Compression et détente adiabatique

points est choisie en fonction des usages de l'industrie des moteurs d'aviation. La raison du choix des numéros sera expliquée plus loin. 1 à 3: Compression 3 à 4: Chauffage 4 à 6: Détente 6 à 1: Rejet de qL dq = 0 dp = 0 dq = 0 dp = 0 1 - QL T 3 4 W 6 p3 = p4 4 La dernière partie du cycle est souvent imaginaire; on rejette les gaz après la détente dans l'atmosphère et l'air frais est admis à l'entrée du compresseur. La raison est double. Primo, de cette façon on n'a pas besoin d'échangeur

…………………25 - Introduction…………………………………………………………………………………...26 2.1- Les composants du compresseur d’air……………………………………….26 2.2- Description des compresseurs d’air…………………………………………..29 2.3- Principe de fonctionnement du compresseur d’air : cycle de compression………………………………………………………………….………………….31 2.4- Performances réelles…………………………………………………………………35 3- L’osmose inverse……………………………………………………………38 - Introduction……………………………………………………………………………………39 3.1- Généralités………………………………………………………..……………………….39 3.2-

chaleur échangée, cette somme étant égale à la somme des variations d’énergie interne, d’énergie de pression et d’énergie cinétique. On rappelle que : — lorsque l’écoulement est adiabatique dQ = 0 ; — lorsque l’écoulement est isoénergétique dW = 0. On pose, en général : P U + ----- = H ρ avec On a alors en écoulement adiabatique et isoénergétique : ΂ ΃ V2 dH + d --------- = 0 2 avec e entropie spécifique. Si l’écoulement est isentropique (pas de perte de charge, d’onde de choc), on obtient : dU

Caractéristiques du son (hauteur, timbre, fréquence, intensité) D) Le mur du son les cordes vocaux produisent un son, mais qu’est ce que cela exactement ? a) Définition du son Le son est un ébranlement périodique de l’air ; c’est une suite compression et de dépression qui se propagent à 340 m/s dans l’air à 18 degrés. L’homme ne peut percevoir que les sons compris entre 16 et 20 000 Hz (cela signifie que les vibrations de l’air effectuer entre 16 et 20 000 oscillations/s pour que l’oreille humaine

partie la plus pénalisante en terme de coût de la chaîne captage-transport-stockage. La séparation du CO2 des autres constituants présents dans les fumées (azote, argon et oxygène) est nécessaire pour limiter la consommation d’énergie lors de la compression du CO2 avant le transport et pour limiter la quantité de gaz injecté dans le lieu de stockage. Trois concepts majeurs liés à la récupération du CO2 se démarquent (Figure 4) : • Le captage du CO2 en post-combustion à partir des fumées grâce à

civilisations grecques et égyptiennes utilisaient l’effet d’évaporation de l’eau à travers les vases et les jarres poreux. C’est au XIX ème siècle que sont apparues les premières machines frigorifiques à compression de fluide. 1834 : Jacob PERKINS, de Londres, construit la première machine de réfrigération à compression mécanique avec de l’éther comme réfrigérant ; 1859 : le Français Ferdinand CARRE réalise la première installation industrielle (machine à absorption d’eau + NH 3 ) ; 1930 : grâce à l’étude théorique

d’eau. La chaleur de réaction de la combustion de la houille (charbon) permet de transformer l’eau en vapeur saturée à 150°C avec une pression de 5 bars. Celle-ci est ensuite détendue dans un cylindre double effet de volume 0.001575 m 2. Cette détente permet d’abaisser la pression de la vapeur à 0.8 bars et à une température de 99°C. Après avoir travaillé la vapeur est refoulée à l’extérieur. En effet le cycle de la vapeur est ouvert. Giffard a choisi ce système plutôt que de mettre un condenseur

frottement entre les positions extrêmes AA et BB . Lors de l’aller (phase d’aspiration) la soupape S est ouverte alors que S est fermée ; on a alors admission de l’air atmosphérique dans le cylindre à la pression P atm . Lors du retour (phase de compression), l’air dans le cylindre est tout d’abord comprimé, de la pression P a à la pression P b , S et S étant fermées ; la soupape S restant fermée, la soupape S s’ouvre dès que la pression dans le cylindre devient supérieure à celle de la bouteille P

kHz. Détente de Joule & Gay-Lussac pour un gaz réel 1. Décrire la détente de Joule et Gay Lussac. Faire un schéma. Préciser les caractéris- tiques de cette détente si on l’effectue entre un état initial de volume V1 et un état final de volume V2 = 2V1. 2. On considère un gaz de Van der Waals dont l’équation d’état et l’énergie interne ont pour expression : Ç P + n2a V 2 å (V − nb) = nRT et U(T, V ) = nCvmT − n2a V . Justifier. 73. Exprimer la variation de température du gaz dans la détente de Joule

humidité ; c) une inversion frontale (liée à un front), dans lequel une masse d'air chaud surmonte une masse d'air plus froid ; d) une inversion de subsidence, dans un anticyclone, liée à une augmentation de température d'une couche stable, par compression verticale. Remarque : L'isothermie (fig. 2.12) n'est qu'un cas particulier de l'inversion de température, où celle-ci reste constante avec l'altitude (gradient nul). (1) La chaleur spécifique d'un corps est la quantité de chaleur nécessaire