Conclusion Sur Les Fleurs Du Mal

LA n°5 : Baudelaire ,Sonnet XXXIX, Les Fleurs du Mal , « Spleen et Idéal » Introduction : * Procès des Fleurs du Mal qui condamna certains poèmes jugés érotiques. * Symbolisme * Influence sur les poètes qui ont suivis * Synesthésie « Correspondances » des couleurs et des sens * «  C’est l’un des plus prestigieux privilèges de l’art, que l’horrible puisse devenir beauté, et que la douleur rythmée et cadencée remplisse l’esprit d’une voix calme. » Baudelaire * Contexte :

Devient critique et traducteur en 1842 (pour subsister a ses besoin) - 1857 : Rencontre Madame Sabatier, publie « Les Fleurs du Mal » => procès atteinte a - la moralité. 1861 : nouvelle édition (6 poème supprimés) ; 1868 : Edition posthume Autre oeuvre : « Le spleen de Paris » • Lecture • Présentation du texte - Dernier texte de Spleen et Idéal => Fait parti des Fleurs du Mal - « L’Horloge » est une allégorie du temps => Le temps nous emporte rapidement vers - la mort et qu’il faut tenter de

est ici envahie par le spleen... 2eme quatrain: on a un présent d'énonciation il n'a plus d'inspiration mais a de l'espoir Le poète envisage que l'inspiration va venir avec le temps 1er tercet: La question rhétorique montre qu'il a un espoir "fleurs nouvelles"= nouveaux poèmes "le mystique aliment" Il aspire a l'idéal pour lui permettre de retrouver son inspiration créer un lien entre "sol" et "mystique aliment" correspondance verticale 2eme tercet: Bilan le temps qui passe est comparé a un

Mémoire de Maîtrise Les femmes baudelairiennes dans Les Fleurs du Mal Présenté par Ju Yue sous la direction de Mlle. Gao Fang Langue et littérature françaises Institut des études étrangères Université de Nanjing mai 2009 Remerciements Je tiens tout d’abord à exprimer ma profonde gratitude à Mademoiselle GAO Fang, directrice de mon mémoire, pour sa direction vigilante, ses conseils éclairés et son encouragement tout au long de l’élaboration de ce mémoire. Et puis, je remercie de tout fond

domaine de peinture, mais aussi influence les autre domaines artiste. Dans la littérature mondiale, nous trouve aussi beaucoup d’exemple classique sur la vanité. Comme Baudelaire, il a utilisé beaucoup d’image de vanité dans son recueil « Les fleur du mal ». Par analyser les images de vanité qui apparaît dans les poèmes de Baudelaire, nous trouvons Baudelaire préfère l’image de mort que l’image de renaissance et son opinion contradictoire sur la vanité. Il admet la nature de la vie mondaine est

des saisons, l'automne, puis l'hiver associé à la mort, font espérer le renouveau du printemps (« fleurs nouvelles », vers 9). L'enchaînement des images conduit à une interprétation qui se situe sur le plan de la nature (« automne », « eau », « sol lavé », « fleurs nouvelles »). L'enchaînement des symboles (saisons = représentation symbolique des étapes de la vie) conduit à considérer les « fleurs nouvelles » comme le printemps des idées, c'est à dire un renouvellement de l'inspiration après une

jardin bien peu de fruits vermeils. Voilà que j'ai touché l'automne des idées, Et qu'il faut employer la pelle et les râteaux Pour rassembler à neuf les terres inondées, Où l'eau creuse des trous grands comme des tombeaux. Et qui sait si les fleurs nouvelles que je rêve Trouveront dans ce sol lavé comme une grève Le mystique aliment qui ferait leur vigueur ? - O douleur! ô douleur! Le Temps mange la vie, Et l'obscur Ennemi qui nous ronge le cœur Du sang que nous perdons croît et se fortifie

D'avoir voulu changer de place. Ce sonnet de type francais de 14 vers octosyllabiques, fait partie du très célèbre recueil « Les fleurs du mal » de Charles Baudelaire qui rassemble la majeure partie des œuvres poétiques de l’auteur depuis 1840. La première édition date de 1857. « Les fleurs du mal » vont choquer les lecteurs, et Baudelaire sera condamné pour délit d’outrage à la morale publique pour des poèmes comme « Lesbos » ou « Les bijoux ». On peut prétendre

est un créateur de « légendes », qui prend en charge la misère du monde. C'est ce que dit allégoriquement Baudelaire à Dieu dans le dernier vers de l'ébauche d'un épilogue pour la 2e édition des Fleurs du mal : « Tu m'as donné ta boue et j'en ai fait de l'or » : en effet il transforme le mal en « fleurs ». I. Un poème construit comme un tableau Au cœur du poème se trouve la scène, le sujet et, comme pour l'encadrer, au début et à la fin, des réflexions plus générales qui dépassent la simple description

traditionnelle et composent des poèmes en prose · Après la découverte du recueil Gaspard de la Nuit d'Aloysius Bertrand, Baudelaire s'est aussi attelé au genre du poème en prose. Il écrivit Le Spleen de Paris publié en 1869 après sa mort. Avec Les Fleurs du Mal, il est considéré comme le précurseur de la poésie moderne. · Quand Baudelaire a écrit les poèmes en prose, il se trouve à Bruxelles où, usé par la drogue et par l'alcool, il voit encore devant lui se fermer toutes les portes. ·