Conclusion Sur Les Lois De Jules Ferry

30% pour le Royaume-Unis et de 36% pour l’Allemagne (ce qui sera un avantage pour elle durant la guerre). Le taux de mortalité est de 18%°. Donc la France est un peu « dépressive » au début de XXème siècle, baisse qui continuera de s’accentuer. Conclusion et Transition : Durant les années 1900-1914, les français connaissent une croissance économique et un progrès général qui profite à une majorité de la population, plus particulièrement les classes moyennes, et un peu moins les ouvriers – bien qu’il

à une multiplication des PACS et des unions libres. De nombreux enfants naissent hors mariage. Bien que cette évolution semble stagner depuis ces 5 dernières années, la famille est sans cesse en évolution, de même que les mœurs et les nombreuses lois qui encadrent la famille. IV) En quelques chiffres... En à peine une seule génération la vision de la famille a considérablement évolué: nous sommes passés d'une famille souvent nombreuse, composée de plusieurs générations vivant sous un même

des syndicats (1884). Syndicats de travailleurs vont mettre en place des caisses d’assurance chômage. Les pouvoirs publics en France et en Belgique vont prendre des mesures pour soutenir les mutualités. Ces lois sur l’assistance publique complète les lois républicaines. Lois Jules FERRY (1881) école publique, laïque, gratuite et obligatoire. 09/10/09 b) L'invention des assurances sociales ouvrières obligatoires Allemagne révolution bismarckienne Système d'assurance ouvrière obligatoire

famille est donc flexible, elle est l’objet de recomposition et décomposition successives. Que disent les sociologues de l’institution ? Def : racine latine : établir fonder, ensemble des formes social et des structures organisé établie par les lois ou par la coutume. Est-ce que ces institutions sont des conventions ? DURKHEIM 1858-1917 Pour lui ce sont des fait sociaux caractérisé par de permanences, et la contrainte exercé sur les individus. La personne n’est pas créatrice d’une institution

l’abandon des enfants sont toujours choses courantes. • Au 19ème siècle, l’enfant est chéri, choyé, admiré dans les classes favorisées de la société. Plus bas dans l’échelle sociale, les enfants travaillent encore dès l’âge de 7 ans, mais les lois de Jules Ferry (1881-1882) établissent l’enfance dans une scolarité obligatoire et normée qui, dans une large mesure, la protège. • Au 20ème siècle est considéré comme le siècle de l’enfant, avec l’adoption par l’ONU de la « déclaration des droits de l’enfant

douteuses ; arche de Zoé avec Bretteau => agissements illégaux avec tentative de rapatrier des enfants en Europe fin 2007. Noël Mamère parle de « néocolonialisme compassionnel » (volonté de bien pour l’Afrique mais agissement sans préoccupation des lois avec croyance d’une supériorité de la France). B) Le diagnostic pessimiste mérite d’être nuancé 1° Une Afrique plurielle, des Afriques Des Etats qui sont engagés dans une dynamique positive : - Afrique du Sud : croissance

constatations au départ car bouleversement des ordres monarchiques en Europe. beaucoup de français pensent que leur pays doit répandre cet évangile de la liberté à ce moment la député Dupont De Nevars s'exprime ainsi «il s'agit de la loi fondamentale des lois de notre nation et de celle des autres nations, qui doit durer autant que le siècle» prétention d'être investi d'une mission, d'avoir à transmettre aux autres. A l'époque, les minorités religieuses sont discriminées c'était la règle. À partir de 1789

la réussite scolaire. On voit cependant que, tel qu’il est formulé, le sujet impose dans tous les cas d’interroger la question de la réussite dans son rapport à l’école, quitte à en arriver à affirmer qu’il n’y a pas de rapport nécessaire. Une conclusion (il est vrai téméraire et qui exigerait un solide travail d’argumentation) pourrait être que l’école ne permet pas la réussite, parce que la question de la réussite se joue ailleurs. En revanche, il est très facilement soutenable que toute forme

(1690). Elle est proche de celle de MONTESQUIEU puisque : Il distingue trois fonctions : législative : élaborer les lois exécutive : « parce que les lois qui sont une fois et en peu de temps faites, ont une vertu constante et durable, qui oblige à les observer et à s’y soumettre continuellement, il est nécessaire qu’il y ait toujours quelque puissance sur pied qui fasse exécuter ces lois ». fédérative : le pouvoir fédératif «est chargé de la sécurité et des intérêts extérieurs » (politique étrangère)

qui doivent être choisi en dehors de l’assemblée. Il n’y a pratiquement pas de rapport entre le pouvoir exécutif et le pouvoir législatif qui appartient à l’assemblée, le seul lien serait l’existence d’un droit de veto qui appartient au roi sur les lois adoptées par l’assemblée. Ce système est en partie inspiré des Etats-Unis et en partie de la Grande Bretagne. Ce système n’a duré qu’un an en raison de l’attitude de Louis 16 car ce dernier demeurait passif (il était déprimé). Curieusement, il