Concupiscence

instinct nocif, qui le fait préférer la passion, la concupiscence, l’amour de soi à celui des autres et de dieu. Là encore, les actions de l’homme se multiplient à l’identique : par habitude, l’homme recherche ce qui l’avantagera, et cette coutume est si ancrée que Pascal l’exprime par des maximes très assertives : « toutes les occupations des hommes sont à avoir du bien », ou encore « ils n’ont point trouvé d’autre moyen de satisfaire leur concupiscence sans faire tort aux autres ».

de l’homme, dans sa concupiscence même, d’en avoir su tirer un règlement admirable, et d’en avoir fait un tableau de la charité. » 420, p. 182 « S’il se vante, je l’abaisse ; s’il s’abaisse, je le vante ; et le contredis toujours, jusqu’à ce qu’il comprenne qu’il est un monstre incompréhensible. » 425, p. 183 « Que l’homme sans la foi ne peut connaître le vrai bien, ni la justice. » p. 185 « Ils ont compris (ceux qui ne cherchent pas le bonheur dans une des trois concupiscences) que le vrai bien devait

de l’homme → reste à voir ensuite en quoi consiste cette grandeur - enjeux de la question : o voir en quoi le cœur de l’homme est précisément « creux et plein d’ordure » -ignorance, inconstance, aveuglement, présomption, concupiscence, refuge dans le divertissement, misère qui s’ignore… o s’interroger aussi sur la nature de l’homme –seulement dégradée et corrompue ou contradictoire, grande et misérable à la fois o s’interroger sur la visée de Pascal

beaucoup, lançaient das manifestes, des pamphlets, des biographies ». Dans ce contexte, pamphlet est utilisé afin de démolir la constitution. Une concupiscence est un penchant pour les plaisirs sensuels. C'est dans : « Fréderic fut pris par une concupiscence rétrospective et inexprimable » que nous retrouvons ce mot. Dans ce contexte, concupiscence est utilisé afin de nous montrer que Fréderic éprouve des besoins de sensualité, mais sans raisons. La malachite est une espèce minérale du groupe

nature corrompue, elle est susceptible de changements. La justice divine est le salut par la charité. L’homme ne peut rien expliquer par la raison, il doit s’en remettre à la foi. Pascal lie la notion d’injustice à celle de la « concupiscence » fr. 70. « La concupiscence et la force sont les sources de toutes nos actions » fr.90 L’intérêt prend toujours le pas sur la vertu, la justice n’est une vertu qu’en apparence.

corrompue, elle est susceptible de changements. * La justice divine est le salut par la charité. * L’homme ne peut rien expliquer par la raison, il doit s’en remettre à la foi. Pascal lie la notion d’injustice à celle de la “concupiscence” fr. 70. “La concupiscence et la force sont les sources de toutes nos actions” fr.90 * L’intérêt prend toujours le pas sur la vertu, la justice n’est une vertu qu’en apparence. ( Par Carole Lemaitre, professeur de français )

contrairement aux pensées des sceptiques (pyrrhoniens). Nous devons avoir conscience à la fois de notre grandeur et de notre impuissance. Nous avons été jadis destiné à la vérité, même si aujourd'hui nous ne sommes qu'orgueil et concupiscence. L'orgueil et la concupiscence (l’attachement démesuré aux biens terrestres) qui nous habitent nous pousse à dédaigner Dieu. Il est pourtant la seul à pouvoir extirper ses passions néfastes. Pour connaître le bonheur, la religion chrétienne est la seule conforme

réside dans l'estime. Troisième discours : 8) Selon Pascal, le pouvoir des grands provient des personnes sur qui ils règnent, car ces gens sont pleins de concupiscences. Le Grand n'est pas fréquenté pour sa gloire ou sa personne mais seulement pour son entregent ou ses richesses : il est un « Roi de concupiscences » car c'est la concupiscences qui fait sa force. C'est donc finalement un roi d'illusion ou bien l'illusion d'un roi car il tire sa force des biens périssable : le fruit du hasard. 9)

métamorphoser l’injustice originelle en une justice institutionnelle. Il faut aimer l’erreur qui fixe les choses et établit une norme) Pascal : « Les raisons des effets marquent la grandeur de l’homme, d’avoir tiré de la concupiscence un si bel ordre. » F. 106 (Cette concupiscence permet d’établir une frontière entre le juste et l’injuste même si les lois établies ne sont que parodie de justice) elle a donc le mérite de servir le bien public et non pas son propre bien) Pascal : « Je ne puis concevoir

choix de la liberté humaine pour qu’elle décide avec rectitude, mais elle n’agit pas au cœur même du libre arbitre. ° Il y a enfin une grâce des sacrements, spécialement du baptême qui libère des « actes » de nos péchés antérieurs et aussi de la concupiscence. La grâce sacramentelle est pour le pélagianisme prise pour la rémission des péchés passés. Et c’est par le baptême qu’on devient membre de la famille de Dieu. Eu égard à ce qui précède, il appert de noter que tant pour le pélagien que pour le