Conclusion Les Contemplations

verticale qui amène le poète à plonger dans un paysage intérieur → celui de sa souffrance. Poète d'abord souffrance amoureuse → temps et absence. Souffrance → confusion de deux époques, et de deux lieux. Baudelaire met en surimpression → contemplation actuelle + solitaire du crépuscule + bal ayant lieu jadis Allusion valse v.4 + « langoureux vertige » au même vers→ à une femme aimée et disparue → adjectif de 2ème personne « ton souvenir » v.16 → ressuscite tout un univers amoureux. Le cœur

Dissertation : l’activité artistique relève-t-elle du travail ou de jeu ?Nietzsche le devenir de l’œuvre Alain artiste et artisan Introduction : L’art est connu comme le pouvoir de la création, c’est le moyen pour l’Homme de se détacher de la nature si c’est en effet le cas il semblerait qu’il n’y ait alors aucune règle et contraires de la technique dans le monde du travail. L’artiste est spectateur de son œuvre, et cherche à ce que son œuvre elle aussi sois contempler par d’autre spectateur et

tristesse mais aussi l’expression de la « finitude » de la vie. L’observation du poète sur le soleil couchant conduit à la réflexion du temps qui passe. Le temps : expression et réflexion Les divisions du temps Passé Composé Action bien terminée. Conclusion de la première strophe : « le pas du temps qui s’enfuit » Présent de vérité générale. L’expression « je passe » montre la difficulté de la condition humaine (on peut comprendre « je trépasse ») Prise de conscience. Opposition entre les deux premiers

païenne, il faut libérer lʼimage dʼune certaine fénoménalité des apparences afin dʼy inscrire un mouvement de désimagination lequel va permettre dʼassocier lʼimage à un creu, seul moyen de frayer un passage vers lʼinvisible (préparer lʼâme a la contemplation mystique). Ce sont ces points qui expliquent cette sorte dʼabstraction, de hiératisme des icônes byzantines. Idole et icône sont deux concepts qui ont traversé lʼhistoire de la pensée occidentale. Sur lʼidole intervient le registre discontinuiste

réaliser. L’Art, en tant que connaissance, prétend le plaisir, qui est synonyme de beauté comme la perfection. Lorsqu’une personne juge une œuvre belle, il le fait sans aucune référence au passé ou a un avis extérieur, mais examine l’œuvre par la contemplation. Le contemplateur peut cependant espérer un accord semblable dans le jugement, le beau est ce qui plait a tout le monde, il est universellement. Le contentement esthétique est universellement, mais il ne vise aucun autre but, ainsi peut-on parler

La poésie Mors, Victor Hugo, 1854 Introduction : Victor Hugo, chef de file du mouvement romantique. Le recueil Les Contemplations, est construit en deux parties, séparées par une date, le 4 septembre 1843, jour de la mort accidentelle de sa fille. La première partie, « Autrefois », est consacrée aux poèmes du bonheur, la seconde, d’où est tiré Mors, est une méditation sur la mort et la destinée humaine. Le texte Mors est un poème en vers qui présente le triomphe absolu de la mort par

Biographie Pg 8 Le Classicisme « Le Chêne et le Roseau » Jean de La Fontaine Pg 9 Biographie Pg 10 Le Romantisme « Le Lac » Méditations poétiques, Alphonse de Lamartine Pg 11 Biographie Pg 13 « Aux arbres » Les Contemplations, Victor Hugo Pg 14 Biographie Pg 15 « A une fleur » Alfred De Musset Pg 16 Biographie Pg 18 « Brumes et pluies » Baudelaire Pg 19 Biographie Pg 20 « La Bonne chanson » Paul Verlaine Pg 21 Biographie Pg 22 La Poésie

narrateur, • L’organisation du texte, • Les chaps lexicaux, • L’enjeu du texte; b) énonciation, syntaxe, sémantique: • La construction des phrases, • Lest temps, • Le lexique, • Les figures de style. 3. Conclusion. Le fragment analysé du ”Desert” de Jean-Marie Gustave Le Clézio ouvre le chapitre du livre entitulé ”Le Bonheur”. L’œuvre apartient sans doute à un genre épique (la présence du narrateur, du temps et du lieu). Dans le fragment

oiseaux chantaient au fond des bois ! Comme l'eau caressait doucement le rivage ! Je vis venir à moi, dans les grands roseaux verts, La belle fille heureuse, effarée et sauvage, Ses cheveux dans ses yeux, et riant au travers. V. Hugo, Les Contemplations (1855) ( En rose, la méthode, en bleu, le commentaire du poème de V. Hugo ) I - Introduction 1 - Situer le passage Si c'est un extrait de roman, vous devez situer le passage à commenter dans son contexte littéraire et historique, puis

présente, dès le berceau. Qui n’a pas peur d’un décès prématuré de son enfant, disparaissant, tué par des soldats comme le petit garçon dont Hugo évoque la mémoire dans « Souvenir de la nuit du 4 », ou dans un accident comme la fille du poète des Contemplations ? Qui ne redoute de perdre sa mère comme Cosette dont le destin bascule après le décès de Fantine dans les Misérables ? Qui n’a jamais craint de voir disparaître celle qu’il aime, comme Eluard dans Le temps déborde ? b. Parce qu’elle est omniprésente