Conclusion Partielle

continentale sont : - une topographie particulière (reliefs élevés à une racine crustale) - des plis, des fouilles et des charriages. Après la collision, la chaîne de montagnes est le lieu d’une évolution tardive : érosion en surface et fusion partielle en profondeur.

variables - Dérivée partielle - Fonction approximation linéaire - Équation d’un plan tangent - Différentielle - Variation en valeur - Approximation de la variation en valeur o Équation de 2 variables - Équation aux variations différentielles - Variable dy définie localement en fonction de la variable dx - Variable endogène y définie localement en fonction de la variable exogène x - Nombre « dérivée de y en fonction de x » o Fonction de n variables avec n > 2 - Dérivée partielle - Fonction approximation

ondes change de vitesse cela signifie qu’elles changent de couche géologiques donc qu’elle se propage dans d’autre roche. Lorsque dans une couche la vitesse des ondes diminue, cela signifie que les roches sont moins rigides car elles sont en fusion partielle (fusion d’environ 1%). b) Les différentes couches géologiques dans les 700 premiers Km. Grace à ces variations de vitesse des ondes on distingue deux couches dans les 700 premiers Km : De 0  100 Km, c’est la lithosphère. La lithosphère est soit

moment dans une chambre magmatique, se différencier et/ou être contaminés, puis remonter en surface. Toutes les variantes sont possibles et donnent des produits magmatiques différents. La subduction reste un phénomène très complexe. La fusion partielle, la déshydratation, la contamination… sont autant de mécanismes entrant en jeu dans l’évolution des magmas. La problématique est de savoir dans quelle proportion chacun d’eux intervient. Les différents types de subductions Les zones de subduction

gnessique. Ces roches appelées migmatites sont le résultat d'une fusion partielle de roches portées à de grandes profondeurs en relation avec l' épaississement de la croûte continentale. A de grandes profondeurs, certains minéraux deviennent instables et il se produit une fusion partielle donnant naissance à un liquide de nature granitique. Les minéraux qui ne fondent pas forment la partie gnessique restante. Conditions de fusion partielle d'une roche en fonction de la pression et de la température. Conditions

= dfa (1): Di¤érentielles partielles On se donne E = E 1 ::: En où E1 ; :::; En sont des espaces vectoriels normés , F un n espace vectoriel normé , f : U ! F où U = Uk , Uk est un ouvert de Ek et a = (a1 ; :::::; an ) k=1 2 U. ff admet une dérivée partielle par rapport à la k-ième variable en a , fla k-ième application partielle On appelle alors dérivée partielle de f par rapport a la k-ième variable en a et on note @k f (a) la dérivée de cette application partielle en xk : @k f (a) = d (gk )a

oceaniqeu : baslate morb subduction → basalte calco alcalin manteau primitif : premier stade de formation de la terre, avant que le manteau ne fonde et forme des croutes teneur des roches magmatiques proviennet refroidissment lquide qui provent fusion partielle roche mere, forte affinité pour phase liquide Si on compare le basalte et l'andesite , on remarque que les spectres ont la meme morphologie sauf que les teneurs sont plus importantes pour l'andesite (pour les elements les plus incompatibles). Pour

magmatisme des dorsales La production du magma dans les dorsales est très importante et ce magma, en se solidifiant, donne les basaltes et les gabbros de la croûte océanique (environ 20 km3/an). A) Le magma des dorsales provient de la fusion partielle de la péridotite de l’asthénosphère Les données sismiques révèlent l’existence d’une chambre magmatique (zone ou les matériaux sont partiellement liquides) à l’aplomb de la dorsale pacifique à quelques kilomètres sous la surface. Cette chambre

recoupe la zone de fusion partielle donc les conditions P et T doivent être compatibles avec l’entrée en fusion des péridotites (à confirmer par la suite à l’aide du doc 3). Le doc 1a présente les conditions de formation de la CC à l’archéen. On constate ici que la fusion se fait directement à l’intérieur de la CO subduite, à une plus faible profondeur que précédemment (vers 50 km). Le solidus du manteau hydraté ne vient pas au contact de la zone de fusion partielle donc il ne semble pas possible

2 : Roche : état solide La pression et la température sont les deux facteurs à l’origine de la fusion partielle. Le passage solide liquide se caractérise par un état de fusion partielle : on obtient un mélange solide liquide. Pb : La composition chimique du solide de départ est –elle la même que la composition du liquide qui apparaît au cours de la fusion partielle ? Activité 3 : Isotherme : courbe (=ensemble de point) de même température. 1300°C = limite entre l’asthénosphère