Conclusion Les Contemplations

doute au service de la recherche de la vérité. Ce n'est pas le double sceptique) Cependant il est à remarquer que je n’entends point que nous nous servions d’une façon de douter si générale, sinon lorsque nous commençons à nous appliquer à la contemplation de la vérité. Car il est certain qu’en ce qui regarde la conduite de notre vie nous sommes obligés de suivre bien souvent des opinions qui ne sont que vraisemblables, à cause que les occasions d’agir en nos affaires se passeraient presque toujours

« Philosopher c’est apprendre à mourir. » la mort = la séparation de l’âme et du corps. Apprendre à se détacher du corps. L’élévation de l’âme qui entre dans la contemplation de l’absolu c’est le but de la philosophie. Philosopher c’est apprendre à détacher son âme du monde matériel et c’est se préparer à l’immortalité. Conclusion sur Socrate : Socrate fut jugé par un tribunal populaire et fut condamné à mort, accusé d’avoir corrompu la jeunesse par ses pensées. Bien que n’ayant jamais rien

Les écrivains sont connu pour leurs œuvres qui les rendent célèbre et les transporte vers la gloire ou le déclin. Ainsi Apollinaire est connu pour son alcools, Hugo pour ses contemplations et Baudelaire pour ses fleurs du mals. Chacune de ses œuvres on marqués les sociètes de part leur particularité et leur singularité. En 1946 Queneau va connaitre se bouleversement avec ses exercices de style ,délirante fantaisie littéraire. Il est légitime de se demander si cet écrit est vraiment unique et original

plein d’énergie et d’espoir, nous sommes reconnus par nos FF :. apte a prendre le chemin en qualité de F :. Capable de faire fructifier notre potentiel, épanouir notre flamme intérieure. Ce n’est ni dans une mystique individuelle, ni dans la contemplation de nous même , ni dans la recherche de pouvoirs personnels que nous y parviendrons, mais en participant assidument avec nos FF :. au travail que je nommerai communautaire, au travail en Loge, cela participe au sens de notre propre libération.

réalités naturelles comme des objets techniques. Lorsque le peintre, par exemple, représente, sous forme de « natures mortes », des aliments, des fruits, il oublie ce qu'ils signifient pour nos yeux de consommateurs et les regarde pour eux-mêmes. La contemplation se substitue à l'intérêt. III- L’art nous donne un nouveau regard sur le monde Le regard de l'artiste est un « voir » plus profond, plus entier. Il repose sur le mépris de « l'usage pratique et des commodités de la vie ». Cette conversion

formule de Monseigneur Bienvenu (vu précédemment dans le livre) qui montre que Jean Valjean est aussi bienveillant que lui. Conclusion : Hugo critique le travail des enfants à travers une opposition de fillettes de différentes classes sociales. Le travail des enfants était une réalité de l’époque que Hugo avait aussi dénoncée dans son poème « Melancholia » (Les contemplations) en montrant que les enfants étaient malheureux (« pas un seul ne rit… »).

dents d'une machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre, Innocents dans un bagne, anges dans un enfer, Jamais on ne s'arrête et jamais on ne joue. Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las… » Victor Hugo, Les Contemplations, Livre III - 1856 III. INVENTIONS En 1769, James WATT invente la machine à vapeur utilisée dans les usines puis dans les transports En 1793, Eli WHITHNEY élabore l’égreneuse à coton. Il découvre que grâce à des machines, on peut fabriquer

ironique + provocatrice comme si charogne pouvait se manger → comparaison culinaire “cuire à point” ● personnification majestueuse de la Nature —> allégorie “la grande Nature” Analyse de la quatrième strophe : ● la charogne devient l’objet d’une contemplation esthétique → personnification “le ciel regardait” v13 ● évoque l’horreur dans toute sa splendeur, fait cohabiter laideur et beauté → oxymore “carcasse superbe” v13 ● fait un rappel sur titre recueil, idée d’extraire la beauté du Mal, du cadavre

utilisée dans le romantisme? Dans un premier temps, nous allons évoquer la beauté que représente la nature chez les romantiques.       La nature, pour les poètes romantiques, est une beauté originelle. La Martine la voit comme une source de contemplation, mais surtout, d’admiration « Du rivage charmé frappèrent les échos; Le flot fut attentif, et la voix m’est chère ». Elle permet aussi d’inspirer l’Homme « Les parfums légers de ton air embouée » ce qui le pousse à s’y identifier « L'Homme n’a

strabisme qui lui est propre. Cependant il faut noter que son regard n’est pas dirigé vers le spectateur mais comme s’il regardait dans le vide ou s’il était en plein état pensif. Cela n’empêche pas l’effet de proximité que ressent le spectateur à la contemplation de cette œuvre. De plus, Pras s’est représenté plutôt jeune (cheveux noirs de jais) étant donné son âge et la couleur de ses cheveux maintenant. Il n’a pas non plus choisit de représenter ses épaules ou son buste sur cet autoportrait comme si ce