Conclusion Britannicus

*Par son thème : l’aveu, par son caractère verbal, est éminemment théâtral (cf. l’aveu de Phèdre à Hippolyte : Racine, Phèdre, II, 5) *Par la présence de l’amant caché (à la même époque, dans Britannicus de Racine, Néron, amoureux de Junie, assiste caché à l’entretien qu’elle a avec Britannicus). Ce détail, dans l’économie de l’œuvre, est important : Nemours va acquérir une double certitude : celle de l’amour de la princesse pour lui et celle de la fidélité à son mari. *Le récit met

hérité de sa mère l’intensité de ses désirs et craint après sa mort le jugement de son père, qui est juge aux Enfers. Très vite Phèdre s'est imposée comme l’une des pièces les plus célèbres de Racine. Si elle n’est pas autant étudiée au lycée que Britannicus ou Andromaque, c’est l’une des tragédies du XVIIe siècle les plus souvent représentées sur la scène. 3-Postérité Phèdre (1677) est certainement la tragédie la plus célèbre de Jean Racine (1639-1699). Après elle, Racine abandonna le théâtre pour

PDC Lecture linéaire 8Intro : la publication anonyme de la princesse de Clèves en 1678 déclenche une vive polémique, chacun tente d’identifier l’auteur de cet ouvrage. Mme de la Fayette avoue à demi-mots l’avoir écrit dans une lettre adressés à l’un de ses amis. Ce roman, écrit en plein classicisme alors que l’amour précieux est le sujet favoris de certains salons littéraires, raconte l’histoire de la pdc, épouse de m de Clèves, qu’elle estime mais qu’elle n’aime pas. Elle rencontre m de Nemours

EXPOSEE SUR PHEDRE DE JEAN RACINE Plan Introduction I. L’auteur 1) Biographie 2) Bibliographie II. L’œuvre 1) Les personnages 2) Résumée 3) Thémes 4) Structure de l’oeuvre Conclusion Introduction Phèdre est une tragédie en cinq actes et en vers de Jean Racine créée et représentée pour la première fois le 1er janvier 1677 à l’Hôtel de Bourgogne sous le titre Phèdre et Hippolyte. C'est aussi sous ce titre qu'elle fut publiée pour la première fois la

comme l’un des plus grands auteurs de tragédies de la période classique en France. Le succès d'Andromaque en 1667 lui ouvre une décennie de grandes créations où l'on trouve : - une unique comédie :Les Plaideurs en 1668 - six grandes tragédies : Britannicus (1669), Bérénice (1670), Bajazet (1672), Mithridate (1673), Iphigénie (1674) et Phèdre (1677). Élu à l'Académie française en 1672, il parvient ensuite au faîte de sa gloire grâce à Iphigénie et Phèdre. « Phèdre », est une tragédie : qu’est-ce

ensuite ce qui les rend néanmoins proches de nous. Les personnages raciniens sont éloignés de nous. En effet, ils ont tous un rang social qu’il nous est très difficile à atteindre ; par exemple le personnage de Néron est empereur dans le livre Britannicus, et Bérénice est reine de Palestine, dans le livre qui porte son nom. De plus, les personnages raciniens

toi » , « Quelle basse férocité » Ubu dans cette scène pratique l'épuration il se débarasse d'une catégorie d'individus ( nobles , financiers , magistrats) Ici Jarry reprend la figure du tyran traditionel existante au théâtre avant Jarry . (ex : Britannicus de Racine avec le personnage de Néron Macbeth de Shakespeare Ruy Blas de Victor Hugo Caligula de Albert Camus) C'est l'anarchie , le tyran concentre tous les pouvoirs ( judiciaire , legislatif et executif) UBU ROI = NIHILISME ANARCHISTE

l’auteur le touche bien plus qu’en mettant en scène un personnage sans réel élément familier à celui qui assiste à la pièce. Dans le Cid de Corneille, par exemple, les personnages sont nobles, ce qui permet à ceux-ci de s’y identifier. Dans Britannicus de Racine, ils sont très proches du pouvoir. Or, l’utilisation de tels personnages est propre à la tragédie classique, plus présente à l’époque du Classicisme que la comédie classique, et donc aux règles classiques, ce qui prouve là encore que

point sur l’action. I. Portrait de Don Juan par Sganarelle 1. Le portrait prépare l’arrivée du personnage principal. Dans certaines pièces, ce dernier n’apparaît que tardivement. Par ex, Tartuffe, 1669 : acte III sc. 2. Ou Britannicus, 1669, Racine : Britannicus I, 3 mais Néron, véritable personnage principal, II 1. Cela crée une attente chez le spectateur. Ces 3 personnages ont quelque chose d’inquiétant, voire de monstrueux, ils sont puissants et méchants. 2. Sganarelle énonce un jugement

grâce à « Phèdre » (l.35) elle perd sa personnalité et devient un personnage de son jeu de rôle, elle réécrit le mythe. Conclusion : Réponse : Une scène d’aveu originale : Une passion qui déborde Une passion classique, folle Une déclaration déguisée Du réel à l’irréel : Des regrets face au réel Une passion transformée Phèdre, héroïne du rêve Ouverture : scène d’aveu de Britannicus