Conclusion De La Conviction Et La Persuasion

asymétrie. Types de pouvoir Type de contrôle Modalité du contrôle Exemples Pouvoir d’injonction Sanction coercitive  Institutions coercitives  sanction matérielle ou psychique Exclusion d’un élève Pouvoir d’influence Sanction non coercitive  Persuasion, manipulation, séduction  Inciter un élève à suivre un cours La distinction essentielle porte ici sur l’existence (injonction) ou l’absence (influence) de coercition (Déf : action menée par quelqu’un pour le forcer à agir ou à l’amener à s’abstenir/contraindre

cad un résumé des comparus. En dernier lieu, c’est l’ane qui prend la parole. Ici, on approche du dénouement puisque l’âne va etre le bouc émissaire de la cour. Le petit ane accusé d’un crime important et contrairement aux autres il fait acte de conviction ( ?). Le petit ane va etre pendu, sa faute légère est sanctionnée par la pendaison. La situation finale est la morale explicite de l’histoire : si on est puissant la sanction sera plus clémente tandis que si on est misérable on sera plus injuste

juste prétentions » «  n’engage point mon âme a faire injustice aux autres » « rend a chacune les hommages et les tributs où la nature nous oblige » Aristocrate raffiné et éduqué -une tirade suggestive S’exprime de manière imagée et riche conviction de ceux qui l’ecoutent Recours a plusieurs reseaux d’images, notament celui de la mort et de la guerre Multiplie des registres, debut =lyrique champ lexiclae de l’amour, des interjections « quoi ! », ponctuation expressive soulige expression des

la passion qui oublie la logique de celle-ci, L’opposition facile des « bonnes » et des « mauvaises » passions qui sont souvent contestées de manière convenue dans une perceptive moralisatrice et rationaListe. Au terme d’un plan dialectique, la conclusion doit révéler un approfondissement de la pensée et non une plate reprise de quelques phrases du développement. Elle ne saurait constituer une simple duplication de l’introduction.  IL faut veiller enfin à La qualité de L’expression écrite, éviter

de notre argumentation puis comment est-elle parfois valorisée ou mise en avant suivant le genre argumentatif, et enfin nous nous intéresserons au rapport orateur/auditoire ou auteur/lecteur. I-UNE ARGUMENTATION PROGRESSIVE À BASE DE CONVICTION, DE PERSUASION ET DE DÉLIBÉRATION : Qui dit plusieurs personnalités, signifie différentes méthodes. En effet, chaque auteur possède sa propre idée et son propre but, de ce fait, ils n'utiliseront pas tous des démarches similaires d'argumentation. L'argumentation

personne à manipuler, c’est… soi-même. » Comment convaincre son interlocuteur ? Comment le persuader d’accéder favorablement à votre demande ? A défaut de formules magiques, voici, selon lui, cinq attitudes fondamentales pour pratiquer cet art de la persuasion. Maîtriser le silence « Premier grand principe fondamental de l’illusionniste : garder le silence. Contrairement à une idée généralement admise, le pouvoir n’appartient pas à celui qui prend la parole, mais à celui qui parvient le plus longtemps

est renforcé par une allégorie (idée à laquelle on donne vie) : « le bonheur est la première victime ».   Conclusion :   L'auteur utilise une argumentation directe pour dénoncer les dégâts causés par la guerre et valoriser les bienfaits de la paix. Ce texte est par conséquent un réquisitoire contre la guerre qui utilise à la fois la persuasion (registre pathétique, images …) et la conviction (arguments précis, référence à l'Histoire). Ouverture : Ce texte fait écho  à l'article « Guerre » de Voltaire

sentiments, plus précisément par des faits auxquels un individu attache beaucoup d'importance, tel que la religion. Cette stratégie argumentative permet de rallier le lecteur à la cause de l'auteur. Blaise Pascal, dans Pensées, joue sur la persuasion et la conviction. Pour convaincre, il utilise un présent de vérité général : l.1 : « tous les hommes recherchent d'être heureux », donne des exemples réels : l.7 : « tous se plaignent […] conditions » , il émet des thèses explicites: le vrai bonheur de

empruntant aux genres populaires à la mode ( le récit de SF au XX° siècle - Huxley, Orwell -; le récit de voyage imaginaire dans Les Voyages de Gulliver de Jonathan Swift, le conte populaire dans Gargantua de Rabelais, etc...) 3) la force de persuasion de l’histoire Argument : l’apologue permet d’incarner des idées politiques, des attitudes morales ou des choix philosophiques dans des personnages (sympathiques ou antipathiques) et des situations qui marquent le lecteur Exemple : la polémique

contraste avec celle qui précède, elle fait figure de conclusion incontestable du fait de son présentatif « c’est », de son connecteur à valeur conclusive « donc » et de l’utilisation de l’adjectif « manifeste ». Il place pour terminer son réquisitoire contre l’esclavage l’idée d’égalité des hommes, chère au siècle des Lumières (« c’est leur semblable, ayant une âme comme eux »), convoquant comme en dernier recours l’idée de Dieu… Conclusion partielle Nous voyons donc dans ce texte se dérouler