Conclusion Discrimination Positive

semble avoir reçu un coup de fouet ces dernières années avec l’apparition de notions telles que « la discrimination positive » ou encore les « quotas » (A), ce qui renforce l’idée selon laquelle l’école de la république serait un moteur de l’intégration (B). A) Deux notions semblent être prédominantes désormais lorsqu’il est question d’intégration. Tout d’abord, l’expression « discrimination positive » (1) qui a fait son entrée sur la scène il y a fort peu longtemps, accompagnée de la théorie des

condition que le bénéficiaire signe un contrat personnalisé de réinsertion, dont le contenu peut être très varié d'un individu à l'autre, pour s'adapter aux besoins et aux possibilités de chacun. * L'Etat mène aussi des politiques de "discrimination positive ", c'est-à -dire des politiques qui, explicitement, accordent plus à certains individus qu'à d'autres, du fait de leur inégalité de situation initiale. L'exemple le plus fréquemment cité en France est celui des ZEP (zones d'éducation prioritaire)

établissements soumis à l’obligation d’emploi sont des personnes handicapées. Cette disposition liée au quota d’emploi et son pendant contributif auprès de l’Agefiph peuvent être interprétés comme résultant de l’application d’un principe de discrimination positive. Selon un tel principe, en effet, doivent bénéficier de mesures préférentielles liées à certains programmes d’aides publiques les personnes présentant certaines caractéristiques. La loi de 1987 a été révisée, donnant lieu à la promulgation

La discrimination positive (Avantages / Inconvénients) Discrimination Positive Première Partie : Les politiques de discrimination sont nécessaires. A. Les inégalités qui persistent sont - Injustes - Illégitimes - Ne respecte pas le principe républicain de l’égalité des chances. Ce sont des inégalités basées sur des critères non objectifs (sexe, âge, origine...) qui se traduisent donc par des désavantages dans l’accès à l’emploi, au logement, aux fonctions politiques, dans les rémunérations

projet d'action commun et accueillant des élèves vivant dans un environnement socio-économique et culturel défavorisé. La politique des ZEP a été mise en place en 1982 par le ministre de l'éducation nationale Alain SAVARY qui repose sur une discrimination positive dans l'emploi des moyens publics au service de l'égalité des chances. Cette politique visait à réduire les inégalités sociales sur la réussite scolaire des élèves, et pour la première fois dans l'éducation nationale, une stratégie inégalitaire

L’égalité des droits n’apparaît pas non plus toujours effective. Certains rencontrent, en raison de leur couleur de peau ou de leur religion, des difficultés inconnues des autres populations. Les victimes du racisme et des diverses formes de discrimination n’ont pas les mêmes chances d’intégration dans la société. D’autre part, l’école n’apparaît plus comme permettant l’égalité des chances, ce qu’elle était censée assurer grâce à ces dispositifs comme la gratuité ou le collège unique par exemple

La discrimination positive en France ↔ L’expression « discrimination positive » a fait son apparition en France il y a une vingtaine d’années. Cependant les programmes de discrimination positive se multiplient en France, que ce soit dans l'éducation ou dans le monde du travail. En France, contrairement aux Etats-Unis, la discrimination positive sur une base ethnique est strictement interdite. La discrimination positive se base sur les inégalités sociales ou géographiques, en ciblant les zones

La non-discrimination à l’embauche. La discrimination à l’embauche est un véritable problème de société. Nous allons tenter de savoir comment pouvons-nous arrêter le phénomène de la discrimination à l’embauche ? Les origines, la couleur de peaux, les handicapes … ne devrai pas constituer des critères d’embauche. Toute décision de l’employeur doit être prise en fonction de critères professionnels et non sur les considérations d’ordre personnel. Dans une première partie, nous verrons la définition

II. La « discrimination positive » comme instrument de lutte contre les pratiques racistes et sexistes A. La « discrimination positive » est un problème propre aux « sociétés polyethniques » La discrimination positive s’applique dans les sociétés polyethniques (société où la source de la diversité culturelle renvoie à l’immigration). B. La « discrimination positive » est un mode de traitement différencié et préférentiel Problématique: Comment, dans ces sociétés polyethniques

la non-discrimination à l'embauche Analyser les documents: page 21 et 22 Document n°1Titre : La protection contre la discrimination Nature : Source: www.travail-solidarite.gouv.fr Date: 201 Idée générales: réponse sur différentes questions sur les discriminations Document n°2Titre : Condamnation pour discrimination à l'embauche Date: 22/02/ 2010Source: Alain Piriou/Liberationtoulouse Idée générale: La cour d'appel de Toulouse a condamné Airbus France pour discrimination à l'embauche