Conclusion Sur La Nuisance De La Concurrence Imparfaite Sur Les Consommateurs

SOMMAIRE INTRODUCTION I)-LA REGULATION PAR LE MARCHE II)- LES LIMITES DE LA REGULATIONS PAR LE MARCHE A_/ Concurrence imparfaite et prix artificiel 1-/Le non-respect de l’hypothèse d’atomicités de libre entée sur le marché 2-/Le non-respect de l’hypothèse d’homogénéité 3-/ Le non-respect des hypothèses de transparence et de mobilité des facteurs de

redistribution des ressources, au travers de deux types de redistribution, ayant pour objectif de remédier à deux types d’inégalités. Dans un troisième temps, nous évoquerons la nécessité de l’intervention de l’État sur les marchés, et notamment en concurrence imparfaite, et dans le cas du monopole. I. La nécessité de l’intervention de l’État dans l’allocation des ressources au sein de l’économie. A. Pallier aux défaillances de marché. Les défaillances de marché apparaissent lorsque deux hypothèses

marché I) Qu’est ce qu’un marché ? Les marché permettent la coordina des décisions des agents éco, il fonctionne + souvent en concurrence imparfaite qu’en concurrence parfaite, mais av bcp d’imperfections. Des millions de pers échanges des biens, du travail ou des capitaux sur des marchés ou se fixes les prix : prix relatif des biens, salaires, taux d’intérêt. Qd la concurrence règne sur le marché, les prix fournissent aux individus des info utiles pr prendre leur décision. La présence d’institutions

ESH CHAPITRE 4.L’OFFRE, LA DEMANDE ET L’EQUILIBRE DU MARCHÉ EN CONCURRENCE PARFAITEPLAN DETAILLÉ I/ LES COURBES D’OFFRE ET DE DEMANDEA. Offre et demande de marché : l’agrégation des offres et demandes individuelles1) De la courbe d’offre du producteur à la courbe d’offre de marchéa/Du coût marginal du producteur à la courbe d’offre du producteurb/ De la courbe d’offre du producteur à la courbe d’offre sur le marchéc/ La courbe d’offre à court terme et à long terme 2) De l’utilité marginale décroissante

Les mécanismes de l’Economie de marché Plan du chapitre • • • • • • Introduction I. L’institutionnalisation du marché II. Les mécanismes du marché III. Les limites du marché IV. Les stratégies des entreprises Conclusion Introduction • L’objectif de ce chapitre sur les mécanismes de marché est de montrer que la théorie de l’équilibre de l’offre et de la demande permet de comprendre le fonctionnement du marché dans un environnement concurrentiel parfait. Cet état de perfection n’existant

le prix des biens et services mis sur le marché ne reflète pas leur coût social total et signaux inadaptés aux consommateurs. L'objectif = l'internalisation des effets externes. I – Les principes de la réglementation : la controverse Pigou/Coase Les effets externes étudiés sous le prisme d'une analyse microéconomique standard. Prix est égal aux coût marginaux de production en Concurrence Pure et Parfaite : théorie de l'offre du producteur rationnel qui maximise son profit. Pour Pigou, Coûts marginaux

toutefois pas simplement à la mise en place d’un système de droit. Dans deux autres domaines, l’intervention publique est également nécessaire : celui de la concurrence et celui des normes et standards. ii. Le jeu de la concurrence Il est admis depuis fort longtemps (et largement reconnu) par les économistes que l’idéal de la libre-concurrence n’est pas de ce monde et que l’on ne peut se fier aux seuls intérêts privés pour atteindre le bien commun. Déjà, Adam Smith (à la fin du XVIIIe siècle) nous

invisible d'Adam Smith (on montrera tout ceci avec les mathématiques). Ce dernier s'énonce ainsi : "Chaque individu, en poursuivant sont intérêt personnel est conduit comme par une main-invisible à réaliser l'intérêt général" (avant on croyait que la concurrence était très mauvaise ; depuis, A. Smith renverse cette idée. Ex. : régulation du prix du blé). Pour Smith, ce sont des agents décentralisés qui sont guidés par les prix et qui réalisent un ECG et cet équilibre est l'OP. Ce théorème a servi au 19ème

indicateur essentiel pour les agents car c’est un indicateur de rareté, c’est un élément de comparaison… mais son rôle est limité, ce n’est pas toujours une source fiable car le marché est une construction sociale et l’asymétrie de l’information nuit au consommateur. Le prix est un indicateur relatif. Pour les Keynésiens, malgré les anticipations rationnelles des agents, certains prix ne sont pas flexibles. Donc les ajustements se font plus lentement que dans les hypothèses défendues par les néoclassiques

individus va à l’encontre de l’intérêt général. C’est pourquoi, il prône l’intervention de l’Etat dans l’économie. Ainsi, en cas de crise, l’Etat peut agir sur la demande si celle-ci est insuffisante. Cette stimulation peut relancer l’économie, les consommateurs et les entreprises vont reprendre confiance et les dépenses vont reprendre. • Le système capitaliste et le problème socialiste 1. Le système capitaliste C’est le système dominant dans la plupart des pays. L’idée est que les individus