Conclusion Terreur

politique de terreur afin de défendre la démocratie ; politique qui ne va pas du tout de soi aujourd’hui où la terreur sert plutôt à renverser ou du moins à affaiblir l’Etat démocratique. Mais l’origine du mot terrorisme réside bien dans la période noire de la Terreur en 1793-1794 et sa signification évolue tout au long de l’Histoire française : il est employé au XIX° siècle à la fois par la droite pour dénoncer le « terrorisme révolutionnaire » et par la gauche qui s’oppose à la terreur des Versaillais

Ces technologies nouvelles seront ensuite converties en applications civiles une fois la paix revenue (four micro-ondes, centrales nucléaires, vaccins, communications longue distances, aviation de lignes...) Pertes humaines et « stratégie de la terreur » : La guerre de 14-18 a fait 10 millions de morts, lesquelles étaient militaires dans leur très grande majorité, du fait que c'était une guerre de tranchée où l'on se battait de ''soldat à soldat''. Les pertes civiles n'étaient essentiellement que

Conséquences : Ere nouvelle renversant la monarchie, la journée du 10 aout est svt considérée comme une deuxième révolution. S’ouvre alors une période décisive et incertaine pendant laquelle la France vit sans régime politique. III) Une République de la Terreur soutenue par les Sans-culottes, 1792-1794 1) Proclamation de la République La Convention, élue au suffrage universel, se réunit en septembre 1792, elle abolie la monarchie et proclame la République. Jugé par les Conventionnels, qui le déclarent

le passage que nous étudions s'inscrit dans la lignée des tragédies antiques et s'appuie sur les mêmes ressorts de terreur et de pitié, effets inspirés par l'évocation de la mort. 1. Pitié "Plus de regard vers la plage/ Plus de plage/ Plus de sourire/ Plus de rire" "Comme des pleurs sur la ville sans sanglots sans rien." "Catastrophe catastrophe !" "L'oriflamme de douleur" 2. Terreur "Fils rejetés par les vagues/ Décapités/ Atrophiés" "Le père se défenestre" "Cadmos enterre ses frères et son père"

Tout d’abord, voyons comment l’auteur évoque une atmosphère de terreur. Il utilise la comparaison donnant au lecteur l’impression de voir ce que le personnage ressent : « Mes cheveux se hérissaient, mes genoux s’entrechoquaient, et je tremblais comme la feuille du peuplier pendant les fortes brises du nord. ». Dans cette citation, la peur éprouvée par le personnage principal quand il apprend que son hôte est un fantôme est très bien décrit par l’auteur. En plus, il utilise l’ambiance extérieur afin

propre à la tragédie. Les qualités tragiques de la pièce. A. La proximité des partis en présence. _ Agrippine et Junie son cousines? _ Néron et Britannicus sont demi-frères et beau-frères. La tragédie se déroule entre mère et fils. B. La terreur. _ Agrippine fait un portrait de Néron : vers 33-38. Avant le portrait, la crainte. La qualité héréditée par sa mère est la fierté qui veut dire la cruauté. Hérédité = fatalité. Ce qui inquiétant aussi c'est que ça soit la mère elle-même qui fait

l’administration et du « gouvernement » par le Parti (très net pour la SS à partir de 1938). Celui-ci incarne le mouvement alors que l’Etat représente l’autorité ; c’est la dynamique entre les deux qui va créer le totalitarisme. II/ Un état policier et une terreur de masse : A/ La surveillance des populations - un appareil policier pléthorique et tout puissant, plus ou moins lié à l’appareil militaire, et dont le chef est l’un des détenteurs de l’autorité: l’OVRA avec Bocchini, la S.S avec Himmler, la Gestapo

de l'homme en situation de crise. La Fontaine dramatise considérablement ce contexte. Les références commencent. 2. Grande volonté de dramatisation : - allitération en " r " : " répand ", " terreur ", " guerre ",... - hyperbole dans le vocabulaire violent ; - rimes masculines (fureur, terreur), donc dureté ; - syntaxe très étudiée : la peste est définie par 2 appositions avant d'être nommée. Il établit ainsi une attente progressive, pressante en gradation ; - Enfin, opposition forte

des menaces invisibles et non prévisibles. De plus la mondialisation donne à cette angoisse de l’avenir une portée universelle : des groupes restreints peuvent produire des attaques contre lesquelles il est impossible de lutter J.D associe la terreur au pouvoir coercitif historique des états y compris démocratiques, mais au 21ème siècle, les populations et les Etats sont angoissés par ce sur quoi ne peut porter aucune prospective. L’absence de maîtrise de l’avenir, le fait que des petits groupes

------------------------------------------------- Sommaire -Introduction …………………………………………………….. Page 3 -Présentation de l’œuvre …………………………….………. Page 4 -Contexte artistique  …………………………………………... Page 5 -Contexte historique ……………..……………….……….. Pages 5-6 -Conclusion ……………………………………………….………… Page 6 -Annexes …………………………………………….………… Pages 7 à 14 -Hyperliens ………………………………………….…………..… Page 15 Massacre en Corée Introduction : -« Massacre en Corée » est une huile sur contreplaqué réaliser pas Pablo Picasso