Conclusion Les Contemplations

d’une bonne maitrise du recueil. Organisation 3C’est bien. Retravaillez néanmoins l’introduction pour la rendre plus fluide et la conclusion car il est dommage qu’il manque une ouverture de conclusion. Expression 3C’est bien mais certaines phrases sont trop longues. Vous employez par ailleurs à certains endroits des tournures orales. 17/20 «Les Contemplations » de Victor Hugo sont un recueil publié en 1856, constitué de plusieurs poèmes séparés en six livres. Victor Hugo est un poète et

Commentaire littéraire Victor Hugo vécut au XIX éme siècle. Il fut considéré comme l'un des plus importants écrivains romantiques de la langue française. Mais c'était aussi un poète, un dramaturge et un homme politique. Il écrivit Les Contemplations en 1856, un recueil de poème lyrique dont est tiré Demain Dès l'Aube. Ce poème a été écrit le 3 septembre 1847, la veille de la date d'anniversaire de la mort de Léopoldine, la fille de Victor Hugo. Il nous raconte en trois strophes le voyage

Mors Victor Hugo, 1856, poème in Les Contemplations Haut du formulaire Bas du formulaire Introduction     Victor Hugo, l’un des plus grand poète et écrivain français de tous les temps, chef de file du mouvement romantique, est l’auteur de nombreux chef d’ouvre : Les Misérables, Les Châtiments, ou encore Les Contemplations, d’où est extrait le poème Mors. Le recueil Les Contemplations, est construit en deux parties, séparées par une date, le 4 septembre 1843, jour de la mort accidentelle

consiste à comprendre pour comprendre ou savoir pour avoir, c’est la contemplation : PRAXIS, quand on ne peut pas séparer l’exercice de la pensée. Ce qui sert à … ne peut pas servir à autre chose, il est relatif à ce dont il sert. La philosophie ne sert à rien, c’est pour ça qu’elle est absolue. C’est une fin en soi. La contemplation est un bonheur esthétique, qui renvoie aux belles choses. Dans un moment de contemplation, on cesse de chercher quelque chose car cela nous comble complètement

consiste à comprendre pour comprendre ou savoir pour avoir, c’est la contemplation : PRAXIS, quand on ne peut pas séparer l’exercice de la pensée. Ce qui sert à … ne peut pas servir à autre chose, il est relatif à ce dont il sert. La philosophie ne sert à rien, c’est pour ça qu’elle est absolue. C’est une fin en soi. La contemplation est un bonheur esthétique, qui renvoie aux belles choses. Dans un moment de contemplation, on cesse de chercher quelque chose car cela nous comble complètement

Technique : flou, vague Aspect symbolique : image de l’infini, de l’éternité, de dieu Dimension spirituelle 2-une invitation à la contemplation et à la méditation Choix du sujet : spectateur de dos Axe vertical du corps : idée d’ascension Exaltation devant le spectacle Représentation du peintre dans son tableau, mais aussi du spectateur Conclusion : Paysage symbolique, paysage intérieur, symbole de l’élan vers l’infini, l’exaltation de l’âme, importance du moi, mais aussi de la finitude

I/ Une démarche cohérente A. Une démarche en deux temps 1) une démarche intellectuelle a. confrontation de l’Homme à l’infiniment grand contemplation de grandeurs de plus en plus importantes, d'abord mesurables : le soleil ("cette éclatante lumière")/"la Terre" contemplation de grandeurs supérieures à ce que l'imagination peut concevoir "ample sein de la nature" "nulle idée n'en approche" b. Place de l’Homme et du monde en comparaison de ce qu’il est et de ce qui est (l.13)

b. Dans l'extrait qui nous occupe, Cornélius est consulté sur la beauté d'une tulipe dont la contemplation lui rappelle d'autres beautés et bien des laideurs rencontrées au hasard d'une vie errante. La conclusion de cette méditation est pour le moins amère : "Quel malheur [...] que Dieu ne se soit pas borné à la peinture des paysages". c. On remarque d'emblée que la portée métaphysique de la conclusion n'est en rien soutenue par un discours argumentatif ; elle est plutôt le fruit d'une expérience

d’interrogation) ; * la présence d’adverbes d’intensité ; * l’emploi de figures de style (comparaisons, métaphores, …) ; * etc. Termes liés : l’élégie, le pathétique, le pathos (émouvoir les passions du lecteur). Victor Hugo (1802-1885), Les Contemplations (1856), Livre V, XXIV : En 1843, Victor Hugo perd sa fille Léopoldine, qui s’est noyée dans la Seine à Villequier. J’ai cueilli cette fleur pour toi sur la colline. Dans l’âpre escarpement qui sur le flot s’incline, Que l’aigle connaît seul

devant la tombe de sa fille. Victor Hugo utilise aussi le « moi » dans son dessin Ma destinée où là encore, il est question de la nature, une mer déchainée avec la présence d’un bateau. Cela nous fait alors penser au décès de Léopoldine. Dans les Contemplations, Victor Hugo évoque sa jeunesse. Il raconte en effet ses premières rencontres avec les jeunes filles. Dans « Vieille chanson du jeune temps », le poète a seize ans et est naïf et timide comme en témoigne les vers suivants : « Et la nature amoureuse