Conclusion Libre échange

produit net en circulation dans l’économie, l’Etat (incarné par le Roi) ne doit pas intervenir dans l’économie si ce n’est que pour protéger le libéralisme (le laisser-faire et laisser passer) et la propriété privée. En effet, de la même manière que la libre circulation du sang entre les différents organes favorise la santé du corps humain, le produit net doit circuler sans entrave (sans intervention de l’Etat) entre les différentes classes pour que l’économie connaisse une croissance.   La richesse

franche, zone de libre échange : cadre théorique……………………………………………………………………..3 Section I: généralités sur les zones franches………………………………….3 Section II: généralités sur le libre échange…………………………………...5 Chapitre I : les zones franches……………………………………………….10 Section I: les zones franches au Maroc……………………………………...10 Section II: bilan de la ZFT après dix ans de fonctionnement……………….14 Chapitre II : le libre échange………………………………………………...17 Section I : présentation des accords de libre échange (Maroc-USA)

de l'integ. régionale s'affrontent, celle voulue par les EU se limite à une zone de libre-échange continentale, alors que les Etats du sud tentent de construire une vraie intégration éco, voire politique (comme la construction européenne). A-L'ALENA :une organisation régionale dominée par les EU - 1994:création de l'Association de Libre-Échange Nord Amrcaine. Etats-Unis, Mexique et Canada - Zone de libre-échange : liberté de circulation des marchandises et capitaux - Pas de politiques économiques

INTERNATIONALES, LIBRE-ECHANGE ET INTEGRATION REGIONALE Denis Cogneau (DIAL – UR CIPRE de l’IRD) cogneau@dial.prd.fr Georges Tapinos (IEP de Paris) Document de travail DIAL / Unité de Recherche CIPRÉ Novembre 2000 RESUME Le papier propose une synthèse de la relation existant entre ouverture commerciale et migrations internationales. Ecrit en février 1997, il est réédité ici en mémoire de Georges Tapinos, décédé subitement le 20 novembre 2000. Il argumente que les politiques actuelles de libre-échange proposées

concerne donc le domaine économique. Cette notion insiste sur l’interrelation, sur les échanges entre les entités nationales. C’est une logique classique, néo-classique, celle du commerce international. Cette logique fait correspondre les frontières politiques aux frontières économiques. L’entité de base de cette théorie reste la nation. Dès le 19e siècle, il existe adeptes et opposants du libre échange. Les opposants ont une logique protectionniste, ils avancent l’argument de l’intérêt national

Heckscher-Ohlin-Samuelson [modifier] Article détaillé : Modèle Heckscher-Ohlin-Samuelson. Dans ce modèle, les échanges internationaux reposent sur des différences de dotation dans les facteurs de production. Ce modèle est connu sous plusieurs noms. Il fut d'abord publié sous une forme plus littéraire par Bertil Ohlin, qui attribua la co-paternité du modèle à son directeur de thèse, Eli Heckscher en 1933. En 1941, Paul Samuelson et Wolfgang Stolper en déduisirent un théorème important sur la rémunération

les uns par rapport aux autres. Les relations économiques internationales présentent donc une grande diversité à la fois quant à leur nature et quant à leurs acteurs. I- La nature des relations économiques internationales 1- Les échanges et leur diversité - Les échanges de biens et services : Dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, le commerce international des marchandises a connu une expansion très rapide. Sa progression annuelle en volume aura été de 6% entre 1947 et 1973, puis de 4% de 1973

néolibérale qui est de réduire le gouvernement à un État minimal. La direction que le parti libéral prend nous amène à nous demander si le néolibéralisme est juste. Dans les prochains paragraphes, j’analyserai la position des néolibéraux qui pensent que le libre marché est plus fonctionnel que l’État, que les ressources devraient être contrôlées et distribuées par les individus et que personne ne devrait pouvoir imposer quoi que ce soit à autrui, par exemple imposer des impôts pour les programmes sociaux.

Les limites du libre-échange Présenté comme la panacée universelle et le système qui optimise le mieux les moyens de production, le libre-échange génère un ensemble de coûts non pris en compte par le système économique actuellement en place, le capitalisme. La mise en compétition des travailleurs des pays développés avec les mains-d'oeuvre abondantes, peu qualifiées, sous-payées et exploitées (y compris le travail des enfants) des pays en développement, ne peut que conduire à un nivellement

__________________________________________________________________________________________ ECONOMIE GENERALE __________________________________________________________________________________________ 3ème PARTIE : LES MOTEURS DE LA CROISSANCE CHAPITRE 11 LES ECHANGES EXTERIEURS MOTS CLES - Balance commerciale, des capitaux, des paiements - Balance des transactions courantes - FAB, CAF - CNUCED - Coefficient d’ouverture sur l’extérieur, coefficient de dépendance - Compétitivité - Effets prix, effets volume - Firmes