Conclusion De Manon Lescaut

propose Voltaire comme un contre-modèle à toutes les émotions mensongères qui portent à faux dans les livres romantiques : (La fin de Candide est ainsi pour moi la preuve criante d'un génie de premier ordre. La griffe du lion est marquée dans cette conclusion tranquille, bête comme la vie.) Cela [la fin que Flaubert suggère] eût exigé une indépendance de personnalité que Lamartine n'a pas, ce coup d'œil médical de la vie, cette vue du vrai enfin, qui est le seul moyen d'arriver à de grands effets d'émotion

l’exécution, comme l’atteste l’arrivée impromptue de Mathilde. la longue scène des funérailles est inaugurée par un tableau très théâtral, Fouqué étant « seul », dans la « nuit », « auprès du corps de son ami », ce qui n’est pas sans rappeler la fin de Manon Lescaut, roman qu’affectionnait Julien (cf :II,28). La « surprise » de Fouqué et le nom de Mathilde rejeté en fin de phrase s’apparentent à un coup de théâtre. L’explication de la surprise est donnée en parataxe, Stendhal oscillant entre les deux personnages

que l’histoire du chevalier Des Grieux et de Manon Lescaut : le chevalier présente d’emblée à l’homme de qualité qui l’écoute la conclusion morale qu’il tire de l’aventure… qu’il n’a pas encore commencé à raconter ! Attention, cette notion de « prologue » appliqué à la Saison diffère radicalement de la précédente, en ce qu’elle tend à présenter le propos liminaire non pas comme un résumé de ce qui précède l’écriture de la Saison, mais comme une conclusion écrite « en aval », au terme du cheminement

voleurs ! Robes, cachemires, bijoux se vendaient avec une rapidité incroyable. Rien de tout cela ne me convenait, et j'attendais toujours. Tout à coup j'entendis crier : – 19 – – Un volume, parfaitement relié, doré sur tranche, intitulé : Manon Lescaut. Il y a quelque chose d'écrit sur la première page : dix francs. – Douze, dit une voix après un silence assez long. – Quinze, dis-je. Pourquoi ? Je n'en savais rien. Sans doute pour ce quelque chose d'écrit. – Quinze, répéta le commissaire-priseur

et pour les voleurs ! Robes, cachemires, bijoux se vendaient avec une rapidité incroyable. Rien de tout cela ne me convenait, et j'attendais toujours. Tout à coup j'entendis crier : – Un volume, parfaitement relié, doré sur tranche, intitulé : Manon Lescaut. Il y a quelque chose d'écrit sur la première page : dix francs. – Douze, dit une voix après un silence assez long. – Quinze, dis-je. Pourquoi ? Je n'en savais rien. Sans doute pour ce quelque chose d'écrit. – Quinze, répéta le commissaire-priseur

Décalage entre la conception du héros selon Fabrice (portrait du maréchal, des soldats) et sa perception de luimême, le tout vécu sur le mode du stéréotype (le héros a d’abord un physique : cf. lexique du portrait physique). • Fin de l’extrait, où la conclusion de Fabrice (« Jamais je ne serai un héros ») fait écho à la remarque ironique du narrateur (« Notre héros était fort peu héros en ce moment ») au début de l’extrait. Finalement, héros et narrateur se rejoignent, d’une certaine manière. Stendhal

..................................48 - Les intrusions de l’auteur …………………………………………………53 - Quelques erreurs temporelles……………………………………………...55 - Les digressions……………………………………………………………..56 - Les figures de style………………………………………………………....57 Conclusion Bibliographie 3 Introduction La littérature française au cours de son histoire a été caractérisée par divers courants et écoles littéraires qui la marquèrent sur tous les plans et les genres. Ainsi le dix-neuvième siècle a connu le romantisme

psychologie et de mœurs : les récits présentent des aventures exemplaires, montrant comment la vertu conduit au bonheur, et le vice au malheur. On peut citer Manon Lescaut de l’abbé Prévost (1731) : dans ce roman d’abord interdit car choquant, un jeune chevalier nommé Des Grieux s’éprend d’une jeune femme qui vend ses charmes par goût du luxe. Manon ne cesse de séduire des hommes dont elle dissipe l’argent, pour le plus grand malheur de son amant. Elle finit par être condamnée, et meurt en exil. L’auteur

l’atteste l’arrivée impromptue de Mathilde. la longue scène des funérailles est inaugurée par un tableau très théâtral, Fouqué étant « seul », dans la « nuit », « auprès du corps de son ami », ce qui n’est pas sans rappeler la fin de Manon Lescaut , roman qu’affectionnait Julien (cf :II,28). La « surprise » de Fouqué et le nom de Mathilde rejeté en fin de phrase s’apparentent à un coup de théâtre. L’explication de la surprise est donnée en parataxe, Stendhal oscillant entre les

 comparaison et discussion des contextes dans les deux œuvres      1.1 La représentation de l’époque      1.2 Le Rouge et le Noir – Les couleurs   2. Analyse, comparaison et discussion des personnages principaux      2.1 Julien Sorel      2.2 Mme de Rênal      2.3 Mathilde de La Mole  3. Conclusion  Bibliographie           1                     Introduction Le  Rouge  et  le  Noir,  sous‐titré  Chronique  de  1830  a  été  publié  en  cette  année‐là.  L’auteur,  Henry‐Marie  Beyle  (1783‐1842),  dit  Stendhal  a  été  inspiré