Conception De L Homme Selon Spinoza

LA LIBERTE INTRODUCTION Nous entendons souvent évoquer le thème de la liberté selon l’opinion commune selon laquelle « la liberté des uns s’arrête où commence celle des autre. » Au fond, chacun aimerait faire librement ce qui lui plaît mais une liberté absolue serait invivable car elle conduirait chacun à agir comme il le souhaite au mépris de ses semblables. Comment donc vivre libre, sans interdiction ni contrainte et avec les autres dans une société harmonieuse. Nous verrons qu’être

au divin et recherche naturellement d'où il vient et quel est la raison de son existence. Mais l'homme devient religieux par expérience et selon son libre choix. Alors, l'homme est-il est un être religieux par nature ? L'homme est le plus évolué des êtres vivants. Il est défini comme un « animal doué de raison » et est aussi comme un « animal politique » selon Aristote. De plus il a été pourvu de langage par la nature pour qu'il puisse s'entendre avec ses semblables sur le bon, l'utile, le juste

reconnaître du même coup une pertinence à la notion de mal ? Le paradoxe d’Alain s’éclaire si l’on considère que son propos est un commentaire de Spinoza, chez qui il trouvait à la fois un rationalisme auquel il souscrivait lui-même, mais qui avait pour conséquence la dénonciation de l’opposition du bien et du mal comme un anthropomorphisme fallacieux. Spinoza fut à cet égard le premier à demander que l’on pense « par-delà le bien et le mal », comme Nietzsche le requerra à son tour en poussant le bouchon

30/01/14 Introduction On distingue la politique du réel et la politique de l'imaginaire issue de la philosophie grecque puis de la théologie du MA ( avec notamment St Augustin). La politique du réel est un sujet traité par Spinoza qui a dit : « il avait semblé plus approprié d'aller droit à la vérité effective de la question plutôt qu'à son imagination ». A partir de la renaissance les auteurs qui réinventent la pensée politique vont avoir pour préoccupation 1° de débarrasser de la politique

viennent du refus, du renoncement à notre propre puissance. A notre insu, nous attribuons aux autres, à la vie, au monde extérieur, l’origine de ces déceptions, qui nous font ainsi souffrir. Nous éprouvons du ressentiment à l’égard de la vie, qui, selon nous, ne nous a pas donné assez. La passion, conformément à son étymologie, se définit comme étant un phénomène passif de l’âme, c’est-à-dire qu’elle est vécue comme étant subie, et non comme un produit de notre volonté. D’ailleurs, ce terme provient

99-55 av. J.-C.), poète latin, auteur du De natura rerum, long poème philosophique dans lequel il expose la doctrine d'Épicure. Sénèque (v. 4 av. J.-C.-65 apr. J.-C.), philosophe stoïcien, homme d'État et écrivain romain qui a été le précepteur de Néron. Cicéron (106-43 av. J.-C.), écrivain, orateur et homme d'État romain, qui fut le plus important théoricien de la rhétorique latine. Épictète (v. 55-v. 135), philosophe grec, une des principales figures du stoïcisme de l’époque impériale. L’enseignement

elle est le résultat d’un homme. Le monde devient un objet à observer, comprendre, juger et à transformer. La sphère de la connaissance ne cesse de s’agrandir. L’esprit du scientifique est celui qui prend conscience de son ignorance et cherche à établir, à partir de cette idée, un savoir. La connaissance passe par le désir de combler son ignorance. Socrate nous invite à nous connaître pour ensuite l’appliquer aux autres. Comment apparait la conscience de soi ? Selon Kant, la conscience chez

Mais il ne faut pas en juger trop hâtivement ; et seul le dernier chapitre prononcera la conclusion. Il faut auparavant bien comprendre ce qu'est le droit naturel. Le droit naturel ne saurait être déterminé, ce qui est recevoir un terme, par une conception quelconque que le premier philosophe venu se ferait de la nature. Il ne peut être question de produire ici un catalogue des droits qu'une prétendue nature, en fait une société donnée, reconnaît à l'homme. L'auteur ne s'oriente nullement vers une

temps, transcendantes et d'origine divine ou révélées. De même, elles peuvent être considérées comme relatives, variables selon les peuples et les époques, ou au contraire comme universelles, indépendantes du lieu et de l'époque, et établies par la raison humaine ou exigées par une certaine représentation de l'être humain en général (universalisme, droits de l'homme). Selon l'approche philosophique, le critère définissant une conduite morale (ou ce que signifie « bien agir ») ne sera pas le même

pensée moderne, né en 1596 et 1650 pour un plusieurs thèses qui vont rendre possible d’autres systèmes philosophiques   : exemple de Nicolas Malebranche, Spinoza, Leibniz : systèmes qui se bâtissent en discussion avec Descartes. Kant critique frontalement le rationalisme (pensées de tous les auteurs précédents). Métaphysiques et théorie connaissance selon Descartes. Pourquoi est-elle appelée rationaliste ? Quels sont ses fondements (métaphysique cartésienne d’un être, ontologie cartésienne) ? Qu’est-ce