Conclusion Euthanasie

d’abord être interprétée comme une demande qu’on mette fin à ces jours. Qualification : une personne souhaite qu’un tiers lui donne la mort (euthanasie active). Règle applicable : Le principe d’inviolabilité du corps humain, inscrit à l'article 16-1 alinéa 2 du Code civil, interdit de tuer une personne même si cette dernière est consentante. Conclusion : M. Y ne pourra obtenir d’un médecin qu’il lui administre un traitement provoquant son décès. Si le médecin passait outre il pourrait faire

objet, et le corps subjectif. Puis-je vraiment dire que j'ai un corps (alors, je pourrais l'abandonner) ou alors que je suis mon corps ce qui rendrait très problématique une délivrance : puis-je perdre ce que je suis sans disparaître? Suicide / euthanasie = Dans les deux cas, il s'agit bien de se donner la mort, soi même tant qu'on peut le faire, grâce à l'assistance d'un autre quand on ne peut plus le faire. C'est donc une question de morale et de droit: est-il légitime de se donner la mort, est-il

vivant, et la mort comme un processus naturel. Ceux qui dispensent les soins palliatifs cherchent à éviter les investigations et les traitements déraisonnables (acharnements thérapeutiques). Ils se refusent à provoquer intentionnellement la mort (euthanasie), ils s'efforcent de préserver la meilleure qualité de vie possible jusqu'au décès et proposent un soutient aux proches en deuil. I- Histoire des soins palliatifs * Au XVIème siècle Jean Cindat fonde en Espagne l'ordre des hospitaliers de St

demande d'un patient qui souhaiterait être euthanasié. Par contre, elle serait obligé d’accepter le refus d'un patient de prendre un médicament, une fois l'information nécessaire dispensée. En tant que professionnelle de santé, l'infirmière doit préservée ses convictions personnelles sans que celles-ci nuisent à une prise de décision ou aux soins prodigués. Elle doit aussi s'assurer constamment que le patients recevra les soins requis. En conclusion, l'infirmière prodigue aux patients les

accident de la route, a écrit une lettre dans laquelle il demande que l’on respecte son droit de mourir dignement et que l’on mette fin à ses souffrances et à sa vie. Sa mère lui a fait une injection intraveineuse pour lui procurer une mort douce (euthanasie: du grec thanatos = mort et eu = douce). La mort n’est pas survenue, mais V. Humbert est tombé dans le coma. L’équipe médicale qui le soigne a, face à cette situation, décidé de ne plus prolonger la vie de V. Humbert et a arrêté les appareils

traitements de quelque type que ce soit * 5. Droit à l’intimité : respect de l’intimité au cours des examens et traitements * DROIT A LA VIE * Article 2: Respect de la vie et de la personne humaine: * Ne pas nuire; * Euthanasie illégale. * Article 29 : Situations de conflits armés. * Article 105 : Expérimentaions non thérapeutiques * Exception: Interruption de grossesse autorisée (article 40 du CDM) en conformité avec la législation en vigueur (article

d’autres termes, selon l’excellente formulation pratique due à Kant, aucun humain ne doit être traité directement ou indirectement seulement comme un moyen mais toujours comme une fin. Il y a euthanasie lorsqu’on a l’intention de donner la mort. Il est admis depuis longtemps qu’il n’y a pas euthanasie quand on a l’intention de soulager les souffrances d’une personne malade en phase terminale, même si, comme effet secondaire, l’administration de médicaments peut en accélérer la mort. Plaider

par défaut il faut une raison majeure pour la restreindre. 1er type de justification : la protection de la liberté -> interdit de faire ce qui empiète dur le liberté d’un autre 2 : dommage/ torts sérieux causés à autrui 3 : la dignité ? – euthanasie active –prostitution –port de la burka –lancé de nains –assistance sexuelle –gestation pour autrui –le clonage (volontaire) –recherche sur les embryons L’argument de la dignité apparait généralement lorsque d’autres types d’arguments ne fonctionnent

cas aux USA depuis 1998 et cela grâce au vaccin.  Les progrès de la médecine posent des questions bioéthiques aux sociétés : peut-on euthanasier un malade en fin de vie, quelles sont les limites de l’ITG (Interruption thérapeutique de grossesse) ou IMG (Interruption médicale de grossesse) ? Pour éviter les dérives, les Etats doivent adopter des lois  Conclusion : les progrès scientifiques et technologiques améliorent la santé et le vie des hommes. Mais mal contrôlés, ils peuvent être aussi un danger

*************** FICHE DE LECTURE Ruwen OGIEN, La vie, la mort, l’Etat. Le débat bioéthique *************** Année 2010-2011 Table des matières INTRODUCTION 1 PRESENTATION DU LIVRE 3 APPORTS DU LIVRE 6 CONCLUSION 8 BIBLIOGRAPHIE 9 INTRODUCTION Sous la plume d’un philosophe français contemporain, le livre que nous allons examiner ici porte bien son titre : aux questions les plus conséquentes de la bioéthique, à savoir la vie et la mort, il joint le questionnement