Conclusion Le Mendiant

protection * La loi du plus fort gagne et empêche les plus faibles de vivre librement. * Ce ne sont pas les conditions matérielles qui empêchent l’homme de vivre librement Synthèse : * Solutions pour permettre aux mendiants de « pouvoir remonter la pente ». Conclusion : * Réapparition de la mendicité dans nos villes * Intégrité mentale non respectée * Une protection sociale pour tous pourrait apporter une solution * La loi du plus fort doit être contrée * Entraide et

Clytemnestre. Chaque personnage agit en fonction d’un rôle déterminé par avance. Chaque événement est inéluctable, des révélations au meurtre final. Le divin est représenté de trois façons différentes : par les Euménides, déesses de la vengeance, par le mendiant, dont l’identité est ambiguë : homme ou dieu ? par l’oiseau qui plane au-dessus de la tête d’Egisthe. l’état de crise sur lequel s’ouvre la pièce -réactions au mariage d’Electre- détermine les conflits entre familles et au sein des familles. Aux

vitrines regroupent savamment disposés des accessoires de mode et de beauté (perruques, corsets, produits pour mettre en valeur la poitrine) et des prothèses de membres dont le caractère élaboré contraste avec le médiocre bricolage dont est équipé le mendiant. 2) La société allemande L’angle de vue du tableau suggère deux niveaux d’humanité : celui du niveau supérieur, celui des « gens normaux » soucieux d’élégance dont on ne voit que le bas : une main gantée, la partie inférieure d’un corps de femme

possible en alexandrins, et qui est respectée par les pièces de l’antiquité. Le chœur, alors qu’il joue un rôle très important dans les pièces anciennes, disparaît dans les pièces contemporaines. Dans celle de Giraudoux, son rôle est assuré par le Mendiant (témoin, détective, accoucheur de la vérité) et par les Petites Filles (=Euménides). Dans celle de Sartre, il est assuré par les Mouches (=Euménides). B. Règles de la tragédie grecque La règle des trois unités (de lieu, de temps et d’action)

Marianne est la contraction des deux prénoms Marie et Anne qui était des prénoms très populaires au XVIII ème Siècle en France et portés par plusieurs reines. Surnom Elle fut surnommée «la gueuse» par les monarchistes. La « gueuse» signifie la mendiante ou la femme de mauvaise vie. En effet, dans la chanson des camelots des rois composé vers 1908-1910 les partisans de l’héritier du roi de France affirment vouloir la pendre et lui «casser la gueule». Tableau  Titre : La liberté guidant

mouvements sont rapidement jugés hérétiques et pourchassés par l’inquisition afin de les remettre sur le droit chemin. Parmi ces hérésies, beaucoup sont, comme le dit le texte « des pauvres hérétiques ». Le clergé estime qu’il y a bien assez d’ordres mendiants avec les dominicains, les franciscains, les Carmes et les Augustins. Le texte pose donc une problématique fondamentale : Pourquoi et comment l’Eglise lutte-elle contre la multiplication des mouvements de pauvreté hérétique, ceci vu à travers un

sapins : à la cime argentée je reconnus la déesse. Alors je levai un à un les voiles. Dans l’allée, en agitant les bras. Par la plaine, où je l’ai dénoncée au coq. A la grand’ville elle fuyait parmi les clochers et les dômes, et courant comme un mendiant sur les quais de marbre, je la chassais. En haut de la route, près d’un bois de lauriers, je l’ai entourée avec ses voiles amassés, et j’ai senti un peu son immense corps. L’aube et l’enfant tombèrent au bas du bois. Au réveil il était midi. Arthur

des fleuves infernaux .) , « Obole à Charon », « sombre mendiant »,( : Antisthène était un philosophe de l'antiquité; pour lui, l'homme libre est celui qui a su dominer ses désirs, qui ne se préoccupe pas des convenances ou des devoirs imposés par la société, mais qui se conforme à une vertu idéale.), « bras vengeur et fort » b. Les personnages qui sont dans ces Enfers : Personnages de la pièce de Molière : -DJ : le héros - le mendiant fait allusion au pauvre et auquel Don Juan refuse de

bourgeois sont reconnaissables à quelques attributs: gant, canne. Il méprise le mendiant en lui donnant un timbre à la place d'une pièce. 6 Une enfant (peut être une orpheline car elle est seule et pieds nues) dessine sur le mur. 7 La petite fille se trouve devant la vitrine d'un magasin de prothèses, ce qui accentue l'infirmité des deux personnages. Les prothèses sont très élaborées par rapport à celles du mendiant. 8 Dans la vitrine d'à côté des perruques et des objets liés à la beauté. 9 Entre

idiot ») est griffonné. b) Couleurs Les couleurs présentent des couleurs vives pour les premiers plans (bleu du veston du personnage au premier plan, robe rose de la dame traversant la rue) et ocres pour les personnages en arrière-plan (le mendiant, l’enfant…). c) Construction du tableau La scène que dépeint Otto Dix est cadrée serrée, oblique, ce qui crée une impression de confusion et de déséquilibre. Les éléments nombreux font du tableau une sorte de catalogue chaotique dont l’enchevêtrement