Conclusion Metamorphoses Ovide

L’histoire d’Amour et de Psyché, d’Apulée à Rodin Exercices d’approfondissement 1 M.-T. Lung-Fou, Contes créoles, « Compère Lapin et le Grand Diable » J. de la Fontaine, Fables, « Le Loup et l’Agneau » 2 D. Diderot, Ceci n’est pas un conte 3 Ovide, Les Métamorphoses, « Arachné » Prolongements 6 S O M M A I R E Séquence 7 Les pouvoirs du discours Bossuet, Sermon du mauvais riche V. Hugo, Discours sur la misère TEXTE 2 Voltaire, Candide D’UN TEXTE A L’AUTRE 2 A. Césaire, Discours sur le colonialisme

un  des  mille  enfants  du  dieu  du  Sommeil  Hypnos.  Son  nom,  dérivé  du  mot  grec  signifiant  la  forme,  indique  sa  fonction :  il  doit  prendre  la  forme d’êtres humains et se montrer aux hommes endormis pendant leurs rêves.  Suivant  Ovide,  il  est  le  premier  des  songes,  et  le  plus  habile  à  contrefaire  la  démarche, le visage, l’air et le son de la voix de ceux qu’il veut représenter. On lui  donne  pour  attribut  une  plante  de  pavot,  et  des  ailes  de  papillon,  pour 

(Erhard). OESSLER (Jacques). Offenbourg. Carte. OLIVÉTANT. Olmutz. Carte. Ombrie. Orense. Carte. ORFINI (Emiliano et Marietto). Orléans. ORLÉANS (duc Charles d'). ORTELIUS. Orthographe. Ostrog. OTMAR (Hans). OTMAR (Silvan). Ouigours OVIDE. OVIEDO Y VALDES (Fernandez). OWEN (John). Oxford. P PABLO (Juan). PACHEL. Padoue. PAFFROET (Richard). Page de titre. Voir : Titre (page de). Pagination. Voir : Foliotation. PAGNANINI. PAGNINUS (Sanctes) PALEARIO. PALISSY (Bernard)

Bonne foi et comportement des cocontractants, 64-110. ART. 1. – LES MANIFESTATIONS DE LA BONNE FOI, 65-97. § 1. – Le devoir de loyauté, 68-74. § 2. – Le devoir de coopération, 75-97. ART. 2. – LE JEU DE LA MAUVAISE FOI, SECT. 2. – Bonne foi et conclusion du contrat, 40-47. ART. 1. – L’AVÈNEMENT D’UNE OBLIGATION PRÉCONTRACTUELLE D’INFORMATION, 42-45. ART. 2. – LES LIMITES DE L’OBLIGATION D’INFORMATION, 46. ART. 3. – LES PRÉCONTRACTUELLE 98-110. § 2. – Les conséquences de la mauvaise foi,

La religion, parce qu’elle est sacrée, et la législation, à cause de sa majesté, veulent communément s’y soustraire. Mais elles suscitent dès lors vis-à-vis d’elles un soupçon légitime et ne peuvent prétendre à ce respect 8 Kant cite ici Ovide, Métamorphoses, XIII, v. 508-510. -10- sans hypocrisie que la raison témoigne uniquement à ce qui a pu soutenir son libre et public exa- men »9. C’est donc à juste raison qu’on refuse à la métaphysique la prétention d’être une science, du moins avant

.............................................. 182 IV – Lesbos ............................................................................... 184 V. – Femmes damnées ............................................................. 187 VI. – Les métamorphoses du vampire ......................................191 APPENDICE I. SUPPLÉMENT AUX FLEURS DU MAL..... 192 Nouvelles Fleurs du Mal........................................................... 193 I. – Épigraphe pour un livre condamné..........

...............................................113 IV – Lesbos ................................................................................114 V. – Femmes damnées ..............................................................117 VI. – Les métamorphoses du vampire ..................................... 120 Appendice I. Supplément aux Fleurs du Mal ........................121 Nouvelles Fleurs du Mal............................................................121 5 I. – Epigraphe pour un livre

.............................................. 182 IV – Lesbos ............................................................................... 184 V. – Femmes damnées ............................................................. 187 VI. – Les métamorphoses du vampire ......................................191 APPENDICE I. SUPPLÉMENT AUX FLEURS DU MAL..... 192 Nouvelles Fleurs du Mal........................................................... 193 I. – Épigraphe pour un livre condamné..............

s’installa à la maison. Livré à lui-même, Jean-Jacques put puiser sans discernement dans les romans d'amours laissés par sa mère, et ‘’L’astrée’’ éveilla de bonne heure son esprit romanesque. Mais il lut aussi Plutarque (qui lui donna le goût de la vertu), Ovide, Bossuet, La Bruyère, Fontenelle. En 1721, son frère aîné, voué au vagabondage, disparut. En 1722, le père, obligé de s’expatrier à la suite d’une rixe, le mit en pension chez le pasteur Jean-Jacques Lambercier, à la campagne, à Bossey. Lui, qui

d’exploration de la mémoire et des traces dans W ou le souvenir d’enfance aboutit à la projection de la mémoire dans l’espace de la feuille de papier, cernée alors dans cet ouvrage. Métaphoriquement, l’espace de la feuille blanche, l’espace du livre, se métamorphose, sous la plume de Georges Perec, en une image, une carte, un atlas, où viennent se représenter les lieux de sa mémoire. La cartographie de la mémoire prend forme dans les sinuosités des signes peints sur le papier, suivant les diverses traces,