Compassion

Aquilon, tout me semble Zéphyr. » L'opposition est mise en valeur et renforcée par la coupure à l'hémistiche au vers 10. L'opposition est très nette. Il fait son propre éloge. Nous avons l'impression qu'il éprouve une certaine compassion pour le roseau même si cette compassion paraît hypocrite ou moqueuse. Nous voyons le roseau prendre ensuite la parole à partir du vers 18. Le roseau Le roseau se manifeste au vers 18 jusqu’au vers 24 pour répondre aux phrases du chêne. Son discours est moins long

provoquer chez le lecteur de la pitié et la compassion. Il provoque ainsi une révolte intérieure chez le lecteur contre la maltraitance. Dans ces quatre textes, nous pouvons voir que les auteurs se servent de la littérature du XIéme siècle pour donner leur avis sur un thème précis et provoquer chez le lecteur de la compassion, dans ce cas, pour la maltraitance et l’exploitation des enfants. Grâce aux différents procédés, les auteurs insistent sur la compassion que l’on peut avoir pour les enfants et

internationale. Mais, « Personne ne pleure », n’a-t-on de cesse de lui répéter. La frustration des habitants de Belgrade est grande mais plus grande encore est la compassion de Baltasar. Celle-ci, qui comme lui révèle Agnes est le fruit d’un conditionnement familial et de son éducation catholique, l’éloigne de la réalité de la situation. La compassion est en effet une valeur chrétienne cardinale, au même titre que le pardon, l’humilité, l’obéissance. Dragan puis Zeljko vont confronter Baltasar à ses propres

permet au lecteur de se sentir concerné par la tristesse et l’amour non réciproque que subit cette femme. S’agissant de la syntaxe de l’ensemble de l’extrait, les phrases utilisées sont très longues. Cette méthode permet au lecteur d’éprouver de la compassion, et de prendre position sur le caractère injuste de la situation. S’agissant des figures de construction que nous devons relever, nous pouvons en analyser quelques unes. Tout d’abord, de la ligne 6 à 13, il y a un enchaînement d’anaphores rhétoriques :

notre identité dans le monde. Le problème de la compassion: La "pensée élargie" est pour certains philosophes définie par la compassion, et même la pitié. C'est le cas de J.J. Rousseau et d'Arthur Schopenhauer dans Discours sur l'origine de l'inégalté parmi les hommes et Uber die Grundlage der Moral. Kant distingue pourtant "la pensée élargie" de la "pensée avec", cette derniere se rapprochant davantage, d'après lui de ces notions de compassion et pitié. Tentons d'abors de définir quelques notions

exhortation au lecteur. Dans ce cadre, le rôle de la poésie est non plus de refabriquer le monde (texte précédent) mais de changer les représentations habituelles et de transformer le regard des hommes sur les monstres et d’ouvrir leur coeur à la compassion par solidarité avec les formes les plus méprisées du vivant. Pistes d’exploitation pour une approche du texte En observant l’énonciation, mettre en évidence l’affirmation du poète dès le premier vers, affirmation qui le place d’emblée en contradiction

le narrateur emploie des termes d'affection pour désigner la Lison -le narrateur crée une dimension pathétique en suscitant la pitié, la compassion du lecteur en personnifiant la Lison car on ne peut éprouver de compassion qu'à l'égard d'un être humain ou éventuellement d'un animal familier. le narrateur suscite chez le lecteur un sentiment de compassion envers la Lison, mais aussi envers son conducteur, auquel il a tendance à s'identifier, la scène étant vue à travers Lantier. dimension fantastique

fascinant. dans un premier temps, on se demandera ce qui est susceptible d’effrayer le lecteur. Puis, dans un second temps, on se demandera pourquoi et comment ce texte est aussi fascinant.. Enfin, nous verrons comment ce texte amène le lecteur à la compassion, intention de Victor Hugo pour dénoncer l’injustice et la brutalité des lois.     Ce texte vise à effrayer le lecteur par différents procédés. En effet, ce dernier nous donne un aperçu lugubre de la vie, des bagnards du point de vue de Jean Valjean

Grand Véhicule ou Mahayana. Le bouddhisme Mahayana est le résultat de la religion qui a évolué au fil des siècles. Celui-ci est en désaccord avec la philosophie du Petit Véhicule. La religion Mahayana s’intéresse à l’expérience de l’Éveil et la compassion. Son but est d’enseigner les techniques de libération personnelle (comme le Petit Véhicule), mais aussi de sauver tous les êtres vivants en leur enseignant la voie vers l’Éveil. Selon eux, il est possible d’atteindre l’illumination en une vie. Les

traumatismes d’enfance. Elle les aime ». Elle ne voit personne de ses journées. Elle essaye donc de se distraire, ici en personnifiant les geckos. Pour finir le narrateur va éprouver une certaine compassion pour Babaïa Schtern : lignes 77-78 « Je hoche la tête, je souris, mes lèvres tremblent. J’éprouve de la compassion envers cette femme ». De plus nous avons l’avis de narrateur sur les fils Schtern dans le dernier paragraphe : il ne les aime pas, car ils traitent leur mère d’une façon exécrable ; elle n’est