Conclusion De La Monnaie

classique du 18e), L a monnaie est neutre en éco (pas de valeur intrinsèque, n'est qu'un moyen de transaction) , elle ne serait qu'un instrument de paiement. Nous pouvons au contraire considérer que la monnaie autorise des échanges qui ouvrent droit à des rémunérations pour certains agents comme les instit° financières. La monnaie n'est pas neutre

d’1 excédent en monnaie centrale E0 = 100 Banque a uniquement à faire face à 1 fuite qui prend la forme d’1 demande de billet équivalent à 10 % des crédits acccordés. Ce taux est dit taux de préférence pour la liquidité : b = 0,1 E0 = 100 ocrtroi de crédit = 90 / Dépôts bancaires : 90 Fuite en billets : 9 Avec 100 de liqidités banque centrale la banque commerciale a la possibilité de créer 1000 en monnaie scripturale avec une préférence pour la liquidité de 0,1 Monnaie scripturale :

Page 8 ➢ « Le yuan, arme de guerre économique » Page 9 II. Vers la voie du changement ou faux semblant Page 10 ➢ Une réévaluation du yuan dangereuse Page 10 ➢ La fin de l’encrage du yuan au dollars Page 12 • Conclusion Première partie L'éclairage Chinoiseries monétaires, par Martin Wolf LE MONDE ECONOMIE Dans sa confrontation, les yeux dans les yeux, avec la puissance émergente, la superpuissance a donc cillé : le Trésor américain a ajourné la publication

convertir leur monnaie contre une autre, cela, pour le simple fait qu’il n’existe pas de monnaie internationale. Ainsi, cette conversion se réalise sur le marché des changes, en fonction du taux de change, qui correspond au prix d’une monnaie exprimé en une autre. Le taux de change, a donc pour principale rôle de permettre les règlements internationaux liés au commerce international, car un exportateur ne veut pas être payé en devises étrangères, pour le simple fait qu’il a besoin de monnaie nationale

fondements de l'analyse classique de la monnaie 1) Une théorie de la valeur de travail non monétaire 2) La neutralité de la monnaie 3) Le principe de la dichotomie II. La loi de débouché 1) Elément historiques 2) Le postulat de J.B.Say III. La théorie quantitative de la monnaie 1) Présentation général 2) La formulation de I. Fisher Conclusion Introduction générale L'école

autorités :……………………………………………… 21 1.8. Le degré de mobilité du capital :…………………………………………………… 22 2. Les critères de convergence :……………………………………………………………. 22 3. La nature des chocs subis :………………………………………………………………. 23 4. Conclusion :………………………………………………………………………………. 24 Chapitre 2 : Régimes de change et performance macroéconomique :………….. 26 Section 1 : L’inflation ……………………………………………………………………. 26 1. Historique de la performance des régimes de change en terme d’inflation :

------------------------------------------------- Chapitre 1 : Les fonctions et les formes de la monnaie I. Qu’est-ce que la monnaie Définition de la monnaie : * Deux visions opposées : * La monnaie est un bien en soi * Elle n’est qu’un simple intermédiaire des échanges, ils estiment que les agents économiques ne recherchent que la possession économique donc les biens qu’elles permettent d’acquérir. * La monnaie est un bien particulier, * qui peut soit être recherché pour lui-même

De manière générale, le taux de change est le prix relatif d’une monnaie par rapport à une autre. L’expression “ cours du change ” est une expression synonyme de “ taux de change ”. Par contre, le taux de change est une notion à bien distinguer de celle de parité : la parité d’une monnaie par rapport à une autre est le rapport des pairs des deux monnaies, le pair d’une monnaie étant la définition de la valeur externe de cette monnaie par un certain poids d’or ou par une certaine quantité d’une devise-clé

néoclassiques * 1578, Jean Bodin qui énonce le premier cette théorie, en se basant sur la loi de l’offre/demande : plus la monnaie est abondante, plus sa valeur est faible, donc plus la quantité de monnaie pour acquérir un bien (donc le prix) est importante * Equation des échanges de Fisher : MV+M’V’=PT * M= monnaie divisionnaire et V sa vitesse de circulation * M’=monnaie scripturale et V’ sa vitesse de circulation * P le niveau général des prix et T le volume des transactions

parités de change. La période 1944 - 1971 : Le Système de Bretton Woods Deuxième Partie : le Fonds Monétaire International Le Fonds Monétaire International Le fonctionnement du fonds  La Mission de l’institution  • Conclusion Introduction Après la seconde guerre mondiale, une nécessité d’inaugurer une nouvelle ère de gouvernance mondiale pèse de plus en plus. Les accords de BerttonWoods avaient comme finalité