Conclusion Euthanasie

Différentes conceptions d'euthanasie Euthanasie active a) L’euthanasie active : elle consiste à administrer délibérément des substances létales dans l’intention de provoquer la mort à la demande du malade qui désire mourir ou, sans son consentement, sur décision d’un proche ou du corps médical. L’euthanasie active est réprimée par le code pénal sur le fondement de l’homicide ou de l’empoisonnement, le consentement de la victime étant, en droit pénal, inopérant. Euthanasie passive : L’euthanasie passive :

Français :Dissertation . pour ou contre l’euthanasie ? Le mot « euthanasie » a été introduit par le philosophe anglais Francis Bacon (1561-1626), et apparaît dans un texte de 1605. Ce mot est formé de deux éléments tirés du grec, le préfixe eu, « bien », et le motthanatos, « mort » ; il signifie donc littéralement bonne mort, c'est-à-dire mort dans de bonnes conditions. C'est ainsi que le présente Bacon. Au sens moderne, l’euthanasie désigne une action ou une omission dont l’intention première

de travail a été tout d’abord d’établir un plan et de se répartir ensuite les tâches, nous étions plutôt autonomes les uns des autres, nous nous donnions simplement des délais pour les travaux à effectuer mais pour la problématique ainsi que la conclusion nous avons travaillé ensemble. 2. Fin de vie et médecine Afin de pouvoir comprendre notre sujet, il était primordiale de définir les différents termes utilisés. 2.1. L’euthanasie La mort, jadis compagne des vivants, a été peu à peu occultée

interrogations persistantes. 7 II : Un débat dépassé dans certains pays qui prônent l’intérêt du malade : mais à quel prix ? 11 A) La primauté du malade : une nécessité primordiale 11 B) L’euthanasie : vers de dangereuses dérives à contrer 13 Conclusion : 17 Bibliographie : 18 Introduction : Selon un sondage réalisé par la Sofres en 2001, 86% des français sont favorables à l’euthanasie. Aborder la problématique de l’euthanasie est délicat car c’est un sujet passionné lorsqu’il s’agit de

nous faisons face un paradoxe inconcevable, qu’engendrerait la légalisation de cette pratique et qui nous mènera vers des débats « impossible à gérer » et que même les intellectuels les plus futés seront dans l’incapacité d’affronter. En guise de conclusion, il est important de rappeler que pour des raison logiques, morales, socio-économique, politique et religieuse, la légalisation de l’euthanasie ne peut-être en aucun cas une décision qui ferait du bien à monde très souffrant. Au vu du contexte actuel

retentissement important. Le ministère de la santé prend alors conscience de la nécessité de réfléchir à la prise en charge de ces malades en fin de vie ; il constitue ainsi un groupe d'experts sur l'accompagnement des malades en phase terminale. Dans ses conclusions, ce groupe prend officiellement position en faveur du soulagement de la douleur. Mais, aucune suite particulière ne sera donnée. A la fin des années 70, les travaux anglo-saxons sur les thérapeutiques des souffrances terminales sont publiés dans

dans la recherche scientifique sur le cas de la thérapie cellulaire ? 1) L'intérêt, les bienfaits des avancées récentes de la recherche. 2) Les inconvénients, les limites de ces découvertes. 3) Une législation qui, du coup, pourrait évoluer. Conclusion Bibliographie Introduction Depuis la fin du 20ème siècle, l’euthanasie, le clonage thérapeutique et la thérapie cellulaire sont au centre des débats vis-à-vis des problèmes moraux et/ou scientifiques qu’elles soulèvent : l’euthanasie divise

pays ayant autorisé l’euthanasie active directe et le suicide assisté. En effet l’euthanasie active indirecte est tolérée, ainsi que le débranchement des système médicaux qui maintiennent en vie une personne contre sa volonté tout comme la France (euthanasie passive). Mais la Suisse fait aussi partie des pays ayant légalisé le suicide assisté (où la personne prend elle-même la dose mortelle). Contrairement aux 3 autres pays, le médecin a un rôle très mineur dans cette opération, l’assistance au suicide

en 2003 dont il a été tiré un téléfilm : C’était un jeune pompier devenu tétraplégique des suites d'un grave accident de la route, le 24 septembre 2000. Sans espoir de guérison, il entreprend de nombreuses démarches pour obtenir le droit d'être euthanasié. Il écrit à Jacques Chirac, alors président de la République, auquel il demande un "droit de mourir". Face à l'inflexibilité de la justice, sa mère, Marie Humbert l'aide à mourir en lui administrant d'importantes doses de penthiobarbital de sodium

accompli par la personne malade elle-même". Concrètement, il s'agit pour le médecin de fournir au patient les substances létales qui l'aideraient à abréger ses souffrances, mais en le laissant effectuer le geste final. Le "laisser-mourir"Appelée "euthanasie passive" par certains, c'est la forme la mieux acceptée d'assistance à la fin de vie : elle consiste à arrêter les traitements, sur la demande du patient. L'administration de substances destinées à diminuer les douleurs du patient, mais qui peuvent