Conclusion Sur Le Romantisme

dans la dernière strophe,l'auteur fait allusion à une dame à la fenêtre , blonde aux yeux noirs , en habits d'époque qu'il pense avoir déjà vu dans une autre existence .On peut penser que cette femme est un amour perdu qui corroborerai le thème du romantisme , ou la représentation du poète et dans ce cas traduirai d'un ambiguïté féminine . Par ces quatre strophes, le poète exprime ses souvenirs mais aussi les rêves que lui provoque une musique . En effet ,nous assistons à un retour en arrière , par

occupe une place centrale dans l’histoire de la poésie moderne. Il est dans un certain sens l’héritier du romantisme. Il refuse le lyrisme facile et l’exaltation du moi. Il privilégie la malédiction, qui accable l’homme et le condamne à un spleen (l’angoisse existentielle, le triomphe du mal) que la quête de l’idéale ne parvient jamais totalement à faire oublier. Il n’est pas un romantisme comme les autres car il n’est ni mélancolique ni nostalgique mais veut faire de l’ennemi un allié inattendu

notamment présent dans les distiques ( vers imparisyllabique ). À ce titre, on peut repérer l'antithèse entre la « vie est lente » et « l’Espérance violente ». CONCLUSION Ce poème se situe donc bien dans la tradition élégiaque ; l'individu est au centre de l'écriture ; mais aussi dans la tradi° du romantisme au 19è siècle. Le romantisme est « l'impression d'être naît trop tard dans un monde trop vieux ». L'amour, l'échec, la mélancolie, le temps qui s'écoule ; on peu penser au Lac de Lamartine.

Séquence n°4, lecture analytique n°2 : Hugo « Demain dès l'aube... » Introduction : Victor Hugo est l'une des grandes figures du romantisme au XIXe siècle. Dramaturge ( Hernani ), romancier ( Les Misérables, Notre-Dame de Paris ), écrivain engagé ( Le Dernier jour d'un condamné ) ; il s'impose aussi comme un des plus grands poètes de son temps. Le poème que nous allons étudier est extrait d'un recueil intitulé Les Contemplations, publié en 1856, sous le règne de Napoléon III. Il s'agit

époque : on retrouve une sorte de fausseté qui plane au-dessus du poème, on en retrouve le champ lexical : « pâle » (v.1), « semblent » (v.2), « nonchalance » (v.4), « trompeurs » (v.9), « coquettes » (v.9), « affranchis du serment » (v.10). En conclusion, le poète prive ses personnages d’identité dans un lieu que l’on peut facilement reconnaitre, c’est un contraste flagrant qui permet d’identifier n’importe qui à ces personnages. Nous allons maintenant étudier l’aspect de la scène romantique

d'accusation. C'est sans doute parce qu'il évoque son premier grand combat littéraire, celui du romantisme, que l'auteur place ce texte dans la partie du recueil consacrée au thème de la jeunesse, aurore de la vie. Le texte étudié couvre les vers 29 à 66 de ce long poème. Victor Hugo y développe une défense de son action personnelle et dresse un tableau de la langue et de la littérature française avant le romantisme. I - UNE DÉFENSE PAR L'AUTEUR DE SON ACTION PERSONNELLE Le titre du poème

premier lieu, à l’éloquence de Mme de Mosauf. Dans un second temps, nous verrons que cette éloquence est au service d’une certaine vision du monde et des rapports sociaux dont Balzac nous livre ainsi une image. Enfin, nous attacherons à montrer le romantisme de ce texte. I/ L’éloquence : Ce qui frappe d’abord dans ce texte c’est la rigueur et la maîtrise de la langue : Mme Morsauf s’exprime comme un orateur. Dans un premier temps, elle critique la société dominée par l’intérêt : « une doctrine

Réalisme et naturalisme 19.03.2015 Romantisme / Realisme,Naturalisme subjectivisme / objectivisme Antirationalisme / Positivisme (passion,imagination (ambition sientifique, gout pour

Le romantisme à travers Atala et René, œuvres de Chateaubriand (ébauche) Chateaubriand, sa biographie François-René de Chateaubriand est né à Saint-Malo le 4 septembre 1768. Cadet d’une famille d'aristocrates bretons, il vit une enfance calme, étudiant sans grand enthousiasme, passant de l’armée à la marine, ainsi que par un monastère durant quelques mois. Ne sachant quelle orientation prendre, il rentre à Combourg où demeure sa famille. Dans le château féodal racheté par son père, l'adolescent

Plénitude : 3ème strophe : présent de l'indicatif ---> bonheur atteint Recherche d'un état parfait: v.25, 26: harmonie parfaite entre homme et âme - Une dilatation du temps et de l'espace : on ne sent pas le temps (v.4: "aimer à loisir"). Conclusion : Pour Baudelaire, imaginer le voyage suffit puisqu'il s'agira d'un voyage idéal. Pour imaginer ce voyage, la présence de la femme est nécessaire. Le poète considère ici une femme très proche de son cœur et de son esprit. Baudelaire est toujours