Conclusion Sur Enfance Nathalie Sarraute

vie, de renaître) des moments de bonheur et l'accès à l'éternité. Tout d'abord, il y a la réactualisation des moments de joie, une sorte de tentative pour lutter contre le temps qui passe. Nous prendrons comme appui l'extrait de texte de Nathalie Sarraute, Enfance. Dans ce texte, elle fait revivre un moment singulier de son existence. Elle découvre sa perception de la beauté à travers sa perception du monde qui lui donne une sensation d'exister : « une sensation d'une telle violence qu'encore maintenant

le thème de prédilection. « Je n’ai pas de souvenir d’enfance » écrit paradoxalement Georges Pérec dans son autobiographie. Paradoxalement car c’est dans l’enfance que réside le cœur de toute écriture autobiographique. Nathalie Sarraute en a même dédié le titre de la sienne : Enfance. Pour Colette, l’enfance est un paradis, pour Sartre, les Mots sont l’analyse d’une névrose littéraire… La vérité est d’emblée établie du fait du plaisir procuré par l’auteur de se confier à son lecteur, de lui avouer

lesquels le récit de sa propre vie et la réflexion sur l'identité se mêlent inextricablement. Le xixe et le xxe siècles poursuivront cet effort de compréhension de soi, qui est aussi une tentative de compréhension de l'homme. Lorsque Nathalie Sarraute, par exemple, écrit Enfance, elle fait dialoguer deux voix qui se rapportent pourtant à une seule personne – elle-même. Cette forme littéraire est, de façon oblique, une manière de réfléchir la multiplicité de l'individu : elle est même une contestation de

apparent. ( Enfin, en une sorte de clin dil qui ressemble un effet de mise en abyme, Maupassant tablit une comparaison avec un mauvais sujet des romans populaires. Sans doute est-ce aussi une indication sur le peu de morale relle du personnage. Conclusion Incipit rapide, vif qui met laccent sur un personnage propre susciter des sentiments ambivalents dot dun pouvoir de sduction certain, Duroy exerce aussi son attrait sur le lecteur mais ce mme lecteur peut trouver moins sympathique la confiance

plusieurs points.   2) Résumé Le livre débute avec la partie " Combray ", du nom du village d’enfance du narrateur Marcel. Toute cette partie se déroule en fait en une nuit, alors que la narrateur se couche et se remémore des souvenirs. Il pense à son enfance, aux visites de M. Swann, à Mlle Vinteuil et la duchesse de Guermantes. Il fait plusieurs descriptions de ses souvenirs à l’époque où il vivait à Combray. La section se termine au réveil du narrateur, après l’évocation de ses souvenirs. La deuxième

L’Enfant au toton ou Portrait d’Auguste-Gabriel Godefroy, vers 1736, musée du Louvre, Paris peint par Jean-Baptiste Siméon Chardin. Et, Sur un banc du bois de Boulogne, 1894, musée d’Orsay, Paris peint par Berthe Morisot. 3) CONCLUSION : * Avis personnel : En conclusion, j’ai beaucoup aimé cette œuvre car elle est tellement bien réalisée que j’ai l’impression d’être face à une photographie. Je trouve qu’elle reflète la génération actuelle des adolescents, qui veulent tous grandir trop vite,

XIXe siècle. Rabelais Poète français, médecin, humaniste, figure importante de la pré-Renaissance française.       François Rabelais naît à La Devinière, près de Chinon vers 1494. Son père est avocat et sénéchal de Lerné. On ne sait rien de son enfance ni de sa jeunesse. Il reçoit une éducation qui le conduit, sans vocation, à l’état monastique. Le jeune François commence ses études à l’abbaye des bénédictins de Seuilly. En 1510, il devient novice au couvent de la Baumette, près d'Angers, puis prêtre

Le Nouveau Roman……………….…….……………14-16 Les Courants littéraires mineurs : Le Symbolisme………………………………………..…17 Le Théâtre de l’Absurde…………………..…….……17-18 Les Auteurs phares………………….…………………………18-20 Architecture & Art…………….….….….….…….…..….….…20-23 Conclusion…………………………………………………………….. Introduction  Dans le cadre du cours de français, nous avons du réaliser une recherche documentaire afin de faire une synthèse axées majoritairement sur les courants littéraires présents au XXème siècle. Nous avons choisit

Enfin, en une sorte de clin d’œil qui ressemble à un effet de mise en abyme, Maupassant établit une comparaison avec un « mauvais sujet des romans populaires ». Sans doute est-ce aussi une indication sur le peu de morale réelle du personnage. Conclusion : Incipit rapide, vif qui met l’accent sur un personnage propre à susciter des sentiments ambivalents : doté d’un pouvoir de séduction certain, Duroy exerce aussi son attrait sur le lecteur mais ce même lecteur peut trouver moins sympathique

amplification de la réalité. A partir de là, écrire sans artifice apparaît impossible. Pourtant, pour certains auteurs, l'autobiographie est justement l'occasion de s'affranchir de tout artifice verbal, ou de moins au maximum. C'est le cas de Nathalie Sarraute, qui dans Enfance, s'astreint à une remise en cause perpétuelle, tout au long de son oeuvre, en mettant pour cela en scène une voix intérieure, qui ne cesse de la mettre face à ses propres contradictions, et à la pousser vers le mieux. Cette petite voix