Conclusion Grand Seigneur Méchant Homme

problématique En réponse à la problématique cité ci-dessus voilà comment je... Avoir un développement qui suit bien le plan annoncé. La conclusion: Toujours commencer la conclusion par ( Dans notre texte j'ai résolu la problématique, la preuve...) Puis, (Ce n'est pas étonnant que ce texte soit de cet auteur la car déjà..) continuer la conclusion avec un ouverture (soit interne, soit externe, soit semi-interne semi-externe) L'ouverture n'est pas une question, c'est un début de réponse

phrase complexe sous la forme d'une série d’énumérations : « le plus grand scélérat que la terre ait jamais porté, un enragé, un chien » qui évoque son indignité, « un diable, un Turc, un hérétique » qui évoque le domaine religieux, « bête brute, pourceau d’Epicure, un vrai Sardanapale » qui évoque le domaine moral. Ces énumérations caractérisent Don Juan travers des évaluatifs négatifs : - un superlatif hyperbolique : « le plus grand scélérat » : c'est un criminel qui enfreint la loi et personne n’est

‘aucune chose, nulle chose’ dans cette expression comparative. Ou encore : « c’est la passion ». - Utilisation de connecteurs logiques les plus classiques : « non seulement… mais encore », sur le modèle strict du latin non solum… sed etiam. - Une conclusion qui s'impose d'elle-même, comme une évidence : « Tant il est vrai que » : la thèse est donc démontrée, ‘sans autre forme de procès’ ! • L’exposé de la thèse recourt à un ton sentencieux : - Le recours à une maxime au présent de vérité générale

: précise rang. Sganarelle l.71-72 « ce n'est là qu'une ébauche du perso, et pour en achever le portait, il faudrait bien d'autres coups de pinceau »→ métaphore traditionnelle peinture pour descitp° . Valet certifie aptitude à faire « je n'ai pas grande peine à le comprendre », « si tu connaissait le pélerin » → sous-entendu ''comme moi'', ouvrent tirade Sga surplomb apte juger maître. a) Séducteur sans scrupule -Enumérat° femmes, tt classes scoiales « dames, demoiselles... » appétit illimité

par son valet. Sganarelle commence à argumenter sur le tabac (qui est très à la mode). Il joue le maître devant Gusman, c’est une façon de commencer la conversation : l’argumentation est inutile, c’est un sujet facile à exploité. L’idée de l’honnête homme arrive (instruit, cultivé, charmant, raffiné…). Sganarelle utilise le pronom « on » : il s’implique dedans. Il donne un cours, une leçon à Gusman. Il nous prépare petit à petit à l’arriver de son maitre. Tirade p 50 : Par ellipse narrative, on

DON JUAN Acte1 scène 2 1/ a l'acte I, scène 1, Sganarelle nous apprend que Dom Juan est : "Un grand seigneur méchant homme" , "Le plus grand scélérat que la Terre n'ait jamais porté" >remarque: Dom Juan est un aristocrate, "Une bête brute"; "un pourceau d'Epicure" (pourceau= porc) : Dom Juan est un débauché, "Un hérétique" (= personne qui soutient des croyances allant à l'encontre des dogmes religieux), "Un épouseur à toutes mains ». Sganarelle désapprouve le comportement de son maître mais il

Acte I Scène 2 1/ a l'acte I, scène 1, Sganarelle nous apprend que Dom Juan est : "Un grand seigneur méchant homme" , "Le plus grand scélérat que la Terre n'ait jamais porté" >remarque: Dom Juan est un aristocrate, "Une bête brute"; "un pourceau d'Epicure" (pourceau= porc) : Dom Juan est un débauché, "Un hérétique" (= personne qui soutient des croyances allant à l'encontre des dogmes religieux), "Un épouseur à toutes mains ». Sganarelle désapprouve le comportement de son maître mais il ne peut

Acte I scène 1 Le texte étudié : Sganarelle Eh ! mon pauvre Gusman, mon ami, tu ne sais pas encore, crois−moi, quel homme est Dom Juan. Gusman Je ne sais pas, de vrai, quel homme il peut être, s'il faut qu'il nous ait fait cette perfidie ; et je ne comprends point comme après tant d'amour et tant d'impatience témoignée, tant d'hommages pressants, de voeux, de soupirs et de larmes, tant de lettres passionnées, de protestations ardentes et de serments réitérés, tant de transports enfin

I /Portrait de Dom Juan : -méchant homme- un impie (pas religieux)- un grand seigneur : l’aristocrate privilégie .Impie : « Il ne croit ni ciel, ni enfer, ni loup-garou »DJ représente le libertin du 17e, il n’accepte aucune autorité (religieuse, intellectuelle, et politique).Sganarelle est très choqué, redoute un châtiment. .Débauché : Plaisir immédiat, liberté totale, plus il transgresse, plus il est heureux : « il ferme l’oreille à toutes les remontrances », « dames demoiselles ».Il bafouille

accompagné de son fidèle valet Sganarelle, accumule les conquêtes amoureuses, séduisant les jeunes filles nobles et les servantes avec le même succès. Seule la séduction l'intéresse et les jeunes femmes sont bafouées et déshonorées après que le beau seigneur en a décidé. Mais l'une d'entre elles, Done Elvire, va lui donner bien du fil à retordre avec, entre autres, la venue de ses deux frères en Sicile pour trouver Dom Juan et le punir de l'affront commis à leur égard : en effet, Dom Juan a enlevé Done