Conclusion De Manon Lescaut

II) Biographie de l’auteur III) Présentation de l’œuvre IV) Résumée de son œuvre V) Etude des termes du texte du romantisme dans le texte VI) Le style VII) Etude des personnages VIII) CITATIONS TIREES DATALA IX) La conclusion I) Introduction Ce roman inspiré des voyages de Chateaubriand en Amérique raconte le parcours d'un vieil indien qui, d'abord fait prisonnier par les Français, s'évade avec l'aide d'Atala, une jeune indienne. Atala, déchirée entre son amour

ses violences et ténèbres son pessimisme: l’écoeurement de tous les hommes; la décomposition dans l’entourage (deux causes: le vouloir et le pouvoir) son dualisme intérieur: le côté du Saint-Esprit ≠ l’hypocrisie et l’agitation de Versailles sa conclusion: tout bien à faire est impossible; on glisse dans le néant pied à pied; il reste la contemplation + ses Mémoires la passion le mène, lui dicte ses jugements sur les gens et les choses beaucoup moins historien qu’un partisan qui arrange les faits

remarque que c’est très souvent le narrateur premier qui « devient au niveau second l’auditeur d’un autre personnage qui raconte sa propre histoire »7. C’est le cas de Renoncour, lorsqu’il écoute l’histoire d’amour du chevalier Des Grieux dans Manon Lescaut. Si cette configuration est la plus courante, elle n’est pourtant pas la seule, relève J. Herman. Il arrive en effet qu’un seul et même personnage assume parfois ce rôle de narrateur à des niveaux différents, comme c’est le cas dans Sarrasine de

et pour les voleurs ! Robes, cachemires, bijoux se vendaient avec une rapidité incroyable. Rien de tout cela ne me convenait, et j’attendais toujours. Tout à coup j’entendis crier : – Un volume, parfaitement relié, doré sur tranche, intitulé : Manon Lescaut. Il y a quelque chose d’écrit sur la première page. Dix francs. – Douze, dit une voix après un silence assez long. – Quinze, dis-je. Pourquoi ? Je n’en savais rien. Sans doute pour ce quelque chose d’écrit. – Quinze, répéta le commissaire-priseur

boiteux, Histoire de Gil Blas de Santillane). Jacques CAZOTTE (1719-1792) est l'auteur, avec Le Diable amoureux, de l'un des premiers romans fantastiques. L'abbé PRÉVOST (1697-1763) est surtout célèbre pour l'Histoire du Chevalier Des Grieux et de Manon Lescaut et BERNARDIN de SAINT-PIERRE (1737-1814) pour Paul et Virginie, un roman rousseauiste. CHODERLOS de LACLOS (1741-1803 ; Les Liaisons dangereuses), RESTIF de la BRETONNE (1734-1806) et le Marquis de SADE (1740-1814) poussent le libertinage jusqu'à

Conclusion généraleUniversité Mohamed Khider de Biskra Faculté des Lettres et des Langues Département des Lettres et des Langues Étrangères Filière de Français DE L’AUTOBIOGRAPHIE A L’AUTOFICTION DANS LA DAME AUX CAMELIAS D’ALEXANDRE DUMAS FILS. Mémoire élaboré en vue d'obtenir le diplôme de Master Option : Langues, littératures et cultures d'expression française Présenté par : Laifa Camélia Sous la direction de : Aouiche Houda Année académique

permet de donner naissance à l’opinion publique. Les philosophes se battront longtemps avant d’y accéder et feront les frais d’une presse encore censurée : entre 1733 et 1734 Les lettres philosophiques de Voltaire sont brûlées publiquement et Manon Lescaut de Prévost est condamné à être brûlé. Ainsi, Voltaire fait de la liberté d’expression la mesure de toute société et régime politique. L’interdiction du droit d’imprimer n’arrête cependant pas les philosophes dans leur combat pour la liberté : Jaucourt

Les romancières se multiplient (Mme Ricciboni, Mme de Graffigny par ex., voir biographie de l’auteur) ð Les grands romanciers font de la femme un personnage et un sujet romanesque de 1er plan : par ex. Prévost avec Manon Lescaut, et Marivaux avec La vie de Marianne. Les Liaisons dangereuses participent à leur manière à ce phénomène de féminisation du roman au 18ème siècle, puisqu’il focalise son attention sur les femmes plus que sur les hommes. En effet, le roman

paroxysme de son angoisse, elle se lance dans une fuite éperdue vers le seul horizon libre : « sans se retourner, elle s’en va vite, elle redescend vers la mer, le long des rues silencieuses ».Accumulation de verbes d’action, accélération du rythme. Conclusion Ce passage du roman rapporté selon une focalisation interne, nous permet de voir la grande ville étrangère au travers des yeux de l’héroïne. C’est la cité de la peur. Enserrée dans ses hauts murs, écrasée par le soleil, elle paraît abandonnée des

et pour les voleurs ! Robes, cachemires, bijoux se vendaient avec une rapidité incroyable. Rien de tout cela ne me convenait, et j’attendais toujours. Tout à coup j’entendis crier : – Un volume, parfaitement relié, doré sur tranche, intitulé : Manon Lescaut. Il y a quelque chose d’écrit sur la première page. Dix francs. – Douze, dit une voix après un silence assez long. – Quinze, dis-je. Pourquoi ? Je n’en savais rien. Sans doute pour ce quelque chose d’écrit. – Quinze, répéta le commissaire-priseur