Conclusion Terreur

imaginaire remplis d’animaux symboliques. 1) Un monde imaginaire >Personnification de la peste dès le début : « Capable d’enrichir »(v.5), « Faisait aux animaux la guerre »(v.6), présentée comme une personnification du mal :  « Un mal qui répand la terreur »(v.1) >La description d'un monde fictif et noir : Ambiance cauchemardesque voir glauque v10 à 14 >La référence à des lieux mythologiques : « l'Achéron » v5 qui est le fleuve séparant le monde vivant de celui des enfers. > La personnification

destinées à faire peur 5 IV – LES ENFERS A TRAVERS LES DIFFERENTES CROYANCES 7 1) L’enfer en Egypte 7 2) L’enfer dans la Grèce antique 8 3) L’enfer chrétien 9 4) Mais où se trouve l’enfer ? 10 5) L’enfer aujourd’hui 10 V – CONCLUSION 11 VI – PRINCIPALES SOURCES 11 I – INTRODUCTION Depuis la nuit des temps, les hommes ont pris l’habitude de personnifier les forces de la nature. Les religions sont basées sur ce principe et ont évolué en même temps que l’humanité. On a

comme ils le veulent → guidés par une force supérieure, comme l’est Phèdre à cause de la malédiction qui pèse sur sa famille et qui a été transmise par Vénus, lorsque le soleil a révélé à l’Olympe l’amour entre la déesse et le dieu Mars. CONCLUSION Dans la tragédie Phèdre, l’héroïne a la volonté de lutter car elle se sent coupable de l’amour horrible qu’elle a pour Hippolyte. Mais cette lutte est inutile car il y a une fatalité dans son destin : elle ne peut rien y faire et ne peut

sont redessinées pour correspondre aux nationalités. Les traités de Versailles engendrent des nouvelles tensions en raison : -des nouvelles frontières. -de l’humiliation que représentent le traité pour l’Allemagne (sentiment d’injustice). Conclusion : La première guerre mondiale bouleverse les Etats et les sociétés. Elle est caractérisée par une violence de masse et engendre une vague de révolution en Europe avec la révolution Russe. Elle se conclut par des traités qui dessinent une nouvelle

refuse à accepter certains aspects du libéralisme comme la colonisation, qu’il appelle à combattre encore. 2. On peut parler d’un équilibre de la terreur durant la coexistence pacifique, dès les années 60, car chaque camp sait que l’autre peut détruire le monde. En cela, la leçon des missiles de Cuba en 1962 a porté ses fruits. Cet équilibre de la terreur est basé sur une véritable course aux armements, surtout nucléaire, depuis 1945 avec Hiroshima et Nagasaki. Dès lors, Etats-Unis et URSS se battent

les esprits, symbolisé par la mort «terreur» vers.1, «fureur» vers.2, «punir», «crimes» vers.3. Cette maladie est personnifié au vers .1 «Un mal qui répand la terreur». Les conséquences de cette maladie destructrice sont exposées des vers.11 à 14, une description d'un monde apocalyptique et cauchemardesque. Au vers.5 l'auteur fait une référence à la mythologie en citant «l'Achéron», le fleuve des enfers, l'endroit ou séjournent les morts, ce qui renforce la terreur de cette situation. Des personnifications

contemporaines en analysant tout d’abord la question de l’ethnonationalisme et des violences envers les minorités qui apparait comme centrale dans son explication. Puis, nous essaierons de comprendre en quoi les minorités sont le nouvel instrument de la « terreur » contemporaines. Le monde dans lequel nous vivons est le pur produit de ce que nous en avons fait, de ce que nous avons laissé faire, au profit d’une mondialisation globale qui tend à tout uniformiser, homogénéiser. Nous vivons sous l’égide des

partager avec le spectateur toutes leurs émotions. Il en est ainsi de la fureur qui dévore Médée en Acte I scène 4 lors de sa première apparition, en tant que personnage éponyme. Médée parle à la fois au public et à elle-même et suscite à la fois terreur et pitié. Le registre est tragique. Médée semble d’emblée monstrueuse. I. Une femme humiliée a) Une femme blessée par Jason Exclamation vers 1 et nombreuses questions rhétoriques qui soulignent sa colère et qui sont indice de surprise Répétitions

toute la société. Il engage donc une police politique, la NKVD, qui doit surveiller étroitement la population. Les opposants au communisme et à Staline sont exécutés ou déportés aux Goulags. Ainsi, la soumission est obtenue par la terreur. De 1936 à 1938, c’est la grande terreur, les procès de Moscou on lieu. Ils sont truqués mais permettent de tuer les ennemis du régime communiste. En même temps à lieu une immense propagande au service de Staline. Tous les médias sont contrôlés par l’Etat et doivent

d'espoir ressentit par le peuple. Sens de l'œuvre : Picasso veut montrer la terreur guerriers et la lâcheté du bombardements. Il va faire allusion à certaines œuvres (= Goya, Tres des Mayo) Conclusion : L'artiste rend hommage aux civils morts lors de ce bombardement. Son rôle de l'artiste est de faire propagé l'horreur, les souffrances, les douleurs, et la terreur de la guerre. Picasso va en quelques sortes annoncé '' les massacres'' de la seconde guerre mondiale