Conclusion Les Contemplations

opprimé (Les rayons et les ombres, 1840). Le poète vêtit l'habit de poète guide. Il soulève l'idée d'un lyrisme romantique universel. Le poète est celui qui voit mieux que les autres les idées et les principes. Victor Hugo, préface des Contemplations, 1856, « Ah ! Quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez vous pas ? Ah ! Insensé qui croit que je ne suis pas toi ! » Le poète vêtit l'habit de poète traducteur. Il a pour certitude que le monde est peuplé de

Entrée en matière Avant d'analyser en détails le poème Sur une tombe écrit par Victor et qui compose un recueil appelé Les contemplation, je vais m'intéresser à son contexte. Ainsi, la fille de Hugo, Léopoldine, qui faisait une excursion sur une rivière à Villequier, en 1843, se noya dans la Seine. Cette mort, bouleversa terriblement le célèbre auteur français. Ce fut un événement terrible pour ce dernier et c'est en quelque sorte la raison pour laquelle il écrivit, quatre ans plus tard, ce poème

l'usage, elle échappe au rapport d'utilité que nous avons avec les objets courants : une œuvre d'art ne sert à rien et ne semble venir satisfaire nul besoin préalable. Alors que l'objet invite à la manipulation, l'œuvre ne réclame de nous qu'une contemplation désintéressée : la valeur d'un objet se détermine par le besoin qu'on en a, tandis que la valeur des œuvres ne saurait être qu'esthétique. Or cette différence, pour nous évidente, entre objet et œuvre implique la distinction de l'artisan et de

l’intelligence — ne parvient pas à diriger les deux chevaux dont l’un a le cœur à l’ouvrage et l’autre, le désir au ventre, comme le dit G. Samama (Les Belles Lettres, coll. « Poche », 1998). La contrariété de ses éléments distrait l’âme de la contemplation du vrai. Perdant ses ailes, elle en vient à « chuter » dans un corps. B. L’amour dans le séjour corporel de l’âme • Ces âmes, désormais prisonnières du sensible, sont cependant plus ou moins oublieuses de leur vocation divine, plus ou moins

meilleur et, de manière plus intellectuelle, l’idée du sens de l’histoire, issue d’une vision du monde occidental. Qu’attend-on de l’art ? C’est ainsi que l’on constate une rupture conceptuelle entre l’art helléniste qui consacre sa plénitude à la contemplation de l’homme et l’art byzantin qui décrit l’invisible derrière le visible, entre l’art classique dont le but est la représentation la plus parfaite de la réalité et l’art impressionniste qui donne la priorité à la perception intérieur, à l’expression

rendre de moi. ». Il affirme aussi dans la 2ème Promenade qu’il se sent vraiment vieillir ;« Mon imagination déjà moins vive ne s’enflamme plus comme autrefois à la contemplation de l’objet qui l’anime, je m’enivre moins du délire de la rêverie…». Rousseau dit donc qu’il n’a plus autant de réflexion et d’admiration pour une contemplation qu’il en avait avant. C’est pour ça qu’il se dit qu’il a peut-être trop attendu pour écrire ses Rêveries. Le fait qu’il savait qu’il allait bientôt mourir et que c’était

.......................................................................................1 3. Analyse.............................................................................................................................................2 4. Conclusion........................................................................................................................................2 5. Commentaire.............................................................................................

COMMENTAIRE SUIVI DE FRANCAIS « DEMAIN DÉS L’AUBE » _Les Contemplations (1856) de Victor Hugo _ PLAN Introduction Première Partie: vers 1 au vers 4 L’envie de partir Deuxième partie : vers 5 au vers 8 Préparatif du voyage Troisième Partie : vers 9 au vers 12 Le recueillement Conclusion Les exposants ADji Yaye Ngone Cisse _Elisabeth Ndella D.S.Tavares_ Alphonse Tine Abdou Kader Thiam _Ousmane Niang_ SITUATION DU TEXTE Ce célèbre

Demain des l'aube Intro : Dans Les Contemplations, la mort de Léopoldine inspire à Hugo tantôt des réminiscences heureuses, tantôt de douloureux cris de désespoir. À la veille du quatrième anniversaire de l'accident, Hugo compose ces trois strophes d'une simplicité harmonieuse et d'un lyrisme touchant. Avec une détermination qui n'exclut ni l'émotion ni l'imagination, il décrit par avance le cheminement qui le conduira auprès de son enfant bien-aimé. Mais par la magie des images, des rythmes

CHRETIENTE * le quiétisme (Doctrine selon laquelle la perfection chrétienne réside dans la passivité de la contemplation. Défendu par Fénelon) * la lutte contre le jansénisme (courant rigoriste du catholicisme institué par Jansen, évêque hollandais. Beaucoup de convaincus français comme Pascal, Racine et l’abbaye de Port Royal devient l’un des haut cultes du jansénisme. Conclusion : Sous Louis XIV, bien que présent non uniformément dans le royaume, le catholicisme est ancré dans les