Conclusion La Bete Humaine

et notre représentation habituelle de celle-ci (Vénus sortant des eaux, Botticelli) ➢ v.3 → L’évocation baignoire → objet quotidien qui déconstruit la grandeur de Vénus censée sortir d’un coquillage ➢ Adj péjoratifs: “vieille”;”bête”;”pommade”;”lente” → état insalubre ➢ “bete” → animalisation ➢ “mal ravaudés” → réification animale → objet Forme de la première strophe imparfaite (contre rejet = pas naturel), comme cette femme: rimes ne sont pas les mêmes à la strophe suivante et la césure n’est pas

le monde entier. Nous allons nous servir de cet auteur pour l'argumentation car il appartient au naturalisme qui est un mouvement littéraire intéressant du fait qu'il introduit des descriptions, des réalités humaines dans ses romans. J'ai décidé d'utiliser comme exemple le roman La Bête humaine publié en 1890 car c'est une oeuvre que j'ai lu et étudié en classe. Ce roman a rempli pour ma part sa fonction de distraction car il a été plaisant à lire et il donne aussi l'envie de toujours allez plus loin

Métaphore : « un jaillissement doux de bête nocturne »l.5 Cela nous montre de manière réaliste le calme qui réside dans la mine. Champ lexical du bruit : « bruit »l.4, « porte-voix »l.10, « beuglement sourd »l.10, « silencieuse »l.12, « turent »l.17 et « silence » l.27 Dans ce texte, il y a beaucoup d’allusions aux bruits, surtout au silence qu’on sent très pesant. -Champ lexical de l’anatomie : « gosier »l.2, « pieds »l.3, « main »l.4, « chair humaine »l.11, « boyaux »l.25. Il nous décrit

MONSTRUEUX, VICTIME C) HEROS MIS EN RELIEF PAR LES AUTRES PERSOS 3) EXPRESSION MODERNE DU TRAGIQUE A) LA PETITE ANTIGONE: PERSO PATHETIQUE B) HEROS TRAGIQUE MODERNE: COURAGE ET GRANDEUR C) LE SENS DE LA MUTILATION (VISION NOUVELLE DE LA CONDIT° HUMAINE) CONCLUSION Jean Cocteau est un dramaturge moderne, qui a écrit notamment les chevalier de la table ronde en 1937, et La Machine infernale en 1934, réécriture de l’histoire d’Œdipe. Cet œuvre montre l’histoire d’Œdipe, abandonné à la naissance suite

"l'antidote contre le redoutable venin de la vieillesse", c'est-à-dire la solitude, comme le précise l'auteur à travers une métaphore animale ("assiégé par la bête nommée solitude. Une bête rusée. Guettant le moindre moment d'inattention... " p. 58). On peut penser également que l'amour est un sentiment universel, un sentiment dont tout être humain a fait l'expérience, mais l'histoire d'amour du vieux n'a pas été très heureuse: ne cherche-t-il pas dans ces romans à la fois un écho, et un réconfort? c

Les Deux Rats, le Renard et l'Œuf, IX, v.26-28) 1.2.2-    « Nous aurions un double trésor, l'une cette âme pareille en tous […] encore une autre âme entre nous et les anges commune ». » (Les Deux Rats, le Renard et l'Œuf, IX, v.42-47). 1.2.3-    La bête ici a quitté son statut d'image de l'homme pour atteindre celui d'un être à part entière, décrit dans sa vérité zoologique.   1.3- La Fontaine se fait le porte-parole d'un réquisitoire des animaux contre l'ingratitude et la cruauté des hommes à leur

même: censée au départ dénier à 1 'homme la paternité de ce qui est indigne de lui, elle finit par insinuer le doute sur sa véritable nature, Et si l'homme contenait en lui la possibilité de l'inhumain ? Faut-il comprendre par là que l'homme a de la bête en lui ? Peut-on penser ce monstre logique d'une inhumaine humanité ? Trop occupée à faire le compte des différences qui nous distinguent de l'animalité, la réflexion n'a-t-elle pas pris l'image idéalisée de l'homme pour l'homme réel ? [Partie I

beau et le beau selon l’artiste. 2) Dès le début, Rodin donne une définition rationnelle du laid : « est laid dans l’art ce qui est faux.» Le « ce qui » désigne une chose, un terme extrêmement générique qui peut être un objet aussi bien qu’un humain et donc permet d’exprimer le mépris vis-à-vis des hommes. S’en suit une énumération de tout ce qui ment à travers laquelle on voit des poses de peinture, plaquées de façon artificielle sans raison, sans expression. Ce paragraphe qui n’est en fait

un chardon, sans une ortie, je rencontrai plusieurs hommes qui marchaient courbés. Chacun d'eux portait sur son dos une énorme Chimère, aussi lourde qu'un sac de farine ou de charbon, ou le fourniment d'un fantassin romain. Mais la monstrueuse bête n'était pas un poids inerte; au contraire, elle enveloppait et opprimait l'homme de ses muscles élastiques et puissants; elle s'agrafait avec ses deux vastes griffes à la poitrine de sa monture et sa tête fabuleuse surmontait le front de l'homme, comme

l’inconscient est une atteinte à la conscience, une limite a la conscience. * « le moi n’est pas maitre dans sa propre maison » * Pour lui, les 3 blessures narcissiques de l’humanité remettent en question les fondements de l’être humain et les spécificités humaines : 1) La révolution copernicienne : la terre n’est pas le centre de l’univers, et donc l’homme non plus, il est exclu, secondaire. 2) L’évolutionnisme : l’homme est comme le singe, il n’est pas une espèce privilégiée. 3) La