement, avec tout de même de la compassion pour le roseau, qui lui répond alors. II. La parole du roseau A partir du vers 18 jusqu’au vers 24, c’est au

Ecritures. Il est difficile de nier que la Bible est la compilation de révélations littéraires la plus exceptionnelle, voire insolite, de l'Histoire du monde. ____________________________________________________________ _______ BibleDoc - Vérité - Compassion - Persévérance http://www.bibledoc.com 2 Considérons les faits. Plus de quarante auteurs, ayant diverses occupations dans la vie, contribuèrent à compiler soixante-six livres distincts: Moïse était un prince; David, un roi; Esaïe était un

Médée tente de susciter la compassion du Roi puis dans une seconde partie, étudier la construction de l'argumentation de Médée à l'image du discours oratoire classique. I- Un appel à la compassion. Le premier vers de ce passage « ma tâche est ardue » annonce d'emblée le but de Médée. En effet, ces premiers mots présagent le commencement d'un plaidoyer où Médée tente de se défendre face aux accusations du Roi. Dans le but de plaider sa cause et d'attiser la compassion, Médée se livre à une longue

avec une césure à l’hémistiche antithétique qui marque bien l’opposition. Pour finir, le chêne éprouve de la compassion envers le roseau. Cette compassion paraît hypocrite, moqueuse. Au vers 14, il propose ses services au roseau, mais ne peut rien faire. Il fait son propre éloge Le dialogue du chêne montre donc en lui un désir de domination, d’écrasement, avec tout de même de la compassion pour le roseau, qui lui répond alors. A partir du vers 18 jusqu’au vers 24, c’est au tour du roseau de parler

I/Montrer que le poète fait une description pathétique des ouvriers lillois Le poète -->Description pathétique des lillois Victor Hugo, met en place dans ce poème, un registre pathétique. Celui-ci, cherche à provoquer la pitié, la compassion du lecteur. Cette émotion peut être une fin en soi mais aussi avoir une fonction argumentative et amener le lecteur à régir, face à une injustice par exemple. C'est le cas ici, car Victor Hugo évoque à travers ces quelques vers un grande situation

cette infamie ? ». On nous montre donc à travers ce texte les sentiments de Don Diègue. La ponctuation forte, points d'exclamation de points d'interrogation marque encore plus le spectateur. Cette pièce chercher donc à nous faire éprouver de la compassion pour le personnage malheureux et désorienté. On peut donc conclure en disant que l'auteur a réussi, par différents procédés, à marquer l'esprit du spectateur, à le captiver et à lui faire éprouver des sentiments.Ce texte est extrait d'une pièce

* D’une part; le lecteur n’éprouve pas de colère ou de dégoût pour le meurtriers mes en scène, au contraire ils éprouvent de la compassion voire de la pitié. *1: insiste sur l’isolement de Julien , il reste immobile ( ligne 19) *2: Milady attise la compassion du lecteur en fuyant mais ne peut pas résister au destin prédit ( ligne 43.44) *3: pitié ou compassion , car c’est un acte fait à contre- cœur ( ligne 13 ) *D’autre part, le choix de la focalisation interne permet également une proximité

césure à l’hémistiche antithétique qui marque bien l’opposition. Pour finir, le chêne éprouve de la compassion envers le roseau. Cette compassion paraît hypocrite, moqueuse. Au vers 14, il propose ses services au roseau, mais ne peut rien faire. Il fait son propre éloge. Le dialogue du chêne montre donc en lui un désir de domination, d’écrasement, avec tout de même de la compassion pour le roseau, qui lui répond alors. II. La parole du roseau A partir du vers 18 jusqu’au vers

d'amour? À-t-il agi par devoir envers sa fille suite à un choix rationnel concernant la dignité humaine, alors que celle-ci vivait dans la douleur et l'inaptitude déchirante de s'occuper d'elle-même ? Comme justification à son acte, le père invoque la compassion qu'il ressentait envers sa fille. Mais désirait-elle la mort? À-t-il agi d'après ses propres convictions, pensant que ce serait inhumain de laisser sa fille vivre dans la souffrance, une souffrance qui le touche lui aussi et sa famille. Par opposition

qui prime sur la question de l’euthanasie et qui est : l’interdit du meurtre. Pourtant, il est possible de passer outre cet interdit : par compassion. Qu’est ce que la compassion ? la compassion est une caractéristique fondamentale de l’humanité qui nous lie les un aux autres par notre condition et nous permet d’apercevoir la souffrance d’autrui. La compassion regroupe des valeurs comme l’amitié, la pitié ou encore l’empathie. Elle permet à un individu de se mettre à la place d’un autre, c’est-à-dire