Conclusion Metamorphoses Ovide

sommeil – rêver – lit – songe »… -Veiller – dormir -> Peu de différences (différences entre le 1 et 2éme hémistiche). Pourtant des barreaux pensent que c’est la même chose. -« Grand maitre en l’art d’aimer » -> Périphrase : Ovide (cf. les métamorphoses : thème baroque). Présence du registre lyrique. (art d’aimer) Accentuation avec « bien fort » qui montre que Des Barreaux pensent le contraire. -Vie = Sommeil (comparaison) or le sommeil est l’image de la mort -> Donc vie = mort

ces métamorphoses : la civilisation humaine doit être démolie, balayée. A son tour, il se métamorphose en rhinocéros. Quelques jours plus tard, Bérenger reçoit la visite de Daisy. Ils sont environnés par les animaux. Ils se déclarent leur amour mais Daisy se transforme à son tour. Il ne reste que Bérenger. Il est tenté par la transformation mais il se rend compte qu’il ne peut se transformer. Puis il se ravise : seul, il se battra et résistera. Interprétation de la pièce: La métamorphose en

recueil qu’il a appelé recueil de vers dans lequel on trouve le sonnet « Et l’amour et la mer » qui évoque les douleurs causées par l’amour, à travers la métaphore filée qui met en relation l’amour et la mer. Baroque > Inconstance, mouvement, métamorphose (illusion). Problématique Comment le motif de l’eau est-il un moyen d’exprimer la douleur amour Etude tu texte : Importance des répétitions * Césure a l’hémistiche * Il joue sur : sens propre sens figuré * Le thème du naufrage

Sommaire I. Le mythe d’Hercule ou Héraclès 1) une enfance difficile 2) les douze travaux d’Hercule 3) Déjanire et Achéloos 4) la mort d’Hercule II. Biographie des adaptations littéraires 1) Les Métamorphoses d’Ovide 2) Littérature dans l’antiquité 3) Littérature après l’antiquité III. Adaptations autres que littéraire 1) Peinture 2) Sculpture 3) Musique 4) Bande dessinée 5) Cinéma 6) Télévision I. Le mythe d’Hercule ou Héraclès 1) Une enfance difficile Zeus avait comme projet

changement Aspect inéluctable de cette transformation (exagération, amplification : l.35). Métamorphose (cf. Ovide) Rep. De « rien », « aucune » è jouet de la fatalité. « nouvelle histoire » / fin d’une histoire Elle commençait déjà, la nouvelle histoire de M.R. , à se faire : syntaxe chaotique (rupture syntaxique) Le personnage de Mickael est comme enlevé (cf. étymologie de ravissement) par anne-Marie Stretter Conclusion : Thème classique mais traitement surprenant pour le lecteur qui est habitué à des

Supports d'analyse du mythe et références « Orphée et Eurydice » de Nicolas Poussin « Orphée » de Cocteau « Orphée aux Enfers » de Jacques Offenbach mis en scène par Laurent Pelli Comparaison des œuvres Positionnement personnel Conclusion Références « La mort d'Eurydice » d'Ary Scheffer, 1814 « Orphée ramenant Eurydice des Enfers » de Jean-Baptiste Camille Corot, 1861 « Orphée » de Gustave Moreau, 1865 Orphée ou l'amour perdu deux fois, est un mythe

être seule, Roméo lui déclare ensuite le sien. Caractéristiques - organisation, composition Une scène incontournable de la littérature amoureuse et romanesque. C'est une histoire vraie inspirée de Pyrame et Thisbé racontée par Ovide dans Les Métamorphoses. Le balcon, un lieu bien choisi pour tout amoureux transi. Il peut y dire sa flamme et espérer être invité par la belle qui aura été séduite. Le balcon est aussi un lieu qui symbolise l’espace théâtral. C'est une scène nocturne car le nuit

troués et lui dit « de partir en emmenant les pénates » i.e. les dieux protecteurs de la famille (les dieux pénates étaient deux statuettes masculines à l’entrée de la maison, symboles de la famille). Au premier siècle dans Les Métamorphoses, le poète latin Ovide donne des précisions sur le royaume d’Hypnos « dans un palais situé près d’une grotte de l’île de Lemnos, où les rayons du soleil ne pénètrent jamais… Le seul bruit qu’on y entend est celui du fleuve de l’oubli, qui coule sur de petits

s’étend dans toute l’Europe jusqu’aux alentours de 1760. Caractérisé par le sens du théâtre, de la mise en scène festive, le Baroque veut désormais convaincre par le mouvement, le grandiose, la courbe: la séduction des sens. Pour mieux voir…: les Métamorphoses d’Ovide Apollon, dieu de la lumière, du chant et de la poésie, tombe amoureux de la nymphe Daphné, celle-ci ayant fait vœu de ne jamais se marier. Le dieu la poursuit pour la convaincre. Désespérée, comprenant qu’Apollon la rattrape, la nymphe

note : Magna ( neutre pluriel ( Maximi ( masculin singulier ( Multa ( féminin pluriel ( Candidum ( masculin singulier ( Jucundua ( masculin pluriel ( _________________________ Conclusion : Le nom de dieux olympiens vient du fait que ces dieux vivent sur le mont Olympe, en Grèce. Les dieux romains sont issus des dieux grecs : ce sont les mêmes, avec les mêmes fonctions et les mêmes attributs. Seuls leurs noms changent