Concentration d'un marché

ENTREPRISES ET ORGANISATIONS Entreprise = unité de production de B/S destinés à être vendus sur un marché. Organisation = groupement d’individus dans un but commun liés par des conventions qui peuvent prendre la forme d’un contrat. Une entreprise doit elle aller sur le marché où doit-elle être liée par un nœud de contrats ? Nécessité de développement d’infrastructures qui permettent l’existence du marché (Smith). En Angleterre, il faut des moyens modestes pour accéder au charbon alors qu’à Shanghai

considère que les offres 8 sont inélastiques. Sur un marché ouvert sur lequel les deux services se font une concurrence à la Bertrand, l’offre est élastique. Dans ce cas, le concept de rente de localisation ne tient plus car aucune entreprise bénéficiera d’une rente de localisation. b. Théorie des places centrales (« à la Christaller –Lösh » Dans cette théorie, on considère qu’un service de réparation et d’entretien ayant une grande aire de marché, fera plus de profit par rapport à ses autres concurrents

démographique, économique d’un territoire à un moment donné. Est-ce que le territoire observé va mieux ou moins bien que les autres ? Une fois qu’on a fait cette première évaluation, l’autre question est : Quelles sont les bases du développement économique d’un territoire ? On va observer les mêmes agrégats au niveau local qu’au niveau national. Les agrégats vont être : le capital, le niveau de qualification de la population (de la main d’œuvre), la flexibilité du marché du travail local, le stock

ré-examiné l’arbitrage fondamental relevé par Williamson sous des hypothèses plus réalistes. D’un côté, la prise en compte des réactions stratégiques des concurrents limite l’augmentation du pouvoir de marché pour les entreprises qui initient les opérations de fusion. D’un autre côté, le contexte d’information asymétrique dans lequel travaillent les autorités de la concurrence milite plutôt en faveur d’un durcissement des règles et nuance le message essentiellement libéral de Williamson. Nous remercions

qu'il souhaite et où l'Etat n'intervient que pour garantir le libre jeu des règles de l'économie (interdiction des abus de position dominante et des ententes). La concurrence est parfaite si les offreurs de produits ou de services vendent au prix du marché, aucun d'entre eux ne disposant du pouvoir de fixer les prix ou d'influencer les décisions des autres acteurs. Le prix résulte alors de l'affrontement et la négociation de l'ensemble des acteurs. Les conditions théoriques nécessaires à une concurrence

est d'assurer la pérennité de l'entreprise touristique, de maintenir un avantage concurrentiel et de préparer l'avenir afin de garantir son rayonnement et atteindre la performance. Ainsi, la pérennité de l'entreprise passe par le développement des marchés et l'amélioration de la rentabilité des activités, alors que l'avantage concurrentiel sur laquelle repose la pérennité de l'entreprise, résulte des stratégies de coût ou des stratégies de différenciation. Dans ce sens, Michael Porter a prouvé que

LA GRANDE ENTREPRISE NUIT-ELLE AU BON FONCTIONNEMENT DE L’ECONOMIE DE MARCHE ? I/ Le pouvoir de marché de la grde entreprise lui procure un avantage aux dépens des autres A_ Surprofit de la grde entreprise obtenu aux dépens du conso * Théorie du monopole -> l’ent combine les qttés produites au prix auquel elle les vend. Elle produit moins qu’en CPP, les conso achètent moins mais ceux qui achètent payent + cher Malthusianisme * Tentation du cartel (partage entre les entreprises du surprofit

politique (étude sur la mondialisation qui se joue dans les TGV) • Ne sont pas un lieu de vie majoritaire des urbains de la planète • TGV forment un réseau à part EX : cadres très spécialisés, DOLLFUS « archipel mégalopolitain mondial » ⇾ Le coté attractif d’un hinterland : la ville • S’émancipe de leur contexte national, plus elle est connectée plus elle est dynamique (investissement entre TGV européens) • Lieu de domination (territoire des firmes multinationales) • Ancrées dans l’imaginaire des populations

industrielle s’intéresse à l’organisation des marchés et des entreprises. La question centrale est de comprendre d’où vient le pouvoir de marché d’une entreprise et comment cette dernière peut le renforcer. Le pouvoir de marché est d’abord lié à la structure du marché, qui peut être appréhendée par le degré de concentration de l’offre et de différenciation des produits, par les barrières à l’entrée. Une entreprise peut aussi accroître son pouvoir de marché ou relâcher la concurrence par des stratégies

marques L’architecture de marques L’architecture de marques est un prolongement nécessaire pour pouvoir gérer un ensemble de portefeuilles de marques. Elle intègre à la fois une approche organique (combien de marques pour couvrir l’ensemble du marché ?) ; à la fois une structure identitaire (quel rôle pour chaque marque ?) et à la fois une structure d’échange (quelles relations établir entre les marques ?) Cette ambition d’architecture de marques est souvent le reflet de la stratégie de l’entreprise