Concierge

pouvait y voir dans cette période de drame. Elle fit alors le choix en écrivant ce journal de dénoncer les coupables, et de dénoncer la cruauté des événements et des morts. Elle commence à écrire en avril 1942, alors qu’elle vient de passer chez la concierge de Paul Valéry qui lui remet un livre avec une dédicace : « Au réveil, si douce la lumière, et si beau ce bleu vivant ». Les dernières pages du journal sont datées de février 1944 et se terminent sur une autre citation, un cri : « Horror ! Horror 

[Voulez vous voir votre mère une dernière fois]? Jai dit non. » (p. 22-23) page 100 aussi Explication1.1 : Au lieu de pleurer suite à la mort de sa mère, Meursault se contente de penser à son travail. Son comportement bizarre continue lorsque le concierge lui demande s’il voudrait voir le visage de sa mère pour une dernière fois. Il répond d’un mot direct « Non ». Tous ses comportements démontrent son insensibilité. Idée secondaire 1.2 : Il ne se prête pas aux règles de la communauté sur le plan

décide de payer en espèce. J’encaisse le montant sur 300€ et le client me dit de garder le reste de la monnaie, je le remercie. Je propose au client d’appeler un taxi mais il me répond qu’il à sa voiture garer sur le parking. Je fais donc signe au concierge pour aider les clients à porter leurs valises jusqu’à la voiture. Je remercie les clients d’avoir passé un séjour dans notre hôtel et les salue avec une formule de politesse.

Bernard Rieux : Docteur qui lutte contre la Peste pendant tout le roman ; c'est un homme sensible et humaniste, qui ne baisse pas les bras. M. Michel : Concierge de l’immeuble de Rieux, le premier cas recensé de La Peste. Cottard : Homme dont Joseph Grand a empêché le suicide et qui est le seul à tirer avantage de la Peste, il est arrêté par les forces de l'ordre à la fin du récit suite à une crise de démence. Joseph Grand : Employé de mairie écrivant un livre dont il essaie de réécrire en vain

client le bulletin d’arrivé ou la fiche de police, qui copie la pièce d’identité, paiement à l’avance de la chambre, qui donnent la clef ou carte d’accès à la chambre, qui explique les divers services,… Il faut aussi un chef de réception, un concierge qui lui doit être capable de parler deux langues, lui s’occupe de recevoir les clients les plus importants, de superviser le service de la réception, de faire visiter les installations… L’hôtel peut employer un bagagiste et un voiturier si il le

Resumé Christine est obligée de vivre pendant deux mois dans la cave de son immeuble en Hongrie pendant la Seconde Guerre Mondiale. Elle y vit avec ses parents et ses voisins et d'autres personnes : les concierges, Ilus, une femme de 36 ans et son bébé de seulement quelques mois, un étudiant en médecine mais que tout le monde appelle « Monsieur le Docteur », la tante de celui-ci, une veuve de banquier qui ne cesse de mettre en avant son mari malgré qu'il soit décédé. Il y a aussi la femme d'un

lecture du titre, qui fait parti intégrante de l’oeuvre. Ce titre est une allusion au Nu descendant l’escalier de Duchamp (cité plus haut). Humoristique car la femme au sourire mythique dont le nom est célèbre dans le monde est vue ici comme une concierge ou une femme de ménage. Ce qui fait chef-d’oeuvre, ce ne sont ni les matériaux utilisés (des objets très usuels, en ayant peu de valeur), ni le talent de l’artiste (il revendiquait être « un génie sans talent ») mais bien la démarche, l’intelligence

l’élément matériel, mais pas l’élément moral. Affaire Rubio Nicolaï ch crim 1955 : individu remet pistolet à un homme de main pour qu’il aille faire peur à un débiteur qui refuse de payer ses dettes. Débiteur pas chez lui, se dispute avec le concierge, et tue de concierge. Complicité par fourniture de moyen ? Ccass dit non. Quand il y a concordance entre les faits mais pas avec les circonstances : vol simple prévu mais vol aggravé, les deux sont reconnus pour vol aggravé 1974 affaire Rochefort : meurtre

il n’a pas de réaction spéciale, ça ne semble pas l’affecter. Il prend l’autobus pour Marengo et a une entrevue avec le directeur de l’asile : il se rend ensuite à la morgue, où il refuse de voir le corps de sa mère et a une conversation avec le concierge de l’asile, avec qu’il boit une tasse de café au lait et fume. Il assiste à la veillée nocturne avec les vieux proches et compagnons de sa mère défunte : il les compare à un tribunal « J’ai eu l’impression ridicule qu’ils étaient là pour me juger »

INTRODUCTION Mains libres dans la zone d’enregistrement dédiée, salon privilégié avec des snacks, embarquement prioritaire en limousine, service concierge à bord, grande espace personnelle munie de tout ce dont vous êtes envie pendant un voyage (douche, lit, loisir, gastronomie…). C’est une image typique quand on parle de la première classe d’un porteur aérien. La première classe est la classe « porte-drapeau » de la compagnie aérienne. L’arrivée de très gros porteurs, comme l’A380, constitue