Conclusion Les Contemplations

de théâtre qui a marqué le romantisme : « Hernani » * 1831 grand roman « Notre dame de paris » * 1856 « Les contemplations » Les contemplations  Recueil de 158 poèmes rassemblés en 6 livres que Victor Hugo a publié en 1856. La plupart de ces poèmes ont été écrits entre 1846 et 1855. Mais les poèmes les plus anciens de ce recueil datent de 1834. Les vers des Contemplations comptent parmi les plus beaux poèmes de la poésie française. Victor Hugo y est à l'apogée de son art poétique. Préface

droit à l’erreur comme celui à l’errance. («  Si je me trompe, laissez-moi errer » )· Plan du texte :· Evocation d’une femme hors du commun- L. 619 à 627· Dialogue entre mère et fille- L. 628 à 639· Retour abrupt à la réalité concrète du jardin et conclusion L. 630 à la fin Problématique :Comment Colette fait-elle le portrait complexe de sa mère à travers une simple anecdote ?« Je l’ai vu …Chut regarde » · Recours à une anecdote qui est le point de départ de ce portrait en action rapportée au passé

sensualité à un désir spirituel (“blanc//”rouge”) Ce niveau de lecture montre que la valeur descriptive des éléments du rêve se doublent d’une portée symbolique. 3)La contemplation La compréhension ne passe plus par la médiation du langage, toujours décevant (unité fusionnelle) Le vocabulaire de la vie spirituelle (“contemplation” + conditionnel+sonorités ouvertes à étudier) Quel que soit le conventionnel de son imaginaire, Emma ressent donc bien confusément, l’appel de l’absolu, le désir de l’impossible

Introduction : En 1838, Victor Hugo publie dans les Contemplations un poème intitulé Melancholia. Dans ce poème, dont les vers sont en alexandrins,Victor Hugo dénonce le travail des enfants, plus particulièrement « l' exploitation » des enfants dans les usines. Dans ce poème à caractère pathétique, Victor Hugo nous fais part de ses sentiments et de ce qu'il voudrait : la liberté et la justice. Victor Hugo a écrit ce texte, Melancholia pour pouvoir dénoncer le travail des enfants et l'esclavage sans

l’animal, et bous décrit ainsi le jugement que porte les gens à son égard. COMMENT LE POETE PEUT IL SE TROUVER SI GRAND DANS SON DOMAINE ET SI PETIT DANS LA SOCIETE ? 1 – UN MAESTRO DANS SON ART (3 STROPHES)2 – UN ETRANGER DANS LA SOCIETE (1 STROPHE)CONCLUSION : Nous avons affaire à une poésie allégorique, car son objectif est de représenter une idée. La place du poète dans la société est semblable à l’albatros, majestueux dans le ciel, qui est son élément, et ridicule sur terre au milieu des hommes.

les romans à un auteur unique, les poésies à un deuxième lui aussi unique et les pièces à un troisième. Il en concluait que l’auteur est impossible à reconnaître tant le poids du genre est grand. Depuis lors, E. Brunet n’a cessé de répéter cette conclusion et, après lui, la quasi-totalité des littéraires, de telle sorte qu’aujourd’hui, la cause semble entendue : l’auteur serait impossible à reconnaître par informatique. Cette affirmation correspond si bien à la doxa ambiante que personne ne s’est

des créations de l'esprit mises au service du corps et destinées à être détruites dans la consommation. Les œuvres d'art ne satisfont quant à elles aucun besoin corporel : l'esprit qui a présidé à leur création est aussi celui qui jouit de leur contemplation. C'est parce que la satisfaction provoquée par les œuvres est une satisfaction par l'esprit et pour l'esprit qu'elles sont laissées intactes : les objets d'art ne sont pas pris dans la ronde des besoins quotidiens, qui sont des besoins du corps

était poète, écrivain, dramaturge et romancier, et est quand même reconnu en France comme étant une des plus importantes figures romantiques de langue française. Certains de ses chef-d’œuvres incluent Les Misérables, Notre Dames de Paris, et les Contemplations pour en nommer quelques-uns (L’internaute). À part de ses succès littéraires, Victor Hugo a aussi vécu une vie politique. En 1845, il a été nommé Pair de France et a débuté sa carrière politique avec ses idées républicaines. C’est en 1848 qu’il

expérience qui l'est tout aussi. Il se met en scène et semble avoir dans les quatrain un seul destinataire : le lecteur. L'apparition de la femme lui permet de passer de l'enfer hurlant de la rue à une contemplation silencieuse, indiquée pars les sonorités « an, on, in ». Mais cette contemplation est éphémère, car rien n'existe en elle si ce n'est à l'état d'ébauche. Le poète est ému et troublé par une silhouette. II – L'image de la femme Elle est multiple et répond aux goûts du poète. Elle

les romans à un auteur unique, les poésies à un deuxième lui aussi unique et les pièces à un troisième. Il en concluait que l’auteur est impossible à reconnaître tant le poids du genre est grand. Depuis lors, E. Brunet n’a cessé de répéter cette conclusion et, après lui, la quasi-totalité des littéraires, de telle sorte qu’aujourd’hui, la cause semble entendue : l’auteur serait impossible à reconnaître par informatique. Cette affirmation correspond si bien à la doxa ambiante que personne ne s’est