Conclusion Terreur

ce « mal » n’est vraiment caractérisé qu’au 4e vers : « La Peste ». -Cette mise en scène inspire la terreur : le mal était, au XVIIe siècle, associé au Diable, et avait une forte connotation religieuse. -Les majuscules à « Mal » et « Ciel » traduisent la crainte du monde divin qui sanctionne les mauvaises conduites (« pour punir les crimes de la terre »). -Les rimes à « fureur » et « terreur » des deux premiers vers renforcent l’impression de peur qui se dégage du texte. Le son « reur » évoque

fasciste Italien II- Action de la police A/ L’action de la police Italienne B/ L’action de la police soviétique C/ L’action de la police allemande III- Les conséquences de ces actions A/ En Italie B/ En URSS C/ En Allemagne Conclusion (William) Dans les 3 régimes un énorme appareil policier terrorise les masses : IV- Développement de différentes polices A- L’appareil policier sous le régime fasciste Italien En Italie, l’OVRA (organisation de vigilance et

l'énonciation, la versification, les stratégies d'argumentation, la focalisation… Etablissez tout le long de l'année une liste de tous ces procédés, pour être sûr d'y penser ! Le sens d'un texte, c'est aussi l'effet produit sur le lecteur : le rire, la terreur, la peur, la réflexion etc. Mais vous devez toujours justifier votre propos par les procédés d'écriture. Vous pouvez aussi étudier l'intertextualité (pastiche, parodie, mythe), toujours en fondant votre propos sur des remarques de style (ou procédés

du régime démocratique. La prise de pouvoir de Napoléon est une transposition dans l'univers de la fable de l'ascension de Staline en URSS qui écarta ses rivaux à partir de 1926 pour imposer progressivement sa tyrannie. Napoléon va régner par la terreur: Il supprime les débats publics et les assemblées du dimanche, au cours desquelles sont prises les décisions relatives à la gestion de la ferme : le pouvoir est remis entre les mains d'un comité de cochons. Ce comité de cochons va s'accorder des privilèges:

combat est inégal, voué a l’échec pour Hippolyte qui est seul. b) Le tragique dans la situation d’énonciation -Théramène rappelle la terrible cruauté de Thésée. c) De la terreur a l’horreur ? -Le phénomène de la catharsis : le spectateur éprouve terreur et pitié face à l’erreur de Thésée. Conclusion: Le spectaculaire et l’horreur sont ici présent pour impressionner le spectateur et lui faire ressentir tout le tragique du sort du héros Hippolyte et de sa mort terrible. Le récit, en

fixés dans les plans quinquennaux. Il décide de collectiviser toutes les terres et de les regrouper dans de grandes exploitation appelés Kolkhoze. Durant la période ou il sera au pouvoir, Staline contrôlera la population par différents moyens : La terreur : Tout ceux qui s'opposent à Staline sont soit exécutés soit envoyés au goulag. Le but est de faire peur à la population pour qu'elle ne se révolte pas. La seconde méthode adoptée par Staline est celle de la propagande. Son but est d'obtenir l'adhésion

combat qu’il mène contre la peste semble perdu d’avance. En effet l’enfant ne fait que subir l’action de la peste, il ne peut pas résister. (Métaphore filée l22 « pliait », « craquait » l23) La terreur L’enfant est terrifié par la peste : « recula au fond du lit dans l’épouvante » (l29), cri de terreur (qui devient unanime). L100 : « une marée de sanglots » métaphore qui inverse celle de la ligne 22, ce sont les sanglots qui prennent le dessus. L’enfant est déshumanisé Il a le corps d’un

groupe « les chemises noires », c'est une organisation constituée de brute, de « voyou », habillé de façon militaire, pour faire partir les hommes occupant les terres et les industries. Mussolini se fait payer pour envoyer ses hommes faire régner la terreur. Hitler : les allemands sont d'une efficacité redoutable, Hitler commence par appliquer les techniques de Mussolini. Lors de la première guerre mondial, c'est un simple soldat, puis vers la fin il devient caporal pour avoir accomplit plusieurs actes

qu’il mène contre la peste semble perdu d’avance. En effet l’enfant ne fait que subir l’action de la peste, il ne peut pas résister. (Métaphore filée l22 « pliait », « craquait » l23)   1. La terreur L’enfant est terrifié par la peste : « recula au fond du lit dans l’épouvante » (l29), cri de terreur (qui devient unanime).   L100 : « une marée de sanglots » métaphore qui inverse celle de la ligne 22, ce sont les sanglots qui prennent le dessus.   L’enfant est déshumanisé Il a le corps d’un

Céto, et donc sœur des Grées, elle est une belle jeune fille dont Poséidon s'éprend. Violée par ce dieu dans un temple dédié à Athéna, elle est punie par la déesse qui la transforme en Gorgone. Les Gorgones désolaient les campagnes et jetaient la terreur sur les passants in-considérablement égarés. Ses cheveux deviennent un amas de serpent, ses yeux se dilatent et désormais son regard dispose du dangereux privilège de convertir en rocher tout être qui aurait l'audace de soutenir sa vue. →À la demande