Conclusion Sur La Crise Asiatique De 1997

. . . 125 Conclusion. La fin du capitalisme liquide ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 143 Bibliographie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .149 Index . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 151 Table des matières . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 153 © Eyrolles Pratique 7 Préface La crise financière

au capitalisme. Dès la XIXe siècle, les flux de capitaux atteignent des niveaux élevés. L’entre-deux-guerres et les années 1950-1970 apparaissent plutôt comme une parenthèse : contrôle des changes, réglementation restrictives héritées de la grande crise des années 1930. Les années 1980 marquent le passage a une économie de marchés financiers. L’ensemble des compartiments de ce marché à connu une très forte expansion : marchés des actions, des obligations et surtout des produits dérivés, né des

- la richesse économique et financière (firmes multinationales et instruments monétaires reconnus) : IDH, PIB, PNB, poids des productions industrielles, agricoles, services, monnaie de référence : Dollar et yen (voir conséquences de la crise asiatique), places financière, banques - la capacité d’innovation technologique et la capacité à produire, à diffuser des biens ou des services - le rayonnement culturel, linguistique, intellectuel ou idéologique qui permet à un

CHAPITRE 1 : LES NOUVELLES GUERRES DU PETROLE | Introduction : Aujourd’hui, nous faisons face à une crise structurelle (=permanente, qui dure ≠ conjoncturelle) du pétrole. Il s’agit d’une crise de la demande (≠offre) : jamais la demande de pétrole n’a été aussi forte. * Quelles sont les implications stratégiques ? Nouvelle Guerre Mondiale ? I. Une crise pétrolière complexe 1. Crise : Un état des lieux * L’Inde et la Chine (Asie industrielle) sont responsables de la hausse du

internationaux et joue donc un rôle majeur dans la mondialisation. Le Japon est le troisième exportateur mondial, devant la Chine, actuellement au quatrième rang. 3. Des métropoles de plus en plus puissantes L'expansion de l'aire de puissance asiatique s'illustre également par le développement de grandes métropoles qui regroupent toutes les fonctions économiques productives. On peut citer Tokyo, Séoul, Shanghai, Singapour et Hong-Kong. Trois pôles différents coexistent en Asie Orientale :

du système de production et d’échanges autocentré et administré qui fut élaboré dans le cadre soviétique selon les principes de la planification socialiste. Événement géopolitique majeur, la disparition de l’URSS a suscité, dans un contexte de crise, des évolutions structurelles, politiques, économiques, sociales et territoriales. Le modèle téléologique de transformation élaboré autour de la notion de « transition », qui vise à instaurer des démocraties libérales dans les pays post-socialistes

organisationnel qui repose sur l’échange, chaque pays étant spécialisé dans un bien ou une activité particulière pour lequel il détient un avantage déterminant). III. 3ème révolution industrielle Idem IV. La crise de 1929 a) La crise naît de la prospérité La situation économique des USA avant la crise est florissante, les USA sont les créanciers de l’Europe, leurs exportations sont largement supérieurs à leurs importations, limitées par une politique protectionniste. L’industrie des biens de consommation

ajouté par THG. Sur ce principe, l’entreprise a donc pu se diversifier sur d’autres produits comme les bijoux ou la porcelaine car ce n’est finalement pas leur « cœur » de métier. Cette entreprise est bien placée pour croître sur le marché asiatique, sa culture d’entreprise ciblée sur le service à la clientèle de luxe a tout ce qu’il faut pour lui permettre de grandir plus vite que les autres. Quels sont les facteurs qui brisent cet alignement ? A partir de quand la stratégie de THG dérive-t-elle

proie à des crises financières, la nécessité de renforcer la coordination internationale des politiques macroéconomiques et la régulation du système mondiale ont été mises en lumière. Crée en décembre 1999 par le G7, en réponse à la crise financière asiatique de 1997-1998, le « club » nommé G20 composé de 19 pays ainsi que l’Union européenne, représente les principales économies avancées et émergentes et a mis en évidence la nécessité d’intégrer les pays émergents dans les discussions multilatérales

Kaddour Résumé : Le sujet des crises financières et la recherche des divers mécanismes y intervenant, a été le centre d’intérêt de plusieurs travaux de recherche. Toutefois la soudaineté et l’ampleur des désastres enregistrés à chaque crise récente, mettaient en cause la capacité des chercheurs à cerner leurs enchaînements et à comprendre leurs véritables sources .C’est ainsi qu’une nécessité de s’investiguer davantage dans les causes les plus profondes des crises financières s’annonce