Comédie Défaut Des Hommes

siècle ; l’auteur le plus joué et lu des auteurs de comédies de la littérature française. Molière, un pilier de l’enseignement en littérature en France. Une mort sur scène lors de son interprétation du malade imaginaire. Caractéristiques générales des œuvres -Des débuts difficiles avant la création de sa troupe de comédien nommée << L’illustre théâtre >>. -Ecrit des pièces de théâtre de registres comiques. -S’illustre dans des comédies ballets, des farces. -Divers thèmes récurrents

LE TARTUFFE Extrait de la préface (1669)   «    VOICI une comédie dont on a fait beaucoup de bruit, qui a été longtemps persécutée  ; et les gens qu'elle joue ont bien fait voir qu'ils étoient plus puissants en France que tous ceux que j'ai joués jusqu'ici. Les Marquis, les Précieuses, les Cocus et les Médecins ont souffert doucement qu'on les ait représentés, et ils ont fait semblant de se divertir, avec tout le monde, des peintures que l'on a faites d'eux  ; mais les Hypocrites n'ont point entendu

de théâtre. On imagine mal une intrigue où une partie de la scène est coupé du monde, de la représentation, du rapport de force entre caractères qui donnent aux pièces comiques leur saveur. Ce type de nœuds conviendrait particulièrement mal à nos comédies de caractères. Si ces vrais misanthropes, monstres qui ne font pas rire mais qui font horreur, pourraient exister dans la réalité – et même cela Rousseau l’invalide, au théâtre en tout cas ils n’existent pas. Le choix du personnage du misanthrope

Métamorphoses et enjeux du comique du XVIIe siècle à nos jours Corpus : | Genre Théâtrale(Type de comédie) | Résuméde la scène | Comique dans la scène | Ressources propres au langage théâtral pour produire l’effet comique | La fonction / visée du comique dans la scène | Acte III scène 2, Tartuffe ou l’Imposteur, 1669, Molière | Comédiede caractère (Satire) | Tartuffe apparait enfin dans cette scène. Dorine se moque de lui au moment que Damis est caché dans u n cabinet voisin. Le ton et les

Le Général, bien naïvement Yo vais vous dire ; dans moun pays, yo le parlais bienn ; ici, yo no sais porqué, yo le parlé mal. Le comique de caractère est mis en scène par des personnages qui ont des défauts, des vices. Pour faire rire, l'auteur accentue volontairement à l'excès ces défauts. Ainsi, M. Jourdain (dans Le Bourgeois Gentilhomme) est obnubilé par son désir de devenir noble, Harpagon (dans L'Avare) est soucieux du moindre sou... Cela se traduit également chez Feydeau ou nous avons

façonnière. MADEMOISELLE BÉJART, prude. MADEMOISELLE DE BRIE, sage coquette. MADEMOISELLE MOLIÈRE, satirique spirituelle. MADEMOISELLE DU CROISY, peste doucereuse. MEDEMOISELLE HERVÉ, servante précieuse. La scène est à Versailles dans la salle de la Comédie. SCÈNE PREMIÈRE MOLIÈRE, BRÉCOURT, LA GRANGE, DU CROISY, MADEMOISELLE DU PARC, MADEMOISELLE BÉJART, MADEMOISELLE DE BRIE, MADEMOISELLE MOLIÈRE, MADEMOISELLE DU CROISY, MADEMOISELLE HERVÉ. MOLIÈRE.— Allons donc, Messieurs et Mesdames, vous moquez-vous

nature, et s'il se connaît quelques-uns des défauts que je touche, s'en corriger. C'est l'unique fin que l'on doit se proposer en écrivant [...] On ne doit parler, on ne doit écrire que pour l'instruction." ( Préface Pour La Bruyère, l'acte d'écrire n'est pas gratuit, et doit obéir à une fonction didactique. Or, dans la première remarque des Caractères, en affirmant que " Tout est dit et l'on vient trop tard depuis sept mille ans qu'il y a des hommes et qui pensent. Sur ce qui concernent les mœurs

sont omniprésentes. Molière, un dramaturge auteur de comédies ainsi que comédien, présente une de ses réalisations ; L'AVARE. Dans cette pièce de théâtre, Molière exploite le caractère avaricieux d’Harpagon qui est le principal personnage de la pièce. De plus, avec les autres personnages entourant Harpagon, l’auteur fera aussi ressortir la tyrannie domestique, des manèges, des intigues ainsi que l'égoïsme de ceux-ci. L'Avare est une comédie de Molière en 5 actes et en prose, dont l’intrigue se

c’est une probité merveilleuse ; il n’a peut-être pas son pareil. (A2) Araminte : Eh ! de quoi peut-il donc être question ? D’où vient que tu m’alarmes ? En vérité, j’en suis toute émue. (D3) Dubois  : Son défaut, c’est là. (Il se touche le front.) C’est à la tête que le mal le tient. (A3) Araminte : À la tête ? (D4) Dubois  : Oui ; il est timbré, mais timbré comme cent. (A4) Araminte :

étaient très utilisés par les comédiens de la commedia dell’arte. Castigat ridendo mores (loc. lat.) : formule de Santeul, signifiant « la comédie corrige les mœurs », que Molière utilise pour élever la comédie au rang de la tragédie en lui donnant une valeur morale, celle de faire rire les hommes pour les améliorer et pour leur éviter de reproduire les défauts des personnages dont ils se sont moqués. Coup de théâtre (n. m.) : rebondissement inattendu de l’intrigue qui permet souvent de la faire