Conclusion Sur Andromaque

et conatif de la langue prévaut, chez elle, sur la fonction expressive ou sur tout usage visant à séduire ou impressionner l’interlocuteur. Madame Jourdain est un être de bon sens : elle dit ce qu’elle voit, en demande des comptes et en tire des conclusions logiques. Elle oppose ainsi son discours à celui de Dorante, qu’elle qualifie de « chansons » (l. 14). Le registre de langue de monsieur Jourdain est proche de celui de son épouse. On y trouve nombre de présentatifs, « c’est », « ceci » mais aussi

est placé devant un choix difficile, on parle alors de « dilemme tragique » Cf. Le Cid de Corneille. Ce héros ne peut généralement pas éviter un fin violente, tragique EX : Wilfried meurt fusillé, la mort de Pyrrhus et la folie d’Oreste dans Andromaque (1667) de Racine. Pour le philosophe grec du IVe siècle AVJC, la fonction principale du spectacle tragique est de permettre au public de se libérer de ses passions et de ses tourments par la catharsis ou encore instruire par la peur et les

la modernité. «L’Olympia» de Manet: un des derniers grands nus de l’histoire de la littérature. Manet et courbet : c’est la réalité de la peinture elle-même qui les intéresse. Il peignent la peinture. «Les demoiselles d’Avignon» de picasso. Conclusion : Baudelaire et les peintres. Reproche adressé par Baudelaire aux peintre qui lui sont contemporains : ils peignent sans imagination. Mot d’ordre des impressionnistes : peindre ce qu’on voit, non ce qu’on sait. (Turner) Beaudlaire préfère le

jour de l'avoir conservé. Enfin de tous les Grecs satisfaites l'envie, Assurez leur vengeance, assurez votre vie ; Perdez un ennemi d'autant plus dangereux Qu'il s'essaiera sur vous à combattre contre eux. Racine, Andromaque, Acte I, Scène 2, 143-172. a. L’exorde  : il a pour fonction d’attirer la bienveillance de l’auditoire, d’exposer le sujet du discours et parfois d’en indiquer la structure. b.

Racine, Andromaque, Acte I, Scène 2, 143-172. a. L’exorde : il a pour fonction d’attirer la bienveillance de l’auditoire, d’exposer le sujet du discours et parfois d’en indiquer la structure. b. La narration : elle expose les faits. Elle prend la forme d’un récit. c. La confirmation : elle présente les arguments que l’on peut tirer des faits exposés dans la narration et cherche éventuellement à anticiper les possibles contre-arguments. d. La péroraison : c’est la conclusion du discours

marqué toute sa vie par cette éducation. Venu à Paris pour y faire de la littérature, il devient vite célèbre par ses tragédies, et un protégé personnel de Louis XIV. Il écrit surtout des tragédies (une seule comédie), dont les plus célèbres sont Andromaque (1667), Britannicus (1669), Bérénice (1670), Bajazet (1672), Iphigénie (1674), Phèdre (1677). Il cesse ensuite totalement d'écrire, et ne reprend son activité d'écrivain qu'en 1689, pour écrire deux tragédies sacrées: Esther et Athalie. Le thème

de ses recueils poétiques. De même, les héros que la tragédie met en scène sont généralement des figures légendaires, tirées de la mythologie. Quel que soit leur rôle dans l'action et quoi qu'ils fassent, Ajax (chez Sophocle), Médée, Hippolyte, Andromaque ou Hélène (chez Euripide) sont des héros et des héroïnes parce que la tradition les a désignés comme tels, indépendamment de toute transposition littéraire. A cet égard, leur statut héroïque n'est donc pas problématique. Si elle emprunte donc

. . . . (« . . .les . . . .coïncidences . . . . . . . . . . . . . . . . », . .« . . des ............. preuves . . . . . . . . . . .»). . . .Le . . . discours . . . . . . . . . . .aboutit . . . . . . . . . alors . . . . . . .à . . une . . . . . conclusion . . . . . . . . . . . . . . pour . . . . . . .le . . moins . . . . . . . . .peu . . . . .convaincante, . . . . . . . . . . . . . . . . . .absurde . . . . . . . . . . (« . . .il. .eût . . . . été . . . . .surprenant . . . . . . . . . . . . . .»,

II．Introduction………………………………………………………………… 6 III．La première partie D’Hippolyte à Phèdre……………………………………………………… 8 IV．La deuxième partie Des dieux aux hommes……………………………………………………17 V. La troisième partie Aricie et les autres………………………………………………………… 23 VI. Conclusion ……………………………………………………………… 27 VII. Bibliographie …………………………………………………………… 28 Introduction Hippolyte, le fils de Thésée, admire son père pour ses exploits guerriers, mais réprouve ses infidélités

ne peut faire préjuger de la concordance des résultats. Les méthodes d'analyse structurale, d'inspiration linguistique ou stylistique, dépendent-elles d'une axiomatique demeurée, malgré tout, incertaine ? Au simple niveau de l'exégèse, leurs conclusions, pour appréciables qu'elles soient, demandent d'être acceptées sous bénéfice d'inventaire. Les « essais d'herméneutique » réunis dans le Conflit des interprétations 8 placent sans doute leur auteur, Paul Ricœur, au premier rang de ceux dont